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❝ Ryūnosuke Hashiji ❞
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Ryūnosuke Hashiji
avatar
Messages : 5 Crédits : Moi
Age du personnage : 43
Ascendance : Sang-mêlé
Emploi/Etude : Service des renseignements de l’Hôtel de Ville de Pré-au-Lard
Faction : Ombre de la Rose Noire
Maison : xxx
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Ryūnosuke Hashiji
ce message a été posté Ven 22 Aoû 2014 - 11:08

FEAT. TAKASHI SORIMACHI
土師氏 龍之介

Hashiji Ryūnosuke

❝七転び八起き[rl]Tomber sept fois, se relever huit[/rl]❞






♜ DATE DE NAISSANCE 28 janvier 1979
♜ LIEU DE NAISSANCE Nagasaki
♜ STATUT DU SANG Sang-mêlé, malgré deux parents sangs-purs… Mais comment est-ce possible ?
♜ NATIONALITÉ Japonais
♜ PROFESSION Ancien consul honoraire du Japon auprès du Ministère de la Magie, travaille à présent au service des renseignements de l’Hôtel de Ville mangemort à Pré-au-Lard
♜ ÉTAT CIVIL Célibataire à un instant précis, polyamoureux sur une plage de quelques semaines
♜ FACTION Ombre de la Rose noire


HISTOIRE

Le héraut du Dragon. Le maître du sol.

早い者勝ち
Premier arrivé, premier servi
Déjà trente-et-un jours que « aka-chan », le petit rougeaud, était né. Il était arrivé, braillard, avec un petit mois d’avance sur la date prévue. Rien de bien incorrect, l’enfant se portait alors bien, très bien même, tant, d’ailleurs, que le médicomage en place avait plaisanté sur le fait qu’il avait été heureux qu’il ne fût pas resté plus longtemps dans le ventre de sa mère, de risque de devoir faire accoucher un adulte velu. Si la plaisanterie avait semblé amuser les infirmières qui s’étaient alors pâmée et avaient pouffé, lâchant des petits gloussements suraigus cachés derrière leurs mains – l’on ne rit pas la bouche grande ouverte au Pays du Soleil Levant lorsque l’on est une femme, voyons – Hashiji-san, les deux, en vérité, mari et femme, avaient semblé peu enclins à sourire. En effet, les gens de cette classe n’auraient su s’abaisser à ce niveau de vulgarité. Ils étaient donc restés muet, Mme Hashiji allongée dans le lit et son mari à ses côtés, assis paisiblement, en kimono sombre, les mains sur les genoux. L’enfant, encore non nommé, s’était trouvé, alors, dans un berceau à proximité du lit, choyé par des infirmières zélées. Le médecin, à cette époque, peu de femme arrivait à des postes aussi élevés, avait constaté les mains crispées de Mme Hashiji sur une petite boîte en bois sombre. La mère du chérubin avait en effet explicitement demandé à la recevoir au plus vite, et non à sa sortie, comme il était typiquement coutumier. Entre ses doigts blanchis par la poigne qu’elle y mettait, le récipient contenait, enveloppé dans un linge fin et délicat, le cordon ombilical du petit garçon. Malgré le sourire apaisé et aimable que Madame Hashiji avait semblé distribuer à tout le monde se jour-là, la pression de ses phalanges sur la boîte avaient trahi, pour un œil affûté, la détresse que renfermait cette petite caisse.
Il y a déjà vingt-quatre jours que, enfermés dans leur pavillon à la périphérie de Nagasaki, les Hashiji avaient, en compagnie de leurs familles respectives, donné un nom au nouveau-né. Cette cérémonie traditionnelle, somme toute bien commune pour les familles comme celles-ci, conservatrices et fières de leur rang, s’était effectuée en la simple compagnie des parents Hashiji, des grands-parents respectifs et d’une nuée de kodama, curieux, quelques chats et les esprits des trépassés qui avaient été conviés. Dans la salle commune, agenouillés entre les calligraphies représentant les noms des ancêtres de la famille, la famille Hashiji, grands-parents et parents, avaient patiemment observé le pinceau bouger de lui-même sur le papier, traçant les caractères qui seraient ceux du fils aîné de la famille.
Si les familles moldues choisissaient elles-mêmes le nom de leur enfant, les familles sorcières les moins séculaires – disons les plus orthodoxes – laissaient le pinceau agir de lui-même, sentir les courants de magie le traverser et les transcrire en mots, en noms, en idées. Des crépitements apparaissaient d’ailleurs souvent autour du papier et du pinceau, la magie brute étant concentrée par les efforts de toute une famille. Point d’encre, la magie marquait le papier d’elle-même.
Ce jour-là, très précisément le 3 février 1979, le pinceau avait longuement hésité, flottant lentement dans les airs, comme à la recherche d’un souffle qui la mettrait en mouvement. Après moult tergiversations, il s’était mis en branle, sous le regard angoissé des parents. Le premier caractère à apparaître fut 龍, ryū, le dragon, représentatif de l’eau. L’eau qui clapote, l’eau qui ondule, l’eau qui glisse dans son lit en le déformant, l’eau malléable et inattrapable. Un esprit changeant, gracile et docile ? Ou bien un esprit bouillant, s’évaporant rapidement, capable d’engloutir des villes sous ses trombes, allant jusqu’à éliminer une espèce entière sous un déluge mystique ? Si l’on racontait que le nom définissait la personne, le premier caractère naurait pu être plus flou, quant à l’aspect insaisissable du dragon, non sans rappeler les danses ondulées de ce dernier, sa bienveillance, générateur de pluie et donc de fertilité, mais aussi son caractère plus martial, ses griffes – les occidentaux n’avaient-ils pas, d’ailleurs, eux-mêmes, des dragons qui se trouvaient être néfastes ? M. Hashiji avait froncé les sourcils à cette idée, l’image qu’il avait en tête ne pouvait être une salissure imposée par ces personnes bruyantes et élevées qui s’étaient installées chez eux depuis plus de trente ans. Jamais. Le pinceau avait continué, l’air de rien, sa dance créatrice, annonçant un deuxième caractère, 之, no, plus habituellement représenté sous son kana, et qui annonçait l’appartenance. Il est inutile de préciser qu’à cet instant, la tension et la fébrilité de l’auditoire avaient atteint un paroxysme, à l’exception des seuls kodamas. Puis le troisième caractère fut écrit, rapidement, presque sale, 介, kai, ici suke, l’aide, l’intermédiaire, le héraut. L’enfant serait donc un intermédiaire des dieux ? Un envoyé céleste ? Les questions avaient embarrassé les esprits des parents Hashiji, voyant cela comme trop ambivalent, dans une famille où le but se devait d’être unique, la perpétuation de l’espèce dans sa pureté la plus immaculée. Le pinceau était ensuite retombé, tachant la table de gouttelettes magiques, y laissant, à jamais, une éclaboussure noirâtre.
Le nouveau-nommé Ryūnosuke avait ensuite perdu ses habits blancs trois jours après la cérémonie, passant d’entité spirituelle à véritable humain.
Ainsi, donc, le 27 février 1979, soit 31 jours très précisément après sa naissance, le jeune Ryūnosuke fut amené au sanctuaire pour bénédiction. Il était intéressant de voir que, pour une famille « pure » et sorcière, l’attachement aux valeurs traditionnelles religieuses était important. Peut-être s’agissait-il d’une commémoration servant à rappeler d’où venait la magie, inspirée de shintoïsme et de bouddhisme ésotérique. Peut-être, simplement, était-ce la manière de se réapproprier une culture qui disparaissait, diluée dans la propagande pro-moldue, pro-mélange, pro-saleté – disons-le clairement - dont les américains faisaient l’éloge depuis leur invasion. Car les Hashiji voyaient les yankees comme des envahisseurs et vouaient à leur égard une haine sans nom. Habitants de Nagasaki, enfants de rescapés de la bombe, observateurs polis et passifs de ces nouveaux venus sans-gêne et souvent incontrôlables, ils avaient fini par rejeter en bloc cette intrusion étrangère, un peu comme le corps s’enkyste et rejette un corps indésirable. Ce ne fut donc pas une surprise de voir leur engouement, comme nombre de sorciers dans le monde, pour un sorcier étranger qui prônait la supériorité magique. Les années 70 furent fastes et idéologiquement déterminantes pour les Hashiji, ce qui se transmis par la suite à leur progéniture, au travers d’une éducation fondée sur la croyance indéfectible en une suprématie du sang et le combat perpétuel qu’il fallait mener pour le garder pur le plus possible.
嵐の前の静けさ
Le calme avant la tempête
L’exécrable année 1981 arriva, entraînant avec elle la chute du Lord. Si les mangemorts du vieux continent virent cela comme une défaite, un revers du destin, les contrées lointaines d’Asie extrême orientale ne furent pas autant déconfites. Certes, un homme était mort, mais ses idées avaient progressé tout du long. Là où la proximité européenne avait créé un véritable culte pour le Lord, , la distance d’avec l’Asie avait plus poussé à une admiration de l’œuvre que de l’humain lui-même. Si Voldemort était cité avec respect dans les milieux que fréquentaient la famille Hashiji, son héritage intellectuel et ses idées étaient avant tout les richesses premières que les mangemorts japonais prenaient en exemple. Ryūnosuke fut donc élevé selon ces valeurs de pureté du sang, de condescendance à l’égard de ceux qui, situé au-dessous sur l’échelle, ne méritaient que du mépris, et d’aversion des idées nouvelles, notamment concernant le sang. Si les moldus étaient inférieurs, ils n’en demeuraient pas moins insignifiants, tels des larves, que l’on pouvait sans problème écraser du talon, au besoin. En revanche, les né-moldus étaient, selon cette idéologie, les plus abominables des humains. Imaginez-vous des cafards venir dans votre maison et boire votre saké ? Il y a des choses que la raison ne peut ignorer. De manière similaire, la famille de notre héros, comme de nombreux autres sorciers nippons, méprisaient les sangs-mêlés, qu'il voyaient comme une souillure de la lignée et de la pureté du sang, point qui les différenciait un brin, nous en conviendront, de la doxa officielle britannique.
Ainsi, quoique tragique en raison de la perte du meneur charismatique, l’année suivante, 1981, vit tout de même un épisode heureux avec l’arrivée du petit frère de Ryūnosuke, Kiyoshi, 淳, dont l’idéogramme signifiait « pur ». Etait-ce un signe des dieux de nommer ainsi le second né de la famille, lorsque le premier portait un nom chargé d’ambivalence ? Mme Hashiji le crut, et tomba brusquement malade, d’une maladie qui la laissa clouée jusqu’à son dernier souffle. Plus engoncé dans son idéologie que de raison, M. Hashiji y vit là un augure néfaste. Si concomitance ne signifie pas conséquence, elle n’en demeurait pas moins, en cet instant, une forte coïncidence.
La prime jeunesse de Ryū se passa sans encombre, fréquentant des enfants de son statut, apprenant à être digne de son sang. Véritable égérie pour son cadet, il faisait preuve d’un sérieux et d’une discipline profondément stricte, tâchant de ne rien laisser au hasard et s’efforçant de parfaire son comportement. Ne disait-on pas, d’ailleurs, que si Ryū avait hérité des traits de sa mère, il portait en lui l’esprit de son père ? Si ces paroles enchantaient Ryū et son père, elles faisaient bien souvent tressaillir sa mère, la poussant souvent à s’isoler en cas de réception.
L’éducation des enfants Hashiji fut laissée, lors de leurs 10 premières années, à des professeurs personnels, tuteurs et autres répétiteurs. Les parents n’intervenant que lors de brèves discussions, en réalité harangues et monologues, sur la pureté du sang, l’importance de la hiérarchie et les raisons qui faisaient qu’autrui, dans sa généralité, était forcément inférieur. Il faut bien faire remarquer que, dans cette famille, les interactions entre parents et enfants étaient aussi fréquentes et vivantes que les visites de petits hommes venus de l’espace dans le désert du Nevada. Une distance insigne était imposée, les enfants, à cet âge, ne mangeant que très rarement avec leurs parents, souvent bien trop occupés pour être ne serait-ce que présent. Les tuteurs servaient à cela.
La position officielle du pays aidant, l’éducation des petits Hashiji ne détonna pas vraiment de leurs contemporains sorciers et ils se fondirent assez rapidement dans la masse lors de leurs entrées respectives à Mahōtokoro. L’arrivée de la fameuse lettre ne fut pas pour Ryūnosuke un événement particulièrement extraordinaire. Forgé par les croyances que ses professeurs et sa famille lui avaient inculquées, son entrée à l’école n’était qu’une formalité de plus. Le départ de Ryū pour l’école sorcière entraîna un bouleversement dans les relations qu’il entretint avec ses parents. Bien qu’apparemment infime et indiscernable au début, il s’aperçut que son père, jusqu’ici étranger poli mais toutefois soutien indéfectible de son fils, sa fierté, son sang, parfait petit sang-pur, se détachait de lui, le repoussant petit à petit. Les mots étaient plus durs, les regards glaçants, les gestes méprisants. Initialement, Ryū en fut flatté, convaincu qu’il s’agissait là d’une reconnaissance de ce qu’il estimait être, un homme. A 10 ou 11 ans, avouons-le, la maturité et le recul de tout un chacun ne sont pas des qualités forcément très développées. Les vacances qu’il passait en compagnie de sa famille lui firent progressivement comprendre qu’il s’agissait en réalité d’une forme d’ostracisme lent et hésitant, une mise à l’écart non avouée mais ostensible. Tout naturellement, un fort sentiment d’indépendance naquit et se développa dans le petit adolescent qui mûrissait. Bercé par les fariboles que l’on avait répétées à ses oreilles gourmandes lors de son enfance, il se crut bien évidemment supérieur, faisant preuve de ce mépris qu’a l’aristocratie pour le Tiers-Etat, se définissant par un mélange de pitié, de condescendance et de dégoût. L’esprit nippon ne prêtant pas à l’humiliation ouverte de manière trop fréquente, le petit Ryū sut quand afficher un visage hypocrite, conservant le feu qui bouillait en lui, distillant son venin au travers de quelques phrases a priori bénignes, réitérant ses attaques sournoises à de nombreuses reprises, préférant l’usure du mépris, par un comportement passif agressif, au face-à-face brutal, violent et suicidaire. Si des moldus avaient accepté, quelques quarante ans auparavant, de se suicider en fonçant tête baissée sur des navires ennemis, un sang-pur, selon lui, ne s’abaisserait jamais à de telles bassesses. Cela seyait bien aux moldus et autres raclures inférieures. Ceux que les dieux avaient désignés comme dirigeants, comme êtres exceptionnels, comme – osons-le – surhommes nietzschéens, ne pouvaient priver le monde de leur présence par des actes aussi irréfléchis qu’abscons.
Ainsi mûrit le jeune Ryūnosuke lors de ses premières à Mahōtokoro. Fatalité ou hasard, nous en déciderons peut-être plus tard, malgré la fluidité de son nom, l’élégance de son signe et l’ambivalence de son être, notre héro fut assigné à Nagamichi, la maison de la Terre. Inutile de préciser que, lorsqu’il annonça la nouvelle à sa famille, malgré la distance initiale et la gêne occasionnée, un peu suspecte alors, la nouvelle fut accueillie avec une certaine bienveillance, voire joie non dissimulée de la part de sa mère. La Terre, socle résistant dont se nourrissait tout être vivant, symbolisait l’héritage, les valeurs ancestrales et la stabilité. Pour une famille aussi idéologiquement orientée que les Hashiji, cela ne pouvait qu’être la preuve de la pureté du sang qui coulait en ses veines.
Cela ne semble-t-il pas être l’évidence même ?
Si cela apporta au jeune homme une confiance plus poussée en lui-même, encore, qu’elle ne l’était déjà, ses parents furent plus modérés, affichant un sourire qu’éteignait presque aussi la pluie de leurs cœurs. Mais Ryū était aveugle et ne vit pas les nuages arriver au loin, obscurcissant les dorures de sa gloire fugace. Ses années à Mahōtokoro furent celles d’un élève arrogant, fortement ségrégationniste mais aussi parfaitement discipliné. Si son mépris pouvait transpirer de ses yeux et de tous les pores de son corps, sa bouche restait close et savait prononcer les paroles attendues. Pas de vagues, pas de conflit. Mais la goutte d’eau heurtant la roche finit tout de même pas l’user au cours du temps jusqu’à la rendre friable. Comme le disait le proverbe, c’est par petites caresses que l’on fait tomber l’arbre.
Il ne tenta même pas de s’initier au Quidditch, ayant des capacités déplorables à voler sur un balai. En revanche, sa croyance en la tradition et la supériorité sorcière lui firent développer un intérêt tout particulier pour la Magie Traditionnelle, l’étude des Omamori ainsi que la divination. S’il fut plutôt bon en sortilèges, il n’y excellait pas, il faudra attendre, jeunes lecteurs impatients, quelques années pour qu’il s’y intéresse vraiment. Tout ce qui touchait à l’histoire l’intéressait – même l’histoire moldue – et cela s’en ressentit profondément dans ses notes. En 6e année à Mahōtokoro lorsque le Lord sembla réapparaître à la fin du Tournois des Trois Sorciers. Ce qui n’était qu’une rumeur se répandit pourtant, non sans amener un certain réconfort auprès des familles qui avaient su toujours suivre la voie que le Sorcier Noir avait tracé. Ce ne fut que l’année suivante que la rumeur devint réalité, suscitant bonheur, joie et espoir chez les anciens mangemorts japonais – car il y en avait eu et il y en avait toujours – dont le père de Ryū faisait partie. Ce fut le début de l’étalement mangemort dans le pays.
Nous passerons un voile pudique sur la liesse qui se déchaîna lorsque la nouvelle de la mort de Potter atteint l’archipel, faisant véritablement basculer le pays dans les adeptes du Lord, renforcé par les valeurs traditionnelles de la population locale. Ryūnosuke avait débuté ses études pour entrer au Ministère de la Magie japonais lorsque la nouvelle arriva. Exhultant, il se fit tatouer, dans l’élan, un symbole bien particulier sur l’omoplate gauche, galvanisé qu’il était par ce retour en force du Lord. Cet idéogramme mouvant représentait 潔,, symbole de pureté, comme pour prouver son appartenance à une élite, une race élue. Comme toujours, l'histoire se répétait.

