Douleur, atroce, fulgurante…
 
Un coup qu’elle ne vit pas venir. Les muscles de ses membres inférieurs se mirent à tirer, comme sur le point de se déchirer. Lexy n’eut d’autre choix que de crier cette douleur nouvelle, encore jamais subie. Elle tomba à genoux, incapable de rester debout. Les secondes s’égrainaient comme des tendons lâchant un à un de ses jambes. C’était irréel, mais pourtant si palpable ! Impossible de reprendre le contrôle.
 
S’appuyant sur les mains comme pour épargner ses jambes, elle ne vit pas la canalisation sauter. Juste ce bruit assourdissant tandis que le sort s’arrêtait et cette eau envahissant l’espace, comme libérée. L’explosion leur offrit une douche froide, les trempant jusqu’aux os. Les muscles endoloris, elle n’eut pas le temps de réagir aussi rapidement que ses camarades. Déjà, se lever, encore, et essayer de tenir sur ce qui lui servait de gambettes.
Les genoux tremblant, elle sortit de l’eau. Plus de chapeau … et une robe froide et collante. Cela ferait presque du bien, mais son maquillage était complètement foiré et … ses vêtements devenus transparents. Pas le temps pour la honte, et encore moins pour repenser au fait que Natalya avait vidé son tiroir de culotte de mamie pour remplacer le contenu par de la lingerie plus adaptée à une future mariée. Cette brunette allait entendre de ses nouvelles quand elle la croiserait !
 
Un Phénix finit par boire l’eau, visiblement éteint. June était penchée vers ce qui ressemblait à un garde. L’autre Phénix s’était mis à chercher quelque chose dans l’eau. Lexy visa le mur le plus proche du cendrier.
 
 « BOMBARDA MAXIMA ! »
 
Et BOOOOUM ! Un trou ! Le Phénix a le droit de se manger un bout dans l'épaule ! maigre victoire alors que Phénix retrouve sa baguette pour lui lancer sa riposte.



Attention !:

 
« Secare Superficiem »
 


Qui va prendre ?:


Il est pas content le zozio ! Lexy sent alors des centaines de coupures se faire sur sa peau. Ça brule, ça tire, ça fait mal. Bien sûr, elle ne saigne pas, sa robe reste impécable - maman va être contente.

Islamabad, 25 juin, 19h04

« Monsieur le Président. Il est l'heure. » Le regard sévère, concentré, quitte enfin l'horloge atomique qui trône au-dessus des écrans -sans tenir compte jusqu'à maintenant de toutes les informations qu'ils débitent à la seconde- pour hocher lentement la tête. L'heure est grave et l'homme se lève sous le regard des quelques hauts dignitaires ayant les accréditations nécessaires pour être dans le secret d'une telle action. Et c'est comme si tout le monde, dans le bunker présidentiel, retenait son souffle. Parce qu'aujourd'hui serait le jour de gloire de leur pays, le jour où ils mettraient fin à l’oppression !

Il n'est pas dit qu'on humilierait plus longtemps le Pakistan. Il n'est pas dit que son pays se ferait encore traîner dans la boue par ces porcs d'Indiens et leur mépris ! Les doigts du généralissime semblent voler sur les claviers et le chef d'Etat sent l'excitation sourde, la soif de destruction monter en lui. Ils vont payer. Comme une litanie vengeresse qui pulse dans ses veines alors que son cœur bat plus vite que la normale. Pendant des décennies, ils ont voulu les réduire au silence. Pendant des décennies, ils ont volé les richesses qui revenaient de droit à son peuple, opprimant un peu plus des populations sur lesquelles ils n'avaient aucun droit, se comportant comme les colonisateurs qu'ils avaient toujours été. Pendant des décennies. Et cela allait prendre fin, en ce 25 juin 2021 ! Lui, Iftikhar Hashim avait eu le courage que tant d'autres avant lui n'avaient eu avant : celui de mettre fin à cette usurpation de territoire, ce mensonge. Le Cachemire était leur. Tous le saurait désormais. Et l'Inde allait payer !

Le sourire qui se dessine lentement sur les lèvres du Président aurait eu de quoi inquiéter les membres de l'assemblée si eux-mêmes n'attendaient pas qu'une chose : que cela se fasse. Des heures de discussions pour en arriver à une même décision. Des jours, des mois de débat pour enfin accepter de passer à l'action. Mettre l'Inde à genou. Et à son tour, le Président entre ses propres codes. Plus moyen de reculer. Aucune envie, chez quiconque ici présent, de le faire.

