Ils étaient à la traine et remarque faite, ce n’était pas plus mal vu de ce qu’il se passait un peu plus loin. L’homme pseudo tout costaud était devenu en l’espace de quelques minutes une vraie loque et les autres suivaient le même chemin si bien que Leo se demandait si cela valait le coup de continuer. Il fallait qu’ils les ficellent nan ? Enfin … les Ombres allaient surement leur envoyer des Avada à tour de bras mais ils ne pouvaient pas s’échapper de la Banque après avoir foutu un merdier pareil si ? Enfin, c’était une question hein, question parmi tant d’autre qui se résumaient à un … bordel de slip de bain j’veux pas finir comme l’autre con ! C’était dit et ça faisait du bien.

Jojoe eut la présence d’esprit de ramener le Gobelin vers eux ce qui faisait qu’il n’avait plus rien à faire si ce n’est se protéger des sorts qui n’allaient pas tarder à valser. Ooh des cailloux, again. C’était la mode, vraiment. Mister Hansen, super cailloux. C’était pas lui qui avait gueulé y’a à peine dix minutes en disant qu’il ne voulait plus jamais voir de cailloux de sa vie … yey, c’était plus ou moins ce qui en était ressorti de façon plus ou moins vilaine mais tout ça pour dire que Leo restait les bras ballants à regarder la scène qui se passait devant eux. C’était comme s’ils étaient les spectateurs d’une pièce de théâtre assez gore et ragoutante. Berk, c’était le Gobelin qui avait fait tout ça. Cela se voyait au sourire qu’il arborait et une petite voix dans sa tête lui souffla qu’il valait mieux le protéger avant que cela tourne au vinaigre parce que cela n’allait pas tarder. Les Héritiers avaient besoin du Gobelin pour passer au travers de cette porte pour arriver dans le coffre mais en étaient incapables sans récolter des blessures plus ou moins graves et c’était tant mieux. En fait, même s’il ne faisait pas confiance aux Gobelins en règle générale, il se sentait prêt à l’applaudir comme un gamin devant tant d’ingéniosité. Quoiqu’en disent certains, ce n’était pas lui le serpent.

Lançant un Protego sur la bestiole agaçante avec ce sourire de poupée de porcelaine à foutre les jetons à un gus bien baraqué, Leo détourna la tête et se focalisa sur leurs ennemis. Un sort manqua et il du se mettre de côté si bien qu’il n’était plus trop loin des griffes de fer à présent. Leo s’éloigna rapidement de ces trucs mais pas assez pour ne pas récolter quelques griffures ci et là. Elles n’étaient pas bien profondes et tout aurait été pour le mieux si une main griffue n’avait pas tenté de lui casser la cheville lorsqu’il s’en était échappé. Clopinant à une distance raisonnable, l’irlandais pointa sa baguette sur les deux Héritiers qui s’en étaient pris gentiment au Gobelin.

Le Protego sur le Gobelin fonctionne t-il pour les deux prochains sorts ?
Oui
Non, un seul

Incarcerem:
Oui-oui Drew et Faust sont ligotés, qui veut une brochette d’Héritiers ? C’est une question pour les mains métalliques et griffues qui ne sont pas très loin.
Oui-non : Faust est saucissonné.
Non-oui : Drew est saucissonné.
Non-non : Le sort de ligotage ne fonctionne pas mais cela n’empêche pas la chaîne de faire encore des siennes. Pas un grand coup sur le visage de Drew. Bel hématome pour la suite :brille:



Spoiler:

Impedimenta :
Oui : Les bras qui retiennent Nim sont complètement figés, pendant une quinzaine de secondes ils ont même une ouverture pour se glisser dans le coffre.
Non : Les bras sont à peine ralentit.

Episkey :
Oui : Les deux côtes cassées sont ressoudées mais elles restent un petit peu douloureuses.
Non : Une côte seulement se répare mais l’autre est toujours dans un piteux état.