Certains moldus tout de noir vêtus, cheveux blonds rasés, lors de la guerre précédente, s’étaient fait tatouer leur groupe sanguin dans la face intérieure du biceps, pour montrer leur appartenance à ce qu’ils estimaient être « pur ». Bercé d’idéaux tout aussi charmants, Ryūnosuke pensait ainsi montrer sa place dans la société, sa supériorité sur autrui et, de fait, son droit légitime de régner sur la Création. Mégalomane ? Disons juste fortement sûr de l’évidence de la hiérarchie du sang. Hélas, les tatouages étant, malgré tout, associés à la pègre, seuls une poignée de jeunes y avait eu recours -mettons cela sur la frivolité de la jeunesse – et les parents Hashiji, à cheval sur les principes, apprécièrent fort peu, et nous parlons par euphémismes, les goûts artistiques de leur fils. Du moins, telle en fut une des interprétations de notre héros, ignorant l’étendue de la Marque chez ses semblables.
Pour dire vrai, le pater familias entra dans une colère sombre, assez surprenante au vu de la distance qu’il avait instaurée depuis quelques années avec son fils.
La scène avait été burlesque. Agenouillés autour de la table pour le repas du soir, retrouvailles quasiment inédites pour  servi par l’elfe domestique de la maison, misérable et ayant le bras en écharpe, suite à une remontrance de Ryū quelques jours plus tôt pour un prétexte quelconque – qui avait besoin de raison pour se dégourdir les pieds sur un elfe ? – la famille dînait, silencieuse, lorsque Kiyoshi coupa le silence. Il avait vu son frère se masser un peu trop souvent l’épaule et réajuster son yukata, comme si le contact de ce dernier sur sa peau était insupportable.
« Tu t’es encore battu, Ryū ?
- Non. Pourquoi ?
- Tu as l’air d’avoir mal, là.
- Ah… Le regard de Ryūnosuke s’illumina soudain d’une flamme d’excitation. Ca, c’est ce qui nous distinguera des mécréants, le temps venu. »
Les deux parents s’arrêtèrent net, fixant leur fils avec un regard semblant signifier qu’ils préféraient ne pas comprendre ce qu’il était arrivé. Non content de crâner devant son cadet, l’on est narcissique ou l’on n’est rien, Ryūnosuke fit glisser l’épaule de son vêtement et dénuda son épaule, montrant ainsi la marque encore vibrante sur sa peau rougie, comme marquée au fer chauffé à blanc.
« Ca, c'est le futur, petit... »