Cible : Mumbaï. Arme : Ogive à tête nucléaire. Bombe type A. Heure de l'impact : 19 h 08, heure d'Islamabad.

Sénat d’Assapor, 25 juin, 19h04

Impassible, Karim couvait d’un air protecteur son minuscule sultan qui vociférait des insanités à la chiennasse américaine, qui finit par partir, aidée de son escorte. S’il avait su ce qui allait se passer, il aurait sans doute fait de même… Quand les premières explosions eurent lieu, il fut projeté loin de son principal, mais sa voix qui piaillait des « Karim! À moi! À moi! Au secours! » le rassurait en quelque sorte de l’état de santé du sultan. Il bouscula quelques dignitaires, mais la foule plus imposante le poussa vers la sortie, ce qui eut pour effet de le mettre en rogne. Très en rogne.

« Argh RAAAH! » protesta-t-il, alors qu’il entendait les cris du sultan se faire de plus en plus loin. Avait-il donc échoué à sa tâche de garde du corps? Il allait être puni, c’était certain! 20 coups de fouet au moins pour s’être laissé emporter loin du sultan. Et puis les bruits d’explosion n’aidaient pas. Non, non, ça n’aidait vraiment pas. Il lui semblait se retrouver de nouveau à Bagdad, gamin. Avec les bruits de la guerre, les morts, les cris. Karim se prit la tête à deux mains, sentant la migraine poindre. Il n’avait plus qu’un objectif : retrouver le sultan et sortir d’ici le plus vite possible. Aussitôt, il se retrouva avec sa baguette à la main, à se diriger droit vers l’hôtel, car pour se frayer un chemin dans toute cette pagaille, il aurait besoin d’équipement.

Non loin des Thermes d’Assapor, 25 juin, 19h10

Le garde assapori reprit conscience. Non loin, un Phénix inconscient finissait de se noyer dans un mélange d’eau et de sang. Il eut un haut le cœur. Des sorts perdus continuaient d’être lancés dans tous les sens. L’Assapori poussa un soupir, ferma les yeux et pointa sa baguette vers les statues qui bordaient la route. Il n’eut jamais le temps de prononcer la formule pour les éveiller, car quelque chose d’étrange survint. L’eau d’abord, devint subitement chaude. Anormalement chaude. Et il sentit que quelque chose d’important venait de se produire. Il prit peur et s’enfuit en courant se mettre à l’abri. Une force étrange était à l’œuvre, par Aman Singh! Une sorte de malédiction pour avoir laissé ces étrangers mettre la pagaille dans leur si belle cité. Le garde assapori vit alors les statues s’animer, certaines explosèrent, mais ce n’était pas de sa faute. Il n’avait rien à voir là-dedans. Le garde prit peur et s’enfuit en courant.

***

Karim s’arrêta net en sentant un souffle d’air beaucoup trop chaud le happer, comme s’il s’était tenu face à un four ouvert. Des sept statues qui bordaient l’allée, deux explosèrent toutes seules et deux ne se réveillèrent pas. Karim se protégea des débris en se cachant derrière un arbre puis il reparut. Il lui semblait que la terre tremblait sous ses pieds tandis que quatre autres statues s’animaient. Il brandit sa baguette et tâcha de neutraliser une statue en la faisant exploser à son tour d'un Confringo informulé.

Petit sort, petit sort, vas-tu fonctionner ou es-tu complètement détraqué?

OUI/OUI : Un éclair s'abat sur la statue. Euh what? Un éclair?!?
OUI/NON, NON/OUI : Complètement détraqué. À peine un Lumos sort de la baguette. Karim grogne et riposte plutôt avec des cailloux, visant sans distinction petits sorciers et statues.
NON/NON : Ah ben non, c'est le Phénix qui prend! Et il se change en torche humaine! Plus de Phénix!

Les deux statues restantes s'en prennent à...?
Oui : Delilah, Wade et Liam
Non : June, Lexy et Karim

Informations Rp  

ϟ Bombe nucléaire, les enfants! Et comme vous êtes tous de braves petits sang purs, vous ne connaissez rien du nucléaire! Pour plus d’infos, rendez-vous dans le SAV, un message y a été posté.

ϟ A tous ceux qui s’affolent pour leur personnage en découvrant la bombe, nous vous conseillons de lire ce sujet .

ϟ Effets concrets de la bombe dont il faudra prendre compte dans vos rps :

– Il fait tout d’un coup très chaud, il fait plus de 45°c.
-   La terre tremble un peu, et selon votre groupe, certains bâtiments peuvent s’effondrer.

-   Les radiations, si dans votre zone sont non-mortelles, peuvent donner aux sorciers les plus sensibles des nausées, et risque tout à fait de vomir.

-   De plus, si on est en dehors de la zone des brûlures graves, et qu’on évite les brûlures au second et troisième degré, nos petits sorciers risquent tout de même de rôtir un peu. Vos personnages sous l’effet des radiations sont susceptibles d’être brûlé au premier degré, ce qui équivaut à de vilain coup de soleil, et parfois des cloques. La méchanceté des brûlures dépend de l’exposition, mais également de la couleur des vêtements de vos personnages. Et non ! Ce n’était pas un sondage pour sorcière hebdo qu’on faisait dans l’inventaire ! Si votre personnage porte des couleurs claires, il est moins sensible d’être brûlé, et s’il porte des couleurs foncés tel que du noir seront plus sensibles aux brûlures. Pourquoi  le blanc reflète la chaleur de la bombe, et le noir l’absorbe et la conduit vers la peau. Ce phénomène a été observé à Hiroshima notamment.

-   Autre détail, et non des moindre, l’ordre naturel est complètement détraqué par les radiations, et donc la magie aussi. Tous les objets magiques, runes, sortilèges de protections sont détraqués. Ce n’est pas qu’ils fonctionnent plus, non c’est qu’ils n’exerce plus leur fonction première, et peuvent faire n’importe quoi. Cela marche aussi avec vos pouvoirs, vos personnages vont être incapable de lancer correctement un sort, les effets seront complètement imprévisible. Si par exemple vous lancez un accio, vous pourrez très bien vous retrouver avec un jet de flamme, puis une rafale de vent en lançant ce même sort 2 secondes plus tard.

-   Et là vous vous dites « oups ! ». Et vous avez raison, car comme expliqué dans la description de la ville tout repose sur la magie à Assapor, à commencer par la ville sous-marine. Pendant que vos personnages regardent béat le champignon atomique, les runes en bas se dérèglent, l’air disparait des habitations, et les vitres qui ne sont plus protégées explosent. Le peuple d’Assapor se meurt asphyxié et  noyé. Et ce n’est que le début !  La suite des effets secondaires viendra au prochain tour.

ϟ  Votre magie est complètement détraquée! Vous voulez lancer un bombarda maxima? Ça donne un aguamenti! (Ou un rictusempra, ou un crache-limaces… bref! éclatez-vous!) Mais en aucun cas c'est le bon sort qui doit sortir!

ϟ  Les objets utilisant la magie sont eux aussi complètement détraqués! Donc si vous avez des objets magiques sur vous… faites gaffe!

ϟ  Je vous rappelle également qu’un post doit faire 400 mots minimum. Lexy, il manquait une bonne centaine de mots à ton post.

ϟ Les effectifs sont les suivants. Si Karim réussit à faire exploser une statue, vous vous trouvez face à 2 statues et 1 Phénix. Si Karim réussit à faire exploser le Phénix, c'est donc 3 statues qui vous font face.

ϟ  Parlons géographie maintenant. On se dirige tranquillement vers le nord-est, donc vers l’hôtel Aman Sigh, les enfants!

ϟ Il vous faut deux oui pour venir à bout d'une statue. Sinon, baaah, fuyez, les enfants!

ϟ  Concernant Karim, votre PNJ pour le reste de l’event, en ce moment, il est un peu dans un état second. Vous devrez jouer au dé s’il vous considèrera comme un allié ou un ennemi. Un seul dé positif suffira. Si le dé est négatif, vous vous prenez un bout de statue en pleine face.

