Alessandra ramassa sa culotte sur le sol et la remit sagement en s'appuyant sur la porte des toilettes. La jambe gauche, et puis la jambe droite. Il fallait faire attention, bien reposer la jambe gauche une fois la jambe passée dans le trou avant de soulever la droite, sinon c'était pas facile. Il fallait faire ça rapidement, et elle en était pas forcément capable. La jeune femme se tortilla pour bien remonter sa culotte sur ses cuisses et sortit de la cabine pour se planter devant la glace. Elle n'avait pas eu l'occasion de faire des retouches de maquillage, c'était pas cool-cool. Son oncle toc-toc était surexcité depuis quelques heures, il n'arrêtait pas d'accuser tout le monde et d'ordonner de casser sa baguette. Alessandra, elle en avait marre, elle. Casser une baguette c'était pas facile, il fallait de la force, et elle en avait pas. En général quand il fallait casser du bois elle demandait à Sanja, mais là elle avait refusé de lui casser sa baguette. De toute façon, son oncle bah.. il était toc-toc, quoi. C'était pas cool-cool.

Elle sortit finalement des toilettes après avoir passé plusieurs minutes en contemplation d'elle-même, puis se dirigea vers la grande salle du musée où ils s'étaient réfugiés. Elle ne comprenait pas vraiment de quoi ils s'étaient réfugiés, mais elle avait suivi Sanja et son oncle, parce que même si son oncle était un peu toc-toc, elle aimait bien Sanja, elle s'occupait bien d'elle.
Dans le couloir, elle croisa l'un des gens qui étaient avec elle depuis tout à l'heure. Elle ne savait pas trop pourquoi ils les suivaient depuis le début de la soirée, mais au fond elle s'en fichait un peu. Le gens en face d'elle refusa de la laisser passer. Elle regarda son torse, et releva les yeux vers lui d'un air interrogateur, mais elle n'eut même pas le temps de penser que c'était pas cool-cool ce qu'il faisait qu'il l'embrassait déjà. C'était déjà un peu plus cool. Elle comprenait pas pourquoi, mais ce n'était pas la première fois que ça lui arrivait. Ce devait être un genre de salutation qui venait de certaines parties d'Assapor. Alors elle répondit à ce qu'il faisait, ouvrit grand les cuisses lorsqu'il la plaqua contre le mur. Les yeux ouverts et fixés sur le mur d'en face, elle retint un soupir. C'était toujours pareil. Aie. Il était pas cool-cool. Maintenant elle avait mal au dos.

Un bruit d'explosion la sauva sans qu'elle le sache, et l'homme se détacha d'elle. Elle le suivit et aperçut au loin son oncle qui se prenait une balle dans la tête. « Pas cool-cool... » murmura-t-elle. En plus il ne se relevait pas. Il devait être fatigué. Sanja, elle, tenta de lancer un sort – une gerbe d'étincelles multicolores jaillit de sa baguette et Alessandra applaudit. C'était super joli. Elle se sentait entraînée vers le centre de la pièce, vers la boule géante lumineuse. Elle ne résistait pas, de toute manière ça servait à rien.



Sanja hurla de rage, les yeux écarquillés. Bon sang, ils n'allaient pas mourir écrasés par des planètes, quand même ! « Il faut sortir ! » hurla-t-elle en lançant à nouveau un sort en direction d'Uranus.Le sort loupa à nouveau sa cible, mais le petit brun qui attaqua derrière elle fit exploser la planète. Elle se protégea des débris en levant son bras. Bon, au moins il était efficace. Ce qui l'embêtait réellement dans la salle, c'était ce putain de soleil qui les entraînait dans son orbite, comme s'ils étaient eux-même des planètes. Sérieusement, ils n'allaient pas se décoller du sol... ? Du coin de l'oeil, elle avisa Alessandra tournoyer dans l'air, autour du soleil jaune. « Non... » murmura la jeune sang-de-bourbe. « IL FAUT DETRUIRE LE SOLEIL ! ET SORTIR D'ICI!!! » avant que ses pieds ne commencent à se décoller du sol.

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ϟ Le but du tour est de sortir du planétarium. De toute manière il faut être un peu concon pour rester sur place et tenter de lutter contre toutes les planètes... Enfin, vous pouvez rester si vous voulez, mais avouez que le PNJ a un peu raison quand même!
ϟ Il reste un soleil, et vous êtes désormais tous en orbite de celui-ci. Imaginez que vous êtes des planètes, vous êtes en l'air et tournez autour du machin grand de 25m. Tournez manèèège!
ϟ Il reste 3 planètes et leurs satellites (entre parenthèses). Merci Lauren de la suggestion !

mercure = 50 cm/d
terre = 2m/d (un satellite)
neptune = 4 m/d (8 satellites)
pluton = 1 m/d (trois satellites)

ϟ Autre détail important pour la fin du tour : vous sortez du planétarium, ok. Mais il pleut, et la pluie est radioactive. Vous êtes rapidement saucés, et l'eau est étrangement chaude en plus d'avoir une odeur cheloue...
ϟ L'oncle d'Alessandra n'est pas mouru, c'est juste un boulet, il va se relever sous peu... et en orbite. Si vous l'entendez hurler, c'est normal, il crie au complot... Comme d'habitude. Dur pour vos petites oreilles!