Une fois la Mulciber à terre, elle reprit le contrôle de la situation – enfin, plus ou moins – et Nathaniel la regarda s'élancer telle une gazelle dans les galeries. Il s’apprêtait à la suivre lorsqu'un bras se posa sur le sien. Le médicomage se stoppa net, et tourna sa tête en direction de son père. « Parle moi encore de cette manière, et Azkaban sera un paradis. » Nathaniel regarda l'homme qui lui faisait face froidement. Il avait ce don pour rappeler l'autorité qu'il avait sur lui au pires moments, et cela l'énervait de plus en plus. S'il s'écoutait, il aurait répliqué d'une voix glaciale quelque chose du genre « Ose me dire que j'ai tort, père. », le dernier mot prononcé d'une manière ironique. Ou encore « Occupe-toi plutôt d'éduquer ma future belle-mère, je crois qu'elle fait partie des terroristes de l'Ordre du Phénix... ». Mais le médicomage ne dit rien, même s'il n'en pensait pas moins. Il se contenta de s'arracher brusquement à la poigne de son père et de le regarder suivre Elena pendant quelques secondes, avant de l'imiter.

Celle-ci venait de lancer un Bombarda Maxima, et ce ne fut que trop tard que le fils Hansen vit Darrin se faire attaquer par un oiseau électrique. Sa baguette lui fut cependant inutile, vu que son père semblait plutôt bien s’accommoder de l'électricité qui parcourait son corps. Il passa donc devant lui sans plus de cérémonie et rattrapa les Héritiers au coffres, en prise avec des bras de fer. Un regard sur le côté lui apprit que le Gobelin était au cœur de cette attaque surprise. Nathaniel se pinça les lèvres. Il leur fallait arrêter ça tout de suite, empêcher les Héritiers d'accéder au coffre. Ou du moins, ne pas les laisser repartir. Oh, la course poursuite était finie, mais l'affrontement commençait tout juste, observa-t-il en voyant le Gobelin atterrir parmi les Phénix. Au moins cette bestiole aura protégé les coffres du mieux qu'elle pouvait. Le plus simple pour elle aurait été de mourir, mais visiblement, personne n'aura eu l'idée de lui lancer un « Avada Kedravra. ». Le sort avait franchi les lèvres de la blonde masquée au moment où la pensée du jeune homme pensait la même chose. Le sort, cependant, fila au loin. Ce n'était pas encore ça.

Il leur fallait réagir, les éviter de quitter l'endroit. Il ne savait pas ce qu'ils cherchaient, mais il s'agissait du coffre des Mulciber, et la moindre des choses était de faire en sorte que ses richesses ne quittent pas Gringotts entre les mains de ceux de la-dite famille... A moins que Wilhelmina Salamander soit à l'intérieur – ce qui donnerait à la situation une toute autre envergure. Ne PAS les laisser sortir d'ici indemnes... « Endoloris. » Il enchaîna avec un Firma Exitum informulé qu'il scella derrière les Phénix.

Dé #1, Endoloris.
OUI OUI, Les hurlements d'une Alice qui s'effondre de douleur résonnent plutôt bien...
OUI NON, Le sortilège la touche brièvement, elle ne tombe pas, ne crie pas forcément, mais est touchée pendant 1 à 2 secondes, pas plus.
NON OUI, Brièvement touchée au bras (moins d'une seconde), elle a tout juste le temps de laisser tomber sa baguette.
NON NON, Weeeell... Raté, il frappe la porte, ce qui agite un peu plus les bras métalliques.

Dé #2, Firma Exitum
OUI, Il marche ! o/
NON, Fail, il n'a de barrière que le nom, c'est limite si on peut pas marcher à travers.

Durant quelques brefs instants délectables, la fierté avait supplanté tout le reste. Les douleurs, les élancements, la fatigue, la culpabilité, la colère, plus aucune trace de toutes ces choses. La haute porte sombre se dressait devant eux quatre, fourbus, à bout de souffle et à bout de force, mais victorieux. Ils l’avaient fait ! A quatre contre six ils avaient réussis. Ne restait plus maintenant qu’à pénétrer à l’intérieur en espérant que Wilhelmina Salamander s’y trouverait. Bon sang, il pouvait presque se voir transplaner au QG avec leur vrai leader dans les bras et les poches pleines de gallions Mulciber. Aussi un vague sourire était venu étirer ses lèvres pâles tandis que le Gobelin venait doucement effleurer le bois noir de ses longs doigts crochus.

Le cœur battant à lui rompre les os il avait observé le mécanisme magnifique de la porte se mettre en mouvement et enfin, leur ouvrir un passage…

Aussitôt, le beau rêve s’était vu balayer avec violence.
Durant une fraction de seconde il s’était retrouvé totalement pétrifié sur place, l’œil arrondi d’une horreur indignée tandis que fondaient sur lui de grandes mains de métal.

Un piège.
Un stupide piège et ils s’étaient laissés avoir. Nicodem n’eut pourtant pas un instant pour la colère, uniquement pour la peur. Une première poigne cruelle s’était refermée autour de son avant bras, le tirant toujours plus en avant malgré toute la force qu’il y mettait pour résister. Une seconde se referma sur son coude, lui tordant atrocement l’articulation, l’obligeant à pivoter pour ne pas qu’elle cède. Un poing massif lui laboura le ventre, lui coupant le souffle, et le laissant assez à découvert pour que l’un des bras glacés ne lui enserre la nuque. Réflexe idiot s’il en est : s’aider de son autre bras pour tenter de les faire lâcher prise. Erreur. Une énième main vint lui saisir l’autre poignet qui craqua douloureusement, lui faisant lâcher sa baguette.

Quelle horreur, quelle horrible mort songeait-il en boucle, trop aveuglé par la panique pour réfléchir. Il était incapable de voir ce qui se passait dans son dos mais il avait tout de même conscience que les sorts avaient recommencés à fuser en tout sens, ce qui voulait dire qu’ils venaient de perdre leur si bel avantage. Les autres les avaient rattrapés et il ne voyait pas comment ils pourraient encore mener leur mission à bien dans ces conditions. Ils avaient perdus… et cette constatation était plus douloureuse, plus cruelle encore que les doigts de fer qui semblaient vouloir lui arracher les membres.

Puis du coin de l’œil un éclair coloré fusa et l’instant d’après : une immobilité parfaite. Il lui fallut un très court moment pour réaliser, juste avant de se débattre comme un fou pour réussir à échapper aux poignes étroites qui l’entravaient. Il du tirer et frapper et grogner d’effort et de douleur, déchirant même sa longue cape noire que l’une des mains avait agrippée également, pourtant au prix de quelques interminables et épuisantes secondes il parvint à s’extraire de leurs poignes, s’écroulant au sol, couvert de sueur, les poumons en feu, les oreilles bourdonnantes, mais la main sur sa baguette.

Il ne resta pourtant pas là, avachi, comme il aurait aimé à le faire. Il se retourna d’instinct vers Alice, puisqu’il ne l’avait pas vue ni entendue faire, mais savait pertinemment, sans aucun doutes possible, que c’était elle qui l’avait aidé. Elle s’était déjà tournée vers Faust qui n’avait pas été épargné non plus. Il lui dirait merci plus tard.

D’un coup d’œil en arrière Nicodem avisa l’interstice dégagé entre quelques bras figés. Il fallait s’y glisser à quatre pates mais ça tombait bien parce qu’il était incapable de se remettre debout pour le moment. D’un grognement de peur mêlé d’effort il se rua en avant, mais trop tard. Au même instant les bras se remettaient à happer l’air à la recherche d’os à briser. Il évita de justesse de nouveaux coups en roulant sur le côté.

Bon sang, machine de l’enfer ! Il fallait qu’ils obligent le Gobelin à annuler ce sortilège où ils pouvaient tout aussi bien se rendre et déposer les armes. Plutôt mourir. Toujours vautré au sol, Nicodem balança un locomotor vers l’affreux gobelin, qui ricocha contre un protego. Pestant entre ses dents, il avisa le corps ligoté de Drew, puis le pointa d’un finite incantatem.

Dé#1
Oui : Drew est libéré o/
Non : les liens se sont desserrées, il doit faire le reste tout seul !

Le moindre mouvement lui arrachait hoquets douloureux et grognements colériques. Son coude était en miette et les élancements qui lui vrillaient jusqu’à l’épaule lui semblaient intolérables, pourtant il se força à un nouveau sort, visant cette fois les bras qui tendaient vers eux leurs longs doigts frénétiques.