Il n’eut pas le temps de finir sa phrase qu’il se fit brutalement renverser, son père ayant bondi par-dessus la table basse et l’ayant plaqué au sol violemment. Groggy par le choc, Ryū cligna des yeux pour voir l’air sombre de sa mère soutenir ainsi son père qui se relevait et le retourna alors d’un violent coup dans les côtes. D’un mouvement rapide de baguette, il immobilisa son fils qui en était encore à se demander si un tremblement de terre n’avait pas lieu. Puis ce fut une douleur indescriptible, pénétrante et molle, se répandant dans son corps depuis l’épaule comme du métal glacé. Son père était enragé, hurlant : « tu ne mérites pas ça ! Sale petit bâtard, tu ne mérites pas ça ! » - grossièretés surprenantes pour un homme de ce sang. Lacérant les chairs, ce n’est que lorsque l’épaule de son fils fut traversée de part en part qu’il poussa un cri. Sa baguette venait d’éclater entre ses doigts, manquant de lui en arracher deux. Il est bien futile, en effet, de penser pouvoir effacer un symbole magique, résistant, comme une simple trace d'encre. La pureté ne s'aurait s'enlever, il s'agissait là du principe du tatouage. Plus grave, cependant, était la giclée rougeâtre qui coulait sur le mur blanc, tombant goutte à goutte sur le sol. Le corps de Kiyoshi retomba mollement sur le tatami, répandant un peu de son liquide hématique carmin sur le tapis de riz, qui le but goulûment. Le crâne fendu, le regard de Kiyoshi fixait son frère au sol, une expression surprise au visage, frappé de plein fouet par la lame magique, qui avait comme rebondi sur le tatouage fraîchement obtenu par Ryūnosuke.
La suite fut commune, Mme Hashiji hurla d’épouvante, doublée par son mari qui redoublait d’injures, toutes centrées sur la filiation approximative – dira-t-on – qu’il semblait attribuer à son fils. Ryū, quant à lui, était catatonique, le regard perdu dans celui, trouble, rouge, du corps de son frère qui continuait à vomir du sang, comme une outre remplie qui déverserait un déluge bordeaux par son extrémité, emplissant la pièce de ce corps visqueux, épais, qui l’entraînait vers les profondeurs de son âme. Les cris lui montaient à la tête, son corps meurtri le tiraillait. Les éructations oscillaient entre les reproches, la peine, la colère, la haine profonde, les pleurs noyant le tout. Puis le silence, morbide, froid, lourd et étouffant. Sa mère avait sombré dans une profonde syncope et son père avait disparu. Seul le corps de Kiyoshi semblait vivant, se vidant encore d’un sang à présent plus épais, plus sombre, sur le point de se transformer en une croûte sale. Incapable de bouger, il resta là, dans une flaque rouge où son sang et celui de son frère se mêlaient, incapable de fixer autre chose que ce regard vide, glauque, de son cadet. Etait-ce mélange confraternel – d’aucuns diront presque incestueux – de baigner dans un suintement commun qui lui donna cet appétit morbide qu’il développa par la suite ? Peut-être. Le temps que la Brigade locale arrive, alertée par des voisins ayant perçu les hurlements, M. Hashiji avait trouvé le temps de mettre fin à ses jours, non selon le rituel de seppuku propre aux moldus, mais en avalant une potion l’ayant en partie liquéfié.

Les conséquences de ce drame, dont Ryū ignorera les cause jusqu’à un temps plus lointain, furent que Mme Hashiji fut enfermée à l’hôpital, oscillant entre mutisme comateux et crises de folies, entrecoupées de rares instants de lucidité qu’elle passait à pleurer. Après une courte convalescence et un suivi psychologique plutôt sommaire, Ryūnosuke partit à Tokyo, pour reprendre ses études et quitter cette terre qui était à présent maudite.
Grâce à la position de la famille par son statut sanguin, l’histoire fut arrangée pour conclure à une machination ourdie par des sangs-de-bourbe contre une famille pure, le père ayant évidemment été sous le coup d’un Impero. Bien évidemment, Ryūnosuke crut à cette version.


出る釘は打たれる
Le clou qui dépasse finit par être martelé.
Notre jeune personnage resta sept ans à la capitale, recommençant ses études depuis le début. Après la tragédie qui s’était déroulée chez lui, qui lui avait laissé une cicatrice étoilée de chaque côté de l’épaule, striant son idéogramme magique de trois boursoufflures charnelles, Ryūnosuke avait décidé qu’il ferait son possible pour se rapprocher du Lord et de ses enseignements, avide qu’il était de pouvoir ainsi montrer la puissance de sa pensée (ne rions pas) et l’instaurer dans son pays. Ryū voyait grand, s’imaginant un avenir mondial. La honte pesait sur lui, d’avoir un parent infanticide, il laverait le patronyme de ses ancêtres et saurait le ramener à sa juste valeur.De plus, le Japon avait déjà fait alliance, par le passé, avec certains pays extrêmes, pourquoi pas à présent ? Il prouverait ainsi à tous la valeur Hashiji et ressortirait, vainqueur, affichant fièrement son tatouage devant des sorciers béats d’admiration. Il débuta donc des études pour entrer au service des relations internationales du ministère, en pleine ébullition pro-voldemoresque et charmé de voir l’intérêt de jeunes gens motivés pour se dédier pleinement à sa cause.
Plus par habitude culturelle - travailler pour s'intégrer - et volonté de se sociabiliser et de rencontrer des jeunes comme lui que par véritable nécessité financière; il travailla dans une taverne à la mode où le gratin des jeunes gens se retrouvait. Cela lui permettait de surcroît de se trouver des partenaires pour finir la soirée, ce qui n'était jamais néfaste. De manière intéressante, si les moldus avaient adopté une vue pour le moins prude et pudibonde pour la bagatelle, les sorciers les plus conservateurs, plus proches des considérations culturelles ancestrales, n’y voyaient là qu’un passe-temps comme un autre, festif et agréable. Ainsi, les coucheries n’étaient pas mal vues, ce qui était une différence notoire d’avec les occidentaux, trop béni-oui-oui pour savoir se servir correctement de leurs attributs gonadiques. Ryū n’était pas regardant, jouant pour les deux équipes. Après tout, les samouraïs eux-mêmes avaient, auparavant, femme et favori, tout était pour le moins normal. Nombre d’ukiyo-e, estampes, ne montraient-ils pas de manière crue et simple les frasques de ces héros nationaux ? Si. Peut-être enivré de sa liberté loin de sa terre natale sudiste, ayant comme un besoin irrépressible de laisser libre court à ses pulsions, il serait futile de préciser que notre héro s’en donna à cœur joie lors de ses années au ministère, avec un goût prononcé pour toute violence ajoutée. En revanche, le tabou le plus total encadrait sa vie. Si cela était accepté, il n’était pas seyant d’afficher son intimité devant tout un chacun. Tempérance en tout moment et humilité systématique. Après tout, le monde sorcier était petit, il fallait – encore pour le moment – faire profil bas et amende honorable des atrocités du père. Si la version officielle évitait la honte, Ryūnosuke la sentait poindre en son cœur, palpable, nourrissant une haine grandissante pour les « inférieurs », d’autant plus grande que leur statut était impur.
Durant ces sept années, aucune réponse ne lui parvint de sa mère, il se rendait une fois l’an sur la stèle de son frère, située dans la propriété dont il était à présent responsable. Il envoya un dernier hibou au moment où il fut détaché en Angleterre, en 2008, pour accompagner l’émissaire japonais auprès du Ministère britannique. Son message fut simple, bref, dans un style quasiment télégraphique si notre héros avait su ce que cela signifiait.

Bien que simple associé à la délégation britannique, Ryūnosuke en profita pour tenter de tisser des liens avec les autochtones, parvenant, au bout de quelques 4 années, à parfaire son anglais. Si un léger accent restait toujours, ponctuant ses phrases d’une musicalité différente, il n’en était pas moins devenu parfaitement fluide. S’il avait eu quelques problèmes durant les premiers mois suivant son arrivée et avait eu recours à bon nombre de sortilèges de traduction, il avait vite compensé son handicap par une volonté de fer et s’était perfectionné dans sa maîtrise de la langue, pour finir par ne plus avoir besoin de recourir à la magie pour comprendre et se faire comprendre. Son ambivalence sexuelle faillit lui jouer des tours, lui qui s’était avéré assez ignorant des coutumes des autochtones et de leur inimitié face aux personnes qui sortaient de la « vraie norme naturelle ». Courant peu développé de l’autre côté du monde dont il provenait, il n’avait pas pris la peine de s’interroger sur la légitimité de son comportement passionnel et pulsionnel dans un territoire si culturellement différent. Sur le point de passer pour un impropre, il avait réussi à s’en tirer de justesse en prétextant une raison culturelle, ne remettant en rien la rectitude de son comportement vis-à-vis de ses partenaires de lit. Loin de s’en émouvoir, vraiment, Ryū en ressenti légèrement plus de condescendance envers des gens, qui, selon lui, n’avait pas compris que, lorsque l’on dominait la Création, on se devait d’en jouir au maximum. Loin de s’en repentir, cela l’excita presque en le forçant à trouver différentes manières de protéger ses arrières.
Après la cinquième année passée sur Blighty, Ryūnosuke sentit un léger vague à l’âme le prendre, nostalgie bien évidente liée à son pays d’origine. S’il commençait à percer lentement dans son métier, se faisant voir de toutes parts et apprécier pour son sérieux, gravissant lentement les échelons à force de volonté, mais aussi de beaucoup de flagornerie bien dosée, il n’en ressentait pas moins un besoin de se ressourcer dans la mère Patrie. Sa délivrance arriva avec un hibou de l’hôpital où sa mère séjournait depuis la tragédie familiale, lui annonçant un certain rétablissement de cette dernière. Il obtint l’autorisation de retourner pour un temps court au pays, afin de remplir son devoir filial.
C’est un homme différent qui sortit de la chambre d’hôpital que celui qui y était entré une heure plus tôt. Livide, le regard exorbité, les yeux chargés de sang et le cœur de haine, sa respiration courte le faisait haleter. L’on pouvait voir, à ses tempes, battre le sang dans ses veines, sa mâchoire crispée renforçant cet aspect brutal que le rouge carmin qui lui irriguait le visage lui donnait déjà. Et la honte, que dire de la honte issue de cette souillure qu’il ressentait, de cette salissure qui l’accompagnerait partout, le suivrait dans tous les recoins, dans tous les lieux.
*Mais que ne pouvait-elle se contenir, alors ? Traînée.*
Ryūnosuke fulminait, la tache englobait son cœur et le lui noircit encore un peu plus. Il ne revint que deux jours plus tard et resta dix minutes. Lorsqu’il ferma la porte de la chambre, il sut que sa mère commencerait à subir de nouvelles crises d’angoisses, épileptiques, convulsives. Et que sa bouche resterait liée à jamais. La haine l’avait envahi au point d’éliminer le seul fragment de famille qu’il lui restait.
Famille ? Allons dont. Entre un père infanticide et une mère adultère, qui aurait pu appeler cela une famille ? Et dire qu’elle avait… avec un…
Pour comprendre les raisons de Ryū, il convient de remonter à la conversation qu’il eut alors avec sa génitrice quelques jours plus tôt. Il était entré, guindé, sec et sévère, et s’était approché sans mot dire. Ce ne fut qu’après de longues minutes d’un silence lourd et suintant que sa mère avait ouvert la bouche pour prononcer quelques phrases cohérentes. Hélas, si sa cohérence grammaticale était revenue, elle n’en demeurait pas moins toujours légèrement décalée de la réalité. Ses paroles étaient décousues, fluctuantes. Aurait-elle été dans un état normal, elle n’aurait jamais prononcé les paroles qui révoltèrent notre héros et le mirent – moralement – à genoux. Son ton était incroyablement neutre, presque enfantin, comme si elle ne réalisait pas, elle ne réalisait plus, les actes qu’elle racontait. L’on aurait dit une poupée qui racontait un texte, sans passion, à peine une petite musicalité dans la voix.

« Je sais que tu en veux à Otô-san… mais ne sois pas dur… Un accident… Kiyo-kun… Il a contenu le démon si longtemps… Tu ne sais pas, toi… non, il m’en a voulu… Mais oui, c’est toi, la souillure… Il ne savait pas, mais je t’attendais quand on s’est rencontrés, avec Otô-san… Non, il ne savait pas… Moi, je n’ai rien dit… Pas avant que tu partes… Je ne pouvais pas, tu sais, un enfant conçu est sacré… alors voilà… ton père, rien… c’est quand tu as reçu la lettre, oui, oui, qu’il a su… Il a voulu interroger les kami pour savoir ton avenir… Et alors ils lui ont dit… oh, j’ai eu honte, tu sais… mais la jeunesse, et puis il m’avait avoué vouloir m’épouser… alors ensuite, ma famille a refusé… et donc ton père a su, tu sais, et il ne l’a pas cru, non… moi, je voulait aussi, mais ensuite, il a disparu, et mes parents ont trouvé Otô-san… alors oui, il je lui ai dit, il faisait peur… on s’est épousé, il savait rien… et puis c’est normal, des noces rapides, tu sais… Il avait beaucoup travaillé, Otô-san, je crois qu’il t’aimait beaucoup… mais tu sais, tout le monde te disait que tu me ressemblais, jamais à lui… je crois que c’est ma famille qui l’a tué, on a juste retrouvé son pavillon brûlé… Tu sais, pour ton nom, j’ai eu peur… mais j’ai réussi à la calmer, alors, un philtre… mais tu sais, ça ressort… l’honneur l’empêchait, tu crois bien… même si pas son fils, son fils quand même… alors voilà, il a calmé son démon, je l’ai calmé, mais ça m’a coûté ma santé… un donné pour un acquis, alors j’ai flétri… et puis ton tatouage… mes parents ont toujours cru que, non, rien, tu sais, juste une amourette… mais il a explosé, alors, tu ne pouvais pas, tu n’étais pas… moi je ne savais pas… mais ce n’est pas de sa faute, c’est le démon en lui qui l’a poussé… et moi je ne savais pas, tu sais, ses parents, il n’étaient pas sorciers… oh, ton pauvre frère, pauvre petit Kiyo-kun… et c’est comme ça qu’on s’est mariés… »