Spoiler:

Les dés qui font chier en général... mais là non:

A Krapivy on vous enseigne la docilité, on l’imprègne dans vos pores, une pièce rapportée qu’on vous greffe. Et quand elle ne prend pas, c’est la fièvre puis la mort qui termine par avoir raison de l’élève. Vaincre ou servir. Tout homme doit mourir, à Krapivy tout homme doit servir. La rébellion, se construit plus tard, c’est un apprentissage fastidieux, plus laborieux car se fait seul.  Les autodidactes sont rares, et leurs rebellions bien souvent silencieuses. Sanja était de ses autodidactes, qui avaient en plus la finesse de se rebeller sans mourir, depuis des années elle accomplissait un numéro d’équilibre sur le fil d’un rasoir. Elle avait appris à obéir aux ordres pas parce qu’elle n’était bonne qu’à ça, mais parce que c’était le comportement qui la maintiendrait loin des troubles. Mais là obéir à qui ? Accepter les ordres de quoi ? D’un sale anglais hargneux, qui n’était avec eux que parce qu’elle avait proposé son aide ?  Oui former un groupe, c’était une façon de mieux affronter les obstacles, mais est-ce qu’elle avait besoin nécessairement d’eux pour survivre ? Non. Elle connaissait la ville, des recoins, des cachettes plus faciles d’accès pour trois personnes que pour tout un groupe de sorciers. Elle sortit de sa cachette, le poignard planqué dans son pantalon.  «On en a fini là. J’ai proposé mon aide, pour vous permettre de survivre. Je n’ai pas d’ordres à recevoir de votre part, et encore moins à me faire menacer.  Alessandra, Ludovico et moi-même, nous allons prendre à droite, et vous si vous êtes disposés à nous suivre sans poser de problème, je suppose qu’on n’aura pas savoir qui de votre magie détraquée ou de mon poignard est le plus rapide. »

Magasin de jouet, 26 juin, 12h

Le groupe avait atterrie finalement dans un magasin de jouets désert, le propriétaire était visiblement mort à en voir la mare de sang autour de sa dépouille. Impossible de dire ce qui avait eu raison de lui, mais son cadavre avait dû faire fuir les autres rescapés.  En pillant le rayon poupées, ils avaient pu récupérer les matelas des petits berceaux factice, leur permettant de s’aménager un petit coin pour dormir. La plus belle trouvaille de la journée, fut la caverne aux douceurs du magasin. Le tout était une reproduction de grotte dans laquelle se trouvait en rayonnage foule de bonbons, gâteaux et jus de fruit. De quoi permettre aux rescapés de manger un peu. Des tours de garde avaient été instaurés principalement pour éviter aux deux anglais qu’elle devinait ombre de tous les tuer dans leur sommeil. Naturellement Ludovico et Alessandra avait été éliminé du tout, personne n’avait envie que le cinglé casse toutes les baguettes dans leur sommeil. Quant à Alessandra… Elle risquait de se perdre en voulant aller aux toilettes. Il avait été convenu qu’après un bon temps de repos, ils se lanceraient à nouveau à la recherche d’un moyen de quitter l’ile. Construire un radeau n’était pas exclus, et la russe voyait dans les étagères de la boutique un moyen de fuir. Si son esprit s’agitait dans tous le sens Sanja, avait toutefois réussi à s’endormir, pour mieux être réveillée en sursaut par un tremblement et puis surtout une nuée de poupée lui tombant dessus. Elle entendit à côté d’elle un « Pas cool-cool... » ensommeillé, tandis que Ludovico beuglait. «TOUT LE MONDE CASSE SA BAGUETTE ! C’est un coup de la fée des dents ! FERMEZ LA BOUCHE AVANT QU’ELLE NE VOUS ARRACHE VOS MOLAIRES ! ». Lorsque le sol cessa de trembler et les étagères de tomber, une étrange musique se mit à retentir dans la boutique, et soudainement dans les décombres se mit à se mouvoir les jouets jusqu’ici inanimés.