Dé#2 = Everte Statum
Oui oui : Les bras se prennent l’onde de choc de plein fouet et le mécanisme semble dérailler, les bras se frappent entre eux et se détruisent mutuellement, ça ne devrait plus être trop dur de passer. Nicodem par contre est totalement vidé.
Oui non : Nicodem vise n’importe comment et c’est Léo qui est touché de plein fouet. Ca affaibli un peu plus Nicodem.
Non oui : Nicodem est trop mal en point, le sortilège frappe la porte mais n’a pas vraiment d’effet.
Non non : Une violente douleur dans le poignet l’empêche de lancer le sort, il n’y a pas que le coude qui soit touché on dirait…

« Il est à moi. Mère me l’a dit sur son lit de mort, je la revois avec sa petite bouille plus frippé qu’une harpie, me chevroter que le service à Thé de notre grande tante Aglae serait pour moi ! »
« Alors pourquoi dans son testament c’est à moi qu’elle le lègue ? Et puis tu as eu le collier…. »
« Une vulgaire babiole face à qualité de la porcelaine ! Du travail de gobelin ! Et tu oses comparer ça à… RRRRRRRRR ! » L’ectoplasme traversa une pyramide de gallions en hurlant, avant de s’asseoir au côté de sa petite-petite-petite. « Et toi qu’est-ce que tu en penses Willie-chou ? »
« La même chose qu’hier. Ce service m’indiffère presque autant que votre dispute. »
« Humpf ! Mal éduquée ! Ce n’est pas étonnant vu sa grand-mère, j’ai toujours sût qu’elle tournerait mal celle-ci. Il n’y a qu’à voir l’état dans lequel est le service à thé de la grande tante Aglae. Mal entretenu ! »
« Du travail de moldu ! »
Les sourcils de la Kark se froncèrent, elle prit une longue inspiration avant d’expirer bruyamment. L’exercice se révélait plus utile que les simples hurlements, après plus de deux mois enfermés avec ces deux harpies hantant le vieux service à thé Wilhelmina avait fini par comprendre que les ignorer s’était s’économiser.

Gardant son sang-froid elle préféra s’allonger à nouveau sur son lit, d’ici elle pouvait voir la vue figée qui apparaissait à travers sa fenêtre magique. Le soleil était à son apogée, il devait être près de midi un peu plus, ou peut-être un peu moins. Les occupations dans un coffre de gringotts étaient rares, et Wilhelmina qui n’arrivait pas à se complaire dans l’oisiveté, cherchait toute bricole pouvant l’occuper. Tenter de deviner quel heure il était en regardant à travers une fenêtre en faisant parti, ça et compter les gallions, réorganiser le rangement des objets de valeurs, tenter de creuser un tunnel, lire les magazines stupides pour femme au foyer que Mervyn lui apportait chaque semaine pour la narguer…Mais surtout il y avait son occupation préféré : préparer sa vengeance, la méditer, lui faire prendre forme, y chercher les failles et surtout se la répéter encore et encore.

Parfois rien qu’en fermant les yeux la Salamander voyait le visage de son frère, et y apposait les émotions qu’elle souhaitait lui voir avoir. La sang-pure voulait voir se faner l’expression d’éternel contentement qui ne quittait jamais le visage de Mervyn à chaque fois qu’il venait lui rendre visite, tous les deux jours comme pour la narguer. Quel que soit sa prison Mervyn passait régulièrement, c’était plus simple lorsqu’elle était enfermée dans une des cellules de la cave du manoir Kark, là son frère passait parfois deux fois par jour se vanter, lui faire la conversation, lui jeter des bouquins de cuisines ou de coutures magique, et lui asséner de cruels moqueries telles que « De quoi faire de toi la parfaite petite femme au foyer ! ». Lorsqu’elle était cachée à Azkaban là les visites étaient plus espacées, mais tout de même Mervyn venait, demeurant son seul lien avec le monde extérieur. Tout avec sa mine goguenard il lui racontait tout, strictement tout, des potins infondés sur la liaison possible de son mari, à la destruction du manoir qui avait bercé son enfance deux semaines après qu’on l’ait changé de prison. Après l’attaque d’Azkaban arrivée un mois trop tard, Wilhelmina avait changé de geôle presque toutes les semaines, jusqu’à ce que Mervyn décide de lui faire élire domicile à Gringotts dans une chambre forte aménagé. Fenêtre magique, douche, garde-manger et réchaud, toutes les commodités pour une vie certes sommaires, mais non spartiate.