Il n’avait pas fallu longtemps à Ryūnosuke pour comprendre l’inadmissible.
Il était ce bâtard que son père avait repoussé.
Il était ce bâtard illégitime et mensonger.
Il était cette souillure dans le sang familial. Une putréfaction au beau milieu de son monde.
Lorsqu’il quitta l’hôpital le premier jour, il avait eu en tête d’en finir, de nettoyer cette tache qu’il faisait, pour laver la honte qu’il ressentait et le déshonneur qui lui incombait. Mais son ego pris le dessus et il se ravisa. N’était-il pas un modèle ? N’avait-il pas prouvé sa valeur ? Son sang pourri, s’il lui brûlait les veines, n’en était pas moins un manquement de sa mère. Alors il confectionna un Omamori, un de ces charmes communs, morceaux de papier dans leur enveloppe de tissu, et il y introduisit toute sa haine, son dégoût et son mépris. Il y insuffla tout ce qu’il pouvait de rancœur et de violence avant de le fermer. Il avait transpiré, pour le faire, il avait senti son sang couler par tous les pores de sa peau, suinter à travers ses vêtements, souillant ses environs. Il fallait que la flétrissure crève ! Qu’elle crève, qu’elle crève ! Comme tous ces autres moins que rien, ces sous-merdes qui pensaient pouvoir profiter de l’air qu’il respirait comme le pouvait un sang-pur. Il leur montrerait, à ces raclures, que même un rat valait mieux qu’eux, il leur ferait comprendre que l’on ne mélangeait pas les chairs, il les…
Et son dégoût de lui-même le frappa encore plus fort. Il avait été souillé par un sang-de-bourbe que sa mère avait rencontré, une moitié de lui était sale et crasseuse comme ces moins que rien. Alors il en profiterait. Il userait de sa proximité d’avec la fange pour la consumer, la brûler et l’annihiler. Seule une moitié triompherait, la plus pure et la plus immaculée. Dominer la création, n’était-ce pas cela le vrai message en lequel il avait toujours cru ?
Si.
Il aiderait à rétablir les sangs selon leur hiérarchie naturelle. Tout en dominant les inférieurs, les asservissant, les…
La rage hurlait en son ventre alors qu’il avait déposé l’Omamori dans la main de sa mère, inscrivant son maléfice dans son corps avant de se volatiliser. Elle resterait démente, tourmentée et violentée jusqu’à son décès, peu lui importait. Le sang prévalait, quiconque le souillait paierait.

Il ne revint jamais au Japon, pas même lorsque sa mère décéda d’un hémorragie cérébrale peu de temps avant la perte du Ministère anglais en 2020. Sa mission divine – imaginait-il – ne faisait que commencer.
PORT D'ATTACHE

NEANT ! Ryūnosuke se refuse de retourner au pays, ayant laissé derrière lui une famille large mais qu’il connaît peu, cousins plus ou moins proches. Ses seusl contacts sont en Angleterre, qu’il s’est mis à voir comme sa terre d’adoption, lui permettant de mener à bien son entreprise purificatrice.
APTITUDES MAGIQUES

♜ BAGUETTE MAGIQUE :
En tant qu’étudiant de Mahoutokoro, c’est évidemment une baguette en bois de cerisier qu’il possède. Son cœur en dard de manticore ne semblait pas être une évidence lorsqu’il était enfant. Si la force de caractère ne lui manquait pas, l’imprudence ne semblait pas être son point le plus fort, encore moins l’agressivité. Cependant, Ryūnosuke enfouissant, systématiquement, ses frustrations et colères, son agressivité explose – de manière imprudente, parfois – lorsqu’il est poussé à bout. Mettez-le dans une confrontation face à des rebuts de l’humanité – des sous-sangs, entendez bien – et il saura tenter de vous donner une nouvelle version de ce que l’histoire moldue a appelé kamikaze. Son agressivité, retournée en partie contre lui-même, sang-mêlé convaincu, durant longtemps, d’être pur, est ainsi retransmise sur autrui, décuplée par un effet proche de celui des poulies sur les cordes d’un navire. Cependant, sa détermination est certainement ce qui lui permet de tenir debout, malgré les conflits qui le déchirent.

♜ PATRONUS :
Pas trop quoi ?

♜ RÉSULTATS AUX BAKA (équivalence BUSE) :
Bien que bon travailleur, Ryūnosuke se préservait pour les matières qu’il considérait comme nobles, délaissant celles qui, de son avis – et bien évidemment aussi de celui de sa famille – étaient peu importantes, voire inférieures. Bien évidemment, tout ce qui touchait à la magie proprement locale était privilégié, ainsi que les sortilèges et métamorphose, faisant partie des matières considérées comme difficiles. L’astronomie n’était qu’un repère de fainéants qui regardaient le ciel, la botanique de jardiniers, et les potions de cuisiniers en devenir. Ne parlons pas de l’arithmancie, matière aussi sérieuse qu’un article de politique du dernier numéro de « Sorcières et tentacules ». Enfin, la connaissance des moldus lui semblait nécessaire pour, évidemment, pouvoir comprendre l’origine de leur infériorité.

♦️ Botanique : P
♦️ Histoire de la magie : A
♦️ Métamorphose : E
♦️ Potions : T
♦️ Sortilèges : O
♦️ Etude des Moldus : A
♦️ Divination : A
♦️ Etude des Omamori : E
♦️ Magie traditionnelle : O

♜ RÉSULTATS AUX SUMIMASEN (équivalence ASPIC) :
De manière un peu surprenante, Ryūnosuke rata la divination, mais confirma ses BAKA pour le reste.
♦️ Histoire de la magie : E
♦️ Métamorphose : A
♦️ Sortilèges : O
♦️ Divination : P
♦️ Etude des Omamori : O
♦️ Magie traditionnelle : E


♜ RAPPORT A LA MAGIE :
Ryūnosuke excelle en sortilèges, matière qu’il affectionne tout particulièrement. Etant né « trop tôt » pour pouvoir avoir les cours de sortilèges et maléfices de combat, directement importés du Royaume-Uni, il sut néanmoins faire ses preuves et reste un bon combattant. S’il n’est pas du tout du même niveau qu’un tireur d’élite, il put se faire la main et reste un atout en combat. De plus, il est loin de cracher sur un peu d’action…
L’étude des talismans a été une grande passion dont il ne se sert que très peu, les Omamori étant longs et fastidieux à préparer. Ainsi, s’il a chez lui quelques charmes de ce genre, majoritairement placardés sur quelques murs, cela lui demande trop d’énergie à préparer et a donc cessé d’y recourir trop souvent. Il en va de même pour la magie traditionnelle, amusante mais qu’il considère plus comme un vestige archéologique, peu pratique dans la vie de tous les jours et surtout totalement dépassée. Enfin, la métamorphose est une matière qu’il affectionne toujours, tant pour son côté utile que, plus archaïquement, quelque peu tape-à-l’œil et grotesque. (il faut aussi voir ce qu’il métamorphose) Malgré cela, il n’a jamais cherché à devenir animagus, considérant qu’il s’agissait là d’une souillure pour l’homme.