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ϟ Mes petits chats, si Sanja réussit à ne pas se faire saigner par Isaac après sa petite remarque amicale ( xoxo), c’est parce que je suis partie du principe que les phénix protégeaient en parti la petiote. Mais ça n’exclut pas une vengeance par la suite. Mais pour ça il faut une occasion, et 2 dés positifs pour la blesser. Pas la tuer :red:Et si vous tentez quelque chose vous devez jouer aux dès le coup de poignard/ sort qu’elle vous collera. Parce qu’elle rend les coups ! =D

ϟ Nouvelle ellipse, ce qui laisse à nos loulous le temps de se reposer un peu. Faire un dodo, se gaver de bonbons etc etc. MAIS, nouveau drame, la terre se met à trembler à nouveau, l’ile se morcèle un peu plus, crack crack. Les lignes noires symbolisent le craquement. Ça sent mauvaiiiiiiiiiiiis, après le crack quoi d’autre ? L’option titanic ?

ϟ Sur la carte vous vous trouvez ici, dans un grand magasin de jouets. Vos personnages vont le découvrir tout de suite mais ce qui a tué le gérant ce n’est pas un sorcier vilain vilain, mais les poupées et les figurines magiques qui se trouvent dans le magasin. Joie !

ϟ Il y a 5 poupées de porcelaine haute d’un mètre qui vous attaque, il faut un oui pour les détruire. Et 1 figurine de chevalier qui vient de grossir d’un coup, se met sur son fier destrier à vouloir embrocher tout le monde. Lui il vous faut 2 oui pour le poutrer.

ϟ  Et voici la bande sonore de ce tour !

AHHHHHHH:

Dédéééé:

Spoiler:

Emerson avait osé. Ce putain de mangemort avait eu, dans sa caboche, l'idée d'aller insulter les seuls qui pouvaient les aider pour le moment. Mais qu'il était CON. Jake soutenait Lauren, mais sa bouche n'était pas prise. « Si tu veux dégager, dégage, on s'en sortira tout aussi bien que toi ici. Alors tu sors, va dehors sous la pluie tout seul, sur une île qui part en live ! Je suis pas sûr qu'il y ait assez de personnes vivantes pour te satisfaire de toute manière. Pas assez de personnes vivantes pour que tu puisses toutes les tuer avant que tu ne sois tué. Alors maintenant tu dégages d'ici et tu nous laisses tranquille, ou tu fermes ta gueule et reste. » Le photographe tremblait, après toutes ces épreuves, toute la peur qu'il avait réussi à canaliser au fond de lui resurgissait au grand jour. Ça lui tordait les entrailles, et s'imposer face à Isaac n'arrangeait en rien les choses.

-

Des heures... Des heures qu'ils étaient là, à Assapor. Allait-on un jour venir les sauver ? Le magasin de jouets où ils avaient trouvé refuge ne disait rien qui vaille à Jake. Trop d'ombres, trop de formes dans ces mêmes ombres. Il avait à la fois l'impression d'être seul, et rempli de compagnie. Compagnie indésirable, certes, mais compagnie quand même. Il jeta un regard à Zakary, toujours avec ses ailes. « Ca va ? » lui avait-il plusieurs fois demandé. Il était inquiet, stressé. Cette île ne leur promettait que des mauvaises surprises. La discussion était difficile à entamer avec les gens, les assapori n'étaient pas les personnes les plus confiantes de la terre, et après ce qu'Isaac avait fait, les trois préféraient rester entre eux. Il était parti chercher une serviette mouillée pour Lauren et pour sa blessure, resta auprès d'elle, puis se décida à aller faire un tour. Il avait besoin d'air.

Quelques minutes plus tard, un tremblement de terre secoua l'espace. Jake courut entre les rayons en direction des autres où étaient-ils, déjà? afin de les rejoindre, mais une étagère se renversa devant lui. Il voyait flou, son cœur battait dans sa gorge, ses mains tremblaient. Il fallait qu'il retrouve les autres. Et tout autour de lui, des jouets sur leurs étalages. « LAUREN ! » Il est terrorisé, un objet dur lui tombe sur sa tête. Il a mal. Sa main attrape la bandoulière de son sac, la rate. Non, c'est vrai. Il n'a plus de sac. Plus d'appareil photo. Il a laissé ça derrière lui. Oh putain.

Et enfin, la terre s'arrêta de trembler. Jake respira. Expira. Encore une fois. Se calma légèrement, pour finalement s'engouffrer dans l'allée parallèle subitement ouverte par l'étagère qui lui barrait la route. Il courut rattraper les autres. Il les voyait, là, sur le côté, ils n'étaient qu'à une dizaine de mètres pourquoi était-il parti à l'autre bout du magasin bordel? Jake s’avança pour les rattraper, leur hurler de partir, mais une voix l'interpella. « Bonjour, toi. Que fais-tu ici ? » Il se figea et tourna la tête sur sa gauche. Cétait une poupée. Une putain de poupée en porcelaine malheureusement bien trop haute par rapport reste des jouets. « oh - putain. » « Tu veux jouer avec moi ? » Jake recula en secouant la tête, rechercha quelque chose sous sa main, un objet quelconque, les yeux exorbités. « hun, non, sans façons merci, c'est que j'ai passé l'âge de jouer avec des poupées maintenant... »

Sans prévenir, la poupée se jeta sur lui.