Une cellule presque confortable, si on oubliait les deux harpies qui piaillaient encore et encore… Wilhelmina ferma les yeux comme pour faire le vide, oublier les deux fantômes stupides et puis il y eut un bruit. Ses grands yeux gris s’ouvrirent comme deux soucoupes. La porte allait s’ouvrir. Mervyn pensa-t-elle d’abord, la sorcière se releva avant de se munir d’une carafe en fer dans le but de la lancer à son frère… Elle amorça son geste, avant de laisser choir la récipient à ses pieds, les yeux écarquillés, elle dévisagea ceux qui lui faisaient face… Ce n’était pas Mervyn.

La nouvelle femme de Kark était énervée. Contre les Héritiers qui osaient se rapprocher de plus en plus du coffre de sa famille. Contre la Disturbia qui lui avait décidément fait perdre tous ses moyens. Contre elle-même pour s'être aussi lamentablement faite piéger. Elle aurait dû voir. Il s'agissait de son coffre. Baguette au poing, elle arriva en même temps que les deux Hansen près des coffres et observa avec délectation les mains de fer jaillir de son coffre. Il s'agissait d'une protection dont elle avait déjà entendu parler en tant que membre de la digne famille des Mulciber, mais qu'elle n'avait jamais vu agir. C'était beau. Dangereux, mortel, mais magnifique. Elle esquissa un sourire qui se ternit vite lorsqu'elle aperçut un Impedimenda s'écraser sur la porte, au milieu des sorts et du Gobelin volant qu'elle reconnut à peine. Il était si facile de stopper ces bras ? Cette protection était inutile. C'était indigne de sa famille, et il faudrait qu'elle en touche un mot aux Gobelins après la fin de cette attaque impromptue. Un Everte Statum provenant des portes-mêmes acheva de la convaincre, et c'est avec horreur qu'Elena se rendit compte que l'un des Héritiers était déjà dans son coffre. « Non ! » C'en était trop. Toute passivité envolée, la jeune femme lança un « Caro Laceratur ! » décidé en direction de la blonde masquée qui leur faisait face, et qui d'ailleurs était la seule. Ce masque l'énervait. Attaquer Gringotts en étant cachée sous un masque était preuve de faiblesse. Ils étaient contre le régime, mais manquaient de substance pour l'impressionner en portant des masques. Cela méritait bien une petite marque visible et repérable, non ? Elle s'approcha d'Alice sans se départir du sourire en coin qui s'était étiré sur ses lèvres un instant plus tôt, et observa le bras déchiré de la jeune femme. « Bien. On ne s'approche pas des coffres de Gringotts sans conséquences. Un masque ne protège personne. Les Hansen, avec moi ! » ajouta-t-elle alors qu'elle se dirigeait d'un pas résolu vers le coffre. Les Héritiers restants transplanèrent soudainement sous ses yeux plissés d'incertitude. « Un transplanage dans Gringotts, on aura tout vu. » Après avoir lancé un regard méprisant au gobelin près des Phénix, la femme de Kark écarta les bras restants d'un geste souple du poignet et pénétra dans son coffre.

Quelques instants plus tard, elle en ressortit, le visage fermé. Elle referma elle-même le coffre, et indiqua au gobelin de faire toutes les mesures de sécurité nécessaire pour sceller les runes, avant de se tourner vers les deux Ombres. « Hansen, au QG. » Et elle transplana.

ϟ Petits poulpes, l'event touche à sa fin! Willie n'est pas dans le coffre des Mulciber, les protections sont tombées et Allen vient d'utiliser le miroir de Podrick pour en informer les autres chefs d’équipe, donc Nicodem. Les Héritiers peuvent donc transplaner vers leur QG dès maintenant et sans trop tarder sous peine de se faire doloriser par Elena. Les Phénix et Ombres transplannent quant à eux vers leurs QG respectifs!

ϟ Le dernier tour de l’event se passe ici pour les Héritiers, ici pour les Ombres et ici pour les Phénix !