POLITIQUE

Que pensez-vous de la hiérarchie des sangs et des moldus ? Il s’agit là, vous en conviendrez tout à fait, d’une évidence toute naturelle. Après tout, l’homme est-il l’égal du singe ? Certes, nous avons, tout comme eux, deux bras et deux jambes, mais la comparaison s’achève ici. Il en va de même avec les moldus. Ce sont un peu nos singes, vous voyez. Rien de mal à les mettre dans des petites cages pour leur envoyer des bonbons, je suis même certain que cela leur ferait plaisir. Mais il est du devoir de l'Homme de dominer la Création, si vous excusez ces paroles un rien saugrenues, et il est normal que les singes soient les serviteurs de ces derniers, n'est-ce pas ?
Le sang coule donc de source, si vous me permettez cette façon de m’exprimer et cet atroce jeu de mots que cela forme, bien malgré moi, bien malgré moi. De la même manière que l’on passe du violet au rouge en traversant toutes les couleurs, il n’existe qu’un seul rouge. Jusque-là, voyez-vous, l’on n’a que des nuances, s’approchant de plus en plus du carmin le plus suave.

Quel est votre ressenti vis à vis de la situation politique actuelle ? Plaît-il ? La situation politique ? Intéressante ? Banale ? Evidente ou fatale, que voulez-vous que je vous dise. Il n’est pas surprenant de voir que tout va à vau-l’eau, dans ce pays. Ne prenez pas cela pour un jugement, non, je ne me permettrais guère, je ne fais que constater l’incapacité de l’Ordre du Phénix à établir une politique cohérente et juste. Regardez donc la population qui hurle, comme à Londres, encore récemment. Et bien évidemment, cela à cause de quoi ? Regardez autour de vous, interrogez les gens. Des moldus et des sangs-de-bourbe. L’on dira ce que l’on voudra, quand il y a des problèmes, ils sont toujours dans les parages. Coïncidence, vraiment ?

Nous pouvons à présent nous intéresser à ma famille politique, si vous le voulez bien. J'étais, comme vous pouvez aisément le concevoir, fervent admirateur de feu Mervyn Kark. Outre le fait qu'il fut - en toute objectivité - un excellent ministre, sa politique et sa vision du monde n'étaient pas sans m'émouvoir. Vous comprendrez que, dans ma culture, nous partagions sa vue sur les moldus et sur ce que doit être un sorcier, en vérité, intrinsèquement. Certes, certes, d'aucunes langues un rien haineuses diront que Elena Kark, sa femme, ne doit son poste qu'à son mari par un népotisme indigent, disent-ils. Je ne le pense nullement. L'avez-vous vu se battre, bien qu'endeuillée par la perte de son époux, luttant pour la continuité de l'œuvre de notre ancien ministre. J'étais proche, je l'ai vu, de mes yeux. Une force humaine, déterminée. De plus, Madame Kark a ce petit quelque chose, cette supériorité sang-pure que nous autres *quinte de toux* partageons. Un mot, et c'est le gibet. Un regard, foudroyé. Délectable.
Mme Salamander, certes, me direz-vous, possède ces mêmes qualités. Peut-être. Mais laisser les moldus paître en toute liberté ? Laissez-vous votre chien s'encombrer de puces ? Nous avons un devoir moral de protection et de salubrité publiques. Elle me semble donc, bien que précieuse par ailleurs, n'allez pas interpréter ce qui n'a pas été dit, plutôt décalée quant à la réalité, dirons-nous. En revanche, ne me lancez pas, je vous en conjure, sur ses élucubrations quant au sexe faible...

C'est un peu ce pour quoi je suis resté ici. J'aurais pu retourner chez moi, mais il n'y a aucun combat à mener, là-bas, alors qu'ici... nous ne saurions nous satisfaire d'une défaite. Et si je peux aider Mme Kark en assurant un lien avec ma mère Patrie, cela ne m'en réjouis que davantage. Difficile, cependant, d'être coincé dans ce trou à rats qu'est Pré-au-Lard. Comprenez-moi bien, j'aime beaucoup la campagne, c'est très pittoresque. Mais de grâce, que les gens ici sont fats et lents ! L'animation plus urbaine et cosmopolite des grandes villes me manque un peu, j'imagine. Mais que voulez-vous, le triomphe est à ce prix.
TON VRAI VISAGE

♦️ Je me nomme Ryūnosuke Hashiji 66508 Lau Ryūnosuke Hashiji 66508, j'ai 28 ans. J'utilise Takashi Sorimachi comme avatar. Mon personnage est un inventé . Je suis arrivé(e) ici en faisant une demande de DC. Ma première impression est ainsi : ET BIS REPETITA ! Je pense passer environ 5-6 et RP a peu près autant.

Ai-je besoin d'un parrain pour m'aider lors de mes débuts sur le forum ? Niet
Ryūnosuke Hashiji
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Re: Ryūnosuke Hashiji
ce message a été posté Ven 22 Aoû 2014 - 11:14
[RESERVE pour un possible point civ']

(au cas où...)
Alden D. Wheeler
Alden D. Wheeler
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Rapeltout
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Re: Ryūnosuke Hashiji
ce message a été posté Ven 22 Aoû 2014 - 18:57
Rebienvenue Gaga !!  Ryūnosuke Hashiji 335983 

Et vu l'avancée de ta rédaction, bon courage pour... l'épreuve de la validation ? haha
Brooke Macnair-Schmidt
Brooke Macnair-Schmidt
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Rapeltout
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Re: Ryūnosuke Hashiji
ce message a été posté Sam 23 Aoû 2014 - 14:50
ouuuuuh Gaga verse dans le côté obscuuuuur !

Chouette fiche en tout cas Smile rebienvenue Wink
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Rapeltout
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Re: Ryūnosuke Hashiji
ce message a été posté Sam 23 Aoû 2014 - 15:46
Purée un bridé quoi ... Tu l'as fait ! T'as osé !