Epic Fail:

Si oui au précédent... MAIS NON HAHAHA.:

Il attrapa une peluche (la seule chose à sa portée) et la lança sur la poupée, mais celle-ci sembla n'en avoir rien à faire, et continua d'avancer. Elle lui attrapa l'avant-bras avec ses dents de bois/porcelaine/truc un peu trop dur et serra si fort que Jake glapit de douleur. Il voulut la frapper avec son bras libre, mais le bras de la poupée (était-il extensible?) le lui bloqua derrière le dos. Le photographe tomba à genoux et se pencha pour éviter la douleur alors qu'elle tordait ses articulations dans un plaisir sadique, du moins le supposa-t-il avant de hurler de douleur lorsqu'elle le tordit un peu plus. « Si tu ne veux pas jouer avec moi, alors c'est moi qui vais jouer avec toi. » Il en pleurerait, si la douleur était plus supportable. Au lieu de ça, il commença à voir des papillons de lumière danser devant ses yeux.

Dés:

Ce magasin de jouets… Un repère à pédophile gobelins. Ludovico le savait, le vendeur et son regard brillant à chaque fois qu’un enfant trouvait le jouet parfait, ça ne pouvait être que louche. Il avait prévenu son frère, il lui avait dit, de faire fermer la boutique. L’avait-il écouté ? Non ! De toute façon un strangulot avait sans doute aspiré son cerveau pour prendre le contrôle de son corps et de son esprit. D’eux aussi, Ludovico leur avait dit de se méfier. Ces envoyés du mal, guettant dans leurs coins avec leurs tentacules démoniaques pour dominer les sorciers. Et Alessandra, cette enfant capricieuse, elle n’écoutait pas non plus, quand Ludovico lui disait de casser toutes ses vieilles poupées qui trônaient encore dans sa chambre. Ces poupées l’espionnaient, et se réveillaient sans doute la nuit pour lui vampiriser la tête. Sinon pourquoi sa nièce serait si sotte ? Non, les poupées étaient dans le coup, et donc le vendeur aussi. Quelqu’un ne vivant que pour apporter de la joie aux enfants en créant des jouets parfaits pour eux ne pouvaient qu’avoir un problème. Une chose était certaine pour Ludovico, cet homme était le plus tordu des Assapori, et son sort il le méritait. Qui sait ce qu’ils allaient trouvés dans sa cave… peut-être une peluche licorne. SCANDALEUX. Aussi lorsque les poupées attaquèrent, ludovico ne put que hurler

«JE VOUS L’AVAIS DIT ! JE VOUS L’AVAIS TOUS DIT ! SANJA PETITE PERFIDE ! TU ES VIREE ! VIREE ! PRENDS TES GAGES ET DU BELLAY ! CE TEMPLE DE L’ENFER ! VOUS FAITES PARTI DE LA CONSPIRATION ! » La domestique en question cherchait à démentir en tuant une poupée, mais Ludovico n’était pas dupe, et s’échina à la frapper avec une peluche d’hippogriffe. La russe l’envoya valsé, ce qui m’y fin aux tentatives d’assassinat de ludovico. Sa nièce accouru en criant que ce n’était pas cool-cool, pour mieux se faire agresser par une poupée. Serre-moi fort, maman. Serre-moi. Serre-moi.

« Je… euh… pas cool-cool. Maman m’a dit que c’était plus de mon âge les poupées. Je peux pas être ta maman. » La poupée se mit à agripper Alessandra, pour lui faire un câlin qui ressemblait davantage à une tentative d’étouffement. «CASSE TA BAGUETTE, ALESSANDRA CHERIE ! CASSE ! CASSE ! Elle te laissera tranquille ! » Inquiet, Ludovico cherchait une solution, il tenta de casser des baguettes mais rien, ce qui lui fit se poser des questions plus rationnelle. La musique. Tout avait commencé avec la musique, et justement n’était-ce pas la musique qui rythmait les pas des jouets automates des vitrines. «CASSEZ VOS BAGUETTES ! CASSEZ LE TOURNE DISQUE ! BAGUETTE ! BAGUETTE ! BAGUETTE ! MUSIQUE ! »

Informations Rp

ϟ Il vous reste 3 poupées à tuer, et un chevalier, qui vous bloquent la route pour sortir.

ϟ Ludovico est un peu fêlé, mais il a raison. Reste à savoir si vos personnages décident de l’écouter, en coupant la musique ou pas. Pour casser le tourne-disque, il vous faut 2 oui !

Spoiler:

Dés: