| Lexy Kark Future Mrs Dolohov | | Vous avez dit perdue ? ce message a été posté Sam 26 Oct 2013 - 13:30 Du monde, beaucoup de monde, trop. Un jeu de blouses qui s’élançaient dans les couloirs, passant d’un lieu à un autre sans jeter un regard à cette petite rousse au visage fermé. Des corps, des urgences, un jargon incompréhensible, des ordres, donnés avec plus ou moins de force, du bruit, tel un essaim d’abeilles affairées. C’était ça un hôpital, une clinique.
Lexy avait à peine commencé ses cours qu’elle était déjà perdue. Elle était allée aux toilettes et voilà qu’elle avait pris le mauvais chemin. Impossible de retrouver le couloir qui la mènerait à sa classe. Elle avait déambulé dans la clinique, cherchant un indice pour qu’elle puisse arriver à bon port, mais rien ne lui sautait aux yeux. Elle avait déjà demandé son chemin, mais visiblement la personne qui l’avait renseignée n’en savait pas plus. Sans le savoir, elle se retrouvait à l’opposé du bâtiment. Les bras serrant ses deux livres contre sa poitrine, elle commençait à perdre espoir. Il n’y avait plus qu’une solution, demander sa direction de nouveau. Elle avait horreur de ça, d’aborder des inconnus dont elle ne connaissait pas le rang de pureté. Pourtant c’est le métier le plus demandeur de ce genre de capacité qu’elle avait choisi. Le temps et le professionnalisme changeront ça, elle en était persuadée. En attendant, elle restait perdue, du haut de ses 18 ans, de nouveau en bas de l’échelle dans ce cycle d’éducation.
Elle ne savait pas dans quel service elle avait atterrit, il n’y avait personne à petit plot d’accueil. Trop occupés ? En pause ? Il allait falloir attraper quelqu’un au vol et faire son numéro de demoiselle apeurée – ce qui ne serait pas difficile étant donné que c’était le cas. Le destin sembla vouloir lui faciliter le travail.
Quelqu’un la bouscula en voulant passer. Excuses bredouillées, l’air grognon…
« Hum… S’il vous plait ! »
Oui Lexy, tu as parfaitement choisi la personne pour demander ton chemin ! Un médicomage à voir la couleur de sa blouse – merci Sevastian. Elle s’avança d’un pas pressé vers l’homme qu’elle venait d’aborder. Les femmes étant toutes terriblement affairées, mieux valait déranger un homme inutile. Visage déjà vu, ils avaient dû se croiser, peut-être au Manoir … La jeune fille était loin d’être physionomiste, mais entre la fuite de Poudlard, le Triathlon, les montagnes Russes de Gingotts ou encore Assapor, elle avait certainement dû se retrouver dans la même pièce.
« Pouvez-vous m’indiquer le chemin vers les classes pour les élèves Infirmiers ? »
Soit mignonne et sors un petit sourire gêné, voilà, très convaincant Lexy. Les livres à son nom toujours serrés contre elle, la jeune Kark tentait de ne pas avoir l’air trop ulcérée au fait de parler à l’homme des cavernes – tout le monde sait que les hommes sont non civilisés. Pire, si elle pouvait éviter de croiser son fiancé dans une situation pareille, elle serait prête à lui sourire de toutes ses dents ! |
| Elie Brights Schtroumpf Grognon | | Re: Vous avez dit perdue ? ce message a été posté Jeu 2 Jan 2014 - 19:45
Pré-au-Lard. Si Elie avait, à d'autres moments de sa vie, bien aimé y passer un peu de son temps, c'était bien différent aujourd'hui. Aujourd'hui, il y vivait et ce n'était pas par choix. Aujourd'hui, ils se retrouvaient tous entassés dans ce lieu emménagé par la force du destin en ville Mangemorte. Cette ville n'était plus un endroit de détente où il pouvait y venir quand il en avait envie. Cette ville, malgré les aménagements qui y avaient été faits, ressemblait d'avantage à une prison. En y réfléchissant, qu'il y reste ou non revenait au même. Les mots 'prison' et 'enfermement' étaient présents dans les deux situations même si l'idée était présentée de façon plus agréable d'un certain côté de la barrière. Les sang-purs avaient tous les droits, les meilleurs avantages. Soit, ce n'était pas bien différent d'avant, il s'y était habitué. Ce qui changeait la donne était qu'avec Mervyn Kark au pouvoir, au moins, il avait une certaine forme de liberté. Ce qui dérrangeait bien plus le jeune Brights était de devoir tous se les coltiner, de devoir faire son sociable, de ne pas avoir cet instant de tranquillité qu'il rêvait d'avoir. Il y avait bien la forêt interdite mais, évidemment, le cadre n'avait rien d'enchanteur.