Ryūnosuke Hashiji 66508

Nan, sérieusement, perso qui a l'air très intéressant. Bon courage pour ta valid' !
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Rapeltout
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Re: Ryūnosuke Hashiji
ce message a été posté Sam 23 Aoû 2014 - 16:28
Je valide le choix de l'avatar, carrément même. Ryūnosuke Hashiji 66508 (Taka-chan quoi. Ryūnosuke Hashiji 387712)
Rebienvenue parmi nous en tout cas & comme les autres, je te souhaite bon courage pour la validation ! Ryūnosuke Hashiji 346209
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Re: Ryūnosuke Hashiji
ce message a été posté Sam 23 Aoû 2014 - 20:13
Ah ouais, t'envoies du lourd avec ton japonais là je trouve O____O

Re Gaga ! Ryūnosuke Hashiji 66508
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Re: Ryūnosuke Hashiji
ce message a été posté Dim 24 Aoû 2014 - 9:25
Re et merci pour le nouvel accueil ! Smile

D'ailleurs, si d'aucuns veulent un petit lien, je suis preneur Very Happy
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Re: Ryūnosuke Hashiji
ce message a été posté Dim 24 Aoû 2014 - 18:39

Petite note du Staff

   
Bonsoir petit poulpe des forêts étoilées ! Ryūnosuke Hashiji 66508
Tu nous as encore pondu un perso bien sympathique, avec une approche assez innovante du monde des sorciers et de notre contexte !

Ça aurait été un plaisir de te valider du premier coup, mais non… Ryūnosuke Hashiji 66508 Il y a quelques petites bricoles qui nous chiffonnent et qu’il va te falloir corriger.

Tout d’abord un petit problème de date, notre saint lord ne disparait pas en 1980, mais en 1981, par un funeste soir d’Halloween.

Seconde bricole, Ryu est un brin en avance sur son temps avec sa vision négative des sang-mêlé.
Citation :
Si les moldus étaient inférieurs, ils n’en demeuraient pas moins insignifiants, tels des larves, que l’on pouvait sans problème écraser du talon, au besoin. En revanche, les sangs-mêlés étaient, selon cette idéologie, les plus abominables des humains.
Pendant les temps de conquête du Lord la bête noire c’est le né-moldu !  Il vole ta magie et mange tes enfants ! On finit par les tolérer après quelques petites années, et ce qui devient beurk caca c’est le mélange ! C’est jamais bon de croiser les effluves, voldy-chou jugeait les sang-mêlé comme lui plus puissant, il n’avait pas tellement envie de laisser ces dangers en puissance proliférer. Mais ça c’est la raison top secrète qu’il ne gardait que pour lui au fin fond de sa tête de serpent ! La famille de Ryu peut voir les sang-mêlés de façon négative, mais à l’époque ce n’est pas ce qui est le plus prôné ! =)

Ensuite,  plus embêtant : la marque des ténèbres. Cela ne peut pas être une vraie, ce n’est pas quelque chose qu’on prend à la légère ni quelque chose qu’on obtient facilement. Il faut être mangemort, et être mangemort à l’époque c’est servir le Lord, être appelé, savoir où le trouver etc. Donc on imagine mal un mangemort anglais marquer Ryu comme ça.  On peut te proposer une contrefaçon à la place, un tatouage magique représentant la marque des ténèbres, envouté au besoin pour la rendre plus résistante ou je ne sais quoi. Mais pas la vraie marque qui lie à Tonton Voldy.

Autre petite pinaillerie, pourquoi avoir un second travail ? Il hérite après la mort de son père, la famille n’a pas d’économie ? De richesse sur lesquelles s’appuyer ?

Ton personnage a également trop d’options au BAKA.

Et pour finir on souhaiterait en savoir plus sur sa vision de la vie à Pré-au-Lard, et également comprendre pourquoi il n’est pas retourner au Japon une fois les phénix au pouvoir. On voudrait également connaitre sa vision des deux leaders mangemorts, et notamment de sa chef de faction Elena. Il faudrait également justifier son choix de faction, pourquoi plus ombre qu’héritier ? Pour dresser les singes ?

Nous sommes à ta disposition en cas de questions ! Bon courage pour tes modifications ! =)
 
   
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Re: Ryūnosuke Hashiji
ce message a été posté Lun 25 Aoû 2014 - 10:59
Hello !!


Merci pour votre réponse non seulement rapide mais détaillée !


Alors je reprends mes corrections :

- Date de 1980 changée en 1981 (ça ne change rien pour son frère, il sera un an plus jeune et puis ce n'est pas comme si il avait un grand avenir devant lui Ryūnosuke Hashiji 66508 ) : j'avais confondu avec l'année de naissance de HP Ryūnosuke Hashiji 66508 (boulet !)

- J'ai corrigé le point sur sang-mêlé/né-moldu (poil au...) :
Citation :

En revanche, les né-moldus étaient, selon cette idéologie, les plus abominables des humains. Imaginez-vous des cafards venir dans votre maison et boire votre saké ? Il y a des choses que la raison ne peut ignorer. De manière similaire, la famille de notre héros, comme de nombreux autres sorciers nippons, méprisaient les sangs-mêlés, qu'il voyaient comme une souillure de la lignée et de la pureté du sang, point qui les différenciait un brin, nous en conviendront, de la doxa officielle britannique.

- Effectivement, j'avais considéré la marque des Ténèbres comme facile à obtenir.

J'ai donc changé, comme proposé, en quelque chose qui ainsi correspond peut-être mieux : un symbole magique, peu utile, mais pour montrer son appartenance à la "race supérieure" (ce que j'explique dans le texte) :

Citation :
Exhultant, il se fit tatouer, dans l’élan, un symbole bien particulier sur l’omoplate gauche, galvanisé qu’il était par ce retour en force du Lord. Cet idéogramme mouvant représentait 潔,, symbole de pureté, comme pour prouver son appartenance à une élite, une race élue. Comme toujours, l'histoire se répétait.

- Effectivement, le boulot, j'aurais dû être plus précis. C'est modifié :

Citation :
Plus par habitude culturelle - travailler pour s'intégrer - et volonté de se sociabiliser et de rencontrer des jeunes comme lui que par véritable nécessité financière; il travailla dans une taverne à la mode où le gratin des jeunes gens se retrouvait. Cela lui permettait de surcroît de se trouver des partenaires pour finir la soirée, ce qui n'était jamais néfaste.

- J'ai supprimé Astronomie et Arithmancie de ses options aux BAKA. (peu utiles)

- J'ai précisé pourquoi Ombre, il me semblait que l'histoire le mettait en avant (sa haine des moldus etc.) j'ai donc fait un ajout dans "politique". De même pour les cheffes des deux factions, Ombres et Héritières. Idem pour "pourquoi il est resté".

Voilà, j'espère que c'est plus clair ! Smile Merci de votre temps.
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Re: Ryūnosuke Hashiji
ce message a été posté Lun 25 Aoû 2014 - 13:10

   
Félicitations, te voici validé !

Et voila, c'est tout bon ! Amuse-toi bien avec ce DC et vend-nous du rêve en RP surtout Ryūnosuke Hashiji 858797
   
Tu rejoins les Réfugiés mangemorts. Je t’invite à créer ta fiche de liens pour que nos petits camarades puissent nouer des relations, ainsi qu’à ouvrir tes chroniques où tu pourras regrouper tous tes RP et écrire des informations annexes sur ton personnage.

   
Penses à bien remplir tous les champs de ton profil !

   
Bon jeu & bon RP sur FDD !  
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Re: Ryūnosuke Hashiji
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