Parfois, il se demandait s’il avait fait le bon choix. Après tout la vie politique du pays ne le concernait pas. C’était l’affaire de ceux qui avaient quelque chose à perdre. Seul son métier l’importait à l’époque de Kark et de Voldemort. Le reste il ne s’en souciait pas, se bornant à faire ce qu’on lui demandait pour ne pas avoir de problème. Avoir une vie sociale ne l’avait jamais intéressé au grand damn de certains. En fait, c’était un peu pareil ici, du moins, il s’y efforçait. Sa routine se constituait à travailler et puis rentrer chez lui. Les membres de l’Ombre de la Rose Noire gardaient leurs petits clans bien rangés dans lesquels il y était quasi impossible pour un basique tel que lui d’y entrer et quand à Astra et bien… la jeune femme semblait avoir une vie parfaite dans laquelle il ferait mauvais genre. Comme d’habitude. Restait la Clinique, seul endroit où il pouvait travailler et ne pas s’occuper de la vie dans la petite ville. La Clinique Mangemort était un lieu à part même si tout était désorganisé tant au niveau de l’accueil des patients (peu de place par rapport aux demandes d’être soigné) et des élèves qui finiraient, un jour, par prendre sa place. Les élèves. Personne ne lui avait encore demandé d’enseigner une matière à ces jeunes fraîchement sortis de Poudlard. Pour le moment. S’il le fallait, il passerait tous les jours devant la place de la Révolution et demanderait au Lord, en prière, de ne jamais être désigné comme professeur en échange de quoi il ferait n'importe quoi ... dans la mesure du raisonnable, bien entendu. Professeur. Quelle plaie.
D’un signe de tête, le Poufsouffle salua les Medicomages présents dans le Hall d’entrée avant de se diriger vers la liste qui indiquait les patients déjà présents et leurs symptômes. Les services étant gratuits, il roulait parfois des yeux devant certaines blessures qui lui paraissaient bien futiles comparées à d’autres. Il lui arrivait de se déplacer parfois chez les habitants mais généralement, il restait au sein de la Clinique. Gauche, droite. Droite, gauche, boum. Détour, regard en arrière pour voir si l’inattentive n’avait rien et il pouvait continuer après une rapide excuse même pas dite sincèrement. Parce que c’était la moindre des choses même s’il n’était pas celui qui avait bousculé la demoiselle. Il ne voulait pas avoir de problème. Pas de problème. Plus il trainait, plus une blessure moyenne avait des chances de devenir grave. Sa place n’était en aucun cas dans les couloirs avec une … une étudiante. Misère, non, il ne connaissait pas l’endroit où elle devait aller. En vérité si, il le savait très bien, il n’avait juste aucune envie de l’assister dans sa recherche. Il y avait assez de panneaux indicatifs pour cela. L’entendant l’interpeller, le jeune homme se retourna, s’efforçant de ne pas montrer son air agacé. Il pouvait, de temps en temps, faire des efforts. N’avait-elle donc pas reçu de parchemin avec les informations nécessaires ? Il ne s’avait même pas à qui il s’adressait. Il pouvait se montrer bourru avec certaines personnes d’un certain rang, à d’autres, c’était plus compliqué. Saute donc dans le tremplin de la sociabilité. Mhh, pas évident quand on est Brights et blaireau.
Il ne se souvenait pas l’avoir vue mais, ces derniers temps, il voyait tellement de monde qu’il lui était quasiment impossible de mettre des noms sur des visages. Il l’observa un bref moment histoire de préparer mentalement ce qu’il allait lui dire. Tant qu’il ne savait pas à qui il s’adressait, il n’avait pas droit à l’erreur. Des jolies rousses en plus, ce n’était pas bien courant. Malheureusement, son identité lui était toujours inconnue. Lorsqu’elle parla à nouveau, le Medicomage s’approcha et jeta un rapide coup d’œil au papier qu’elle tenait entre les mains, sur lequel un certain nom y avait été inscrit. Très bien, il allait donc éviter de faire des remarques sur le fait de savoir ou non lire un plan. Les aménagements effectués à la Clinique étaient récents et il n'était pas rare que des patients se trompent de chemin. La jeune femme, par contre, voulait devenir infirmière : elle allait devoir apprendre à s’y retrouver toute seule un jour où l’autre. « Mais bien entendu Miss Kark. », lui adressa t-il d’un ton un peu plus poli et moins désobligeant que d’ordinaire. « Après quelques jours, vous finirez par vous y retrouver. Ce n’est pas toujours évident avec les aménagements réalisés récemment. » Il regrettait Sainte-Mangouste et la séparation des différents services. C’était une affirmation catégorique. La Clinique était trop petite pour y accueillir à la fois les élèves et les patients. Les Médicomages manquaient indéniablement de place et, si chaque étudiant venait à les déranger parce qu’ils ne savaient tout simplement pas s’orienter, une perte de temps serait à ajouter dans les points négatifs à vouloir associer les étudiants et les Medicomages dans un espace aussi réduit. Mais d’aussi loin qu’il s’en souvienne, cela avait toujours été ainsi alors, malgré le manque de place évident, pourquoi changer ? Le Medicomage tourna la feuille dans le bon sens et invita la jeune femme à le suivre.
Que dire ? Quel propos ne paraitrait pas désobligeant de sa part ? Le chemin n’était pas bien long mais le silence imposé rendait la situation pesante et, pour tout dire, il avait tout l’air d’un larbin ayant abandonné ce qu’il était supposé faire pour aider … pour aider quelqu’un qui lui était supérieur. Le Medicomage s’empêcha de soupirer d’agacement. Devait-il se présenter ? Il avait un badge sur sa blouse verte et la jeune femme n'avait pas eu l'air de s'y intéresser outre-mesure. Le jeune homme décida que non : « Devenir infirmière c’est une vocation où les récents évènements vous ont-ils montré la réalité sur le terrain ? » Ils manquaient d’effectifs du côté Medicomages tant qu'infirmiers, c’était net et ce n’était surement pas restant coincé à Poudlard ou en étudiant à l’école des Ombres qu’ils avaient pu en avoir la preuve. Il n’avait pas réellement envie d’en savoir d’avantage sur la jeune femme. C’était juste … histoire de paraitre civilisé, de discuter et, même s’il se prenait un vent monstrueux, ce n’était pas bien grave. Il n’allait pas s’en faire pour si peu. Il avait connu pire.
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| Lexy Kark Future Mrs Dolohov | | Re: Vous avez dit perdue ? ce message a été posté Lun 10 Fév 2014 - 10:45 On ne pouvait pas dire que la mine du jeune homme lui était sympathique. En même temps, elle aurait détesté qu’un garçon la harponne au passage pour lui demander son chemin. A Poudlard, elle aurait zieuté l’énergumène de bas en haut avant de tourner les talons en le laissant sur place. Elle avait été obligée de s’adoucir une fois Préfète en Chef, bien que les garçons, habitués par le comportement glaciale de la Serpentard, allaient chercher secours auprès de Carter. Les petits nouveaux parfois s’égaraient à lui poser une question. Elle ne prit donc pas mal sa mine renfrognée, cherchant comment montrer qu’il était réellement son ultime recours et qu’elle en avait eut assez de tourner en rond en perdant son temps. Elle ne fit rien finalement, pas besoin de geindre en plus de déranger, elle se contenta de lui donner le plan qu’elle avait reçu peu auparavant. Inutile de préciser qu’elle n’avait pas le sens de l’orientation. Le médicomage se saisit du parchemin. Impossible de savoir s’il l’avait reconnue ou si le nom inscrit en haut du parchemin l’avait mit sur la voie de son identité. En même temps, elle s’en contrefichait, elle n’était pas à une réception où la réputation et l’égo de chacun est à satisfaire, tout ce qui comptait c’était de retrouver son chemin. Elle sourit poliment, une once de soulagement détendant ses épaules quand il ajouta que la situation n’était pas évidente avec les changements effectués dans le bâtiment. Elle n’avait pas connu Ste Mangouste, les blessures graves de Victor ayant été soignées à Poudlard puis à cette clinique. Elle s’était alors contentée de suivre ses parents dans les couloirs, sans prêter attention. Cependant, les professeurs se plaignaient assez du manque de place et de l’organisation précaire pour insinuer l’idée dans le cerveau de la jeune femme. Il allait l’aider, que le Lord soit loué ! Cette nuit elle imprimerait ce maudit plan dans sa cervelle de Doxys, promesse de Kark. Hors de question de devoir demander son chemin de nouveau. Sans un mot, docile, elle suivit le médicomage, se rendant compte qu’elle n’avait pas cherché à savoir son nom. « Ce n’est pas une vocation, mais plutôt une nécessité. »Avait-elle vraiment besoin de se justifier ? De par son nom, absolument pas, étrangement, elle continua. Une Kark infirmière, cela ne se voyait pas souvent. « Les évènements récents auxquels vous faîtes référence, je les ai traversés au même titre que beaucoup d’entre nous. Un sortilège ne s’arrête pas devant vous en fonction de votre sang, une bombe sur une île indienne ne cherche même pas à connaitre votre statut social. Tous les sorciers sont importants lors d’une bataille, une personne peut faire la différence. J’ai préféré favoriser cette différence en apportant ma contribution là où il y en avait le plus besoin. Boire du thé en refaisant le monde ne le changera pas. »Elle éluda le fait qu’elle n’était pas assez douée pour devenir Médicomage. « Et puis … être sur le terrain vous donne cette adrénaline particulière… Je me vois mal rester sagement en place après tout ce que j’ai pu vivre. »Elle jeta un regard vers le médicomage, comme attendant une réaction. C’était la première fois qu’elle donnait les raisons de son orientation à un étranger. Son discours avait été parfaitement ficelé pour sa famille, elle connaissait les points sur lesquels appuyer. Parler à un inconnu était différent. « Vous trouvez ça stupide ? »Ça lui avait échappé. Etre Sang pur ne vous évitait pas de douter. Elle avait été confrontée à une réalité lors des combats, les gens meurent, se blessent. Les descriptions de ses livres étaient bonnes, mais l’affectif de voir les corps meurtrit de ses proches en était décuplé. Se sentir impuissante quand l’un d’eux souffre devant vos yeux était pire encore. Elle espérait pouvoir devenir plus forte en travaillant ici. On espérait tellement d'elle qu'elle reste chez elle à planifier son "heureux" mariage, se faisant belle pour faire bonne figure et peaufiner ses bonnes manières... S'en devenait étouffant. |
| Elie Brights Schtroumpf Grognon | | Re: Vous avez dit perdue ? ce message a été posté Mar 18 Fév 2014 - 23:18
Le Medicomage emprunta plusieurs couloirs, la demoiselle à sa suite. Ils avaient quelques minutes de marche devant eux avant d’arriver à la pièce indiquée et l’anglais se serait bien borné à rester silencieux pendant tout le trajet s’il ne se doutait pas que cela pouvait en gêner certains. Il ne savait pas si Mademoielle Kark faisait partie de ces gens-là mais mieux valait éviter de la froisser. Elie n’avait pas réellement envie que cela se répercute alors il avait engagé une conversation bateau sur le métier qu’elle avait choisi. Et elle lui répondait. Chacun avait ses raisons et si au départ sa propre vocation avait été égoïste, c’est avec les années qu’il avait¸ finalement trouvé sa voie. Celle d’aider les plus jeunes. Le Medicomage hocha la tête lorsqu’elle lui cita les récents évènements et resta songeur lorsqu’elle s’engagea sur le terrain de la pureté du sang. Si les Médicomage avaient pour vocation de soigner, tous ne soignaient pas de la même façon les personnes selon leur statut. Le brun de son côté s’en fichait. On lui demandait de faire son boulot, pas savoir si le sang d’untel était bien comme il faut. Il était un exécutant. Ce qu’on lui demandait de faire, il le faisait, sans trop se poser de questions. Du moins, dans la plupart des cas, c’est ce qu’il faisait. Tout comme aujourd’hui. Elle lui avait demandé son chemin et il l’amenait à bon port. C’était juste curieux de voir un tel raisonnement dans l’esprit d’une Kark. Oh elle n’avait pas avancé qu'ils étaient égaux mais, tout de même, elle ne disait pas que certains d’entre eux n’étaient bon qu’à être éliminés. Quelque part oui, en les envoyant en première ligne mais, là au moins, c’était fait proprement. Ils ne se saliraient pas les mains.
Boire du thé n’arrangerait rien, effectivement. Le Poufsouffle l’observa du coin de l’œil. De plus en plus jeunes. On les envoyait se battre (ou le décidaient-ils), alors qu’ils n’étaient que des gosses que cette guerre avait fait grandir trop vite. Qu’en aurait-il pensé s’il avait eu son âge ? Il n’en avait aucune idée. Il aurait pris plus le temps de réfléchir avant de se lancer mais là, encore, il n’avait pas de famille pour lui mettre la pression, pour l’endoctriner encore d’avantage que les professeurs. Elie l’écouta d’avantage lorsqu’elle parla adrénaline particulière. S’il la trouvait stupide ? C’était une question ? Il n’avait déjà pas le droit de la trouver stupide, pour commencer. « Je dirais que chacun trouve sa motivation comme il le peut. La vôtre n’a rien de stupide. » Soigner les gens plutôt que de les tuer. C’était un peu ce pourquoi il avait choisi cette vocation. Sauf que depuis sa sortie de Poudlard, il avait fait les deux. « Je pense. », commença t-il en cherchant ses mots. « Que sur le terrain, avec tout ce qu’il s’y passe, la pensée principale reste la survie. » Il espérait vraiment que personne ne le désigne un jour comme professeur. Déjà pas doué avec les gens d’habitude, il lui semblait que cela devenait de pire en pire. Une belle, bonne, vieille maladie incurable.
« Généralement, on ne me désigne pas pour faire les hum visites guidées. Vous. » Aka, quelqu’un de votre rang. « Auriez dû tomber sur quelqu’un qui a plus de … manière ? » C’était une question, une interrogation un peu bancale, qui n’allait surement pas avoir de réponse, mais c’était ça. Elle aurait dû avoir la chance de bousculer quelqu’un d’autre, quelqu’un qui savait comment bien expliquer les choses, comment bien s’exprimer tout court. Il allait avoir des problèmes. « Cependant, je ne suis pas certain de bien vous suivre à propos de cette adrénaline. Soigner les gens c’est s’occuper de ceux qui veulent la ressentir toujours un peu plus. Nous restons sur le côté. »
Enfin hmm. D'habitude hein !
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| | | Re: Vous avez dit perdue ? ce message a été posté
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