Dès s’il vous plait je serais une gentille ombre après ! :

Et donc ... :

Un finite incantatem l’arrêta dans sa danse infernale. Il était à terre lorsque beaucoup d’évènements très courts s’enchainèrent : le phénix qui perdait sa baguette, qui se relevait et attaquait à nouveau, un trou dans le mur par la petite Kark et puis… Puis une vague d’air chaud qui le souffla et le fit tomber à l’eau à nouveau. Une eau qui devint chaude subitement, après avoir été agréablement rafraichissante. Ses cuisses, couvertes d’un bermuda bleu, chauffaient, tout comme son cuir chevelu de jais. Il avait le sentiment qu’il s’était pris un violent coup de soleil et que ça continuait à brûler sur sa peau. Sur le torse, la chaleur fut bien moins perceptible, ce qui troubla le jeune Gryffondor. Pourquoi la chaleur ne l’avait-elle pas brûlée de façon égale ? C’était assez « rassurant » d’avoir sa poitrine qui était moins brûlée que ses jambes, où des petites cloques douloureuses se formaient, mais c’était tout à fait troublant. Le plus étrange était au niveau de ses pieds : il sentait la chaleur qui croissait au niveau des baskets noires mais qui paraissaient atténuées par les chaussettes blanches qu’il portait en dessous. Par Morgane, Merlin et tous les autres sorciers vénérables, what the heck ?

Il se releva difficilement, se sentant nauséeux. Baigner ses jambes où des plaques rouges s’étalaient rapidement dans de l’eau qui devenait de plus en plus chaude n’était pas du tout une bonne idée. Soudainement, il vomit. De la bile car ça faisait un bon moment qu’il avait digéré son déjeuner. Et par Merlin à table, ce n’était pas du tout agréable. « Heureusement » – façon de parler – l’eau emporta son rejet rapidement. Mais il ne se sentait pas du tout bien, sa tête tournait et tous les bruits lui paraissaient assourdissants.

Par Merlin, était-ce cela la magie que renfermaient les mystérieux assaporis ? Wade se sentait étrange, comme… Perturbé, chamboulé dans son for intérieur. Que s’était-il passé ? Il manquait d’oxygène, subitement, et… Il n’eut pas le temps de réfléchir plus longtemps que deux statues qui bordaient l’allée explosèrent. Wade s’abrita dans une ruelle adjacente, où il fut très serré, ce qui n’était pas bon pour son estomac. Quatre autres statues s’animèrent et un inconnu lança un sort, dont la couleur indiquait que c’était un confrigo. Et pourtant, au lieu d’avoir l’effet voulu, il mit feu au dernier dindon. Il n’y avait donc plus qu’eux, le petit groupe de mangemorts, l’inconnu, et quatre statues, dont une se dirigeait dangereusement vers lui. Scroutt scroutt scroutt scroutt, il était dans une bouse de dragon, profondément. Sa baguette encore en main – encore ? C’était un véritable miracle ! – Wade voulut lever la baguette vers la statue, qui leva le poing pour le frapper.

OUI – Wade ne se fait pas frapper, il esquive au dernier moment, mais la statue enfonce quand même son poing dans le mur. Oh Merlin, what the heck ? What the heck ?!
NON – Wade se fait frapper contre le mur. Génial. En plus d’avoir la gerbe, de s’être pris des coups de fouet, il est à présent encore plus endolori. Un poignet gauche douloureux, qu’il ne pourra pas utiliser à moins d’avoir bu une potion dégueulasse, mais il est droitier. Ouf ?

Il se prit le mur, fait de terre séchée et de foin, et le poing de la statue mais ce fut son poignet gauche qui tenta d’amortir le choc. Au lieu de ça, il se retrouvait avec un désagrément de plus : son poignet était endolori, il était à terre, et totalement impuissant. A ce moment-là, Wade vit l’inconnu se diriger vers lui, tandis que la statue piquait vers un autre individiu.

OUI – Karim vient l’aider à se relever. Wade voit qu’il est héritier et du coup, ça le rassure, le pauvre, il se sentait seul.
NON – Karim est aussi son ennemi, semblerait-il. La vie est une putain de succube.

Une main tendue, bien plus accueillante que celle de la jeune fille qui l’avait aidé un peu plus tôt, et une petite tape sur le dos. Wade eut seulement de voir que son nom commençait par un K et qu’il était Héritier. Héritier, par Merlin, merci ! Héritier ! Oh, comme c’était rassurant ! Il s’était dit qu’il s’en moquait s’il était seul contre tous mais cette connaissance le rassura profondément. « Merci », souffla-t-il.

La statue se dirigeait à présent vers la lointaine parente de Marion. Une Ombre, sinon, pourquoi aurait-elle traîné avec les autres extrémistes ? Cependant, il ne pouvait laisser la statue s’en prendre à elle. Il devait tenter de se rattraper pour ses actions passées et tenter de sauver la jeune fille faisait partie, à ses yeux, d’une partie de son pardon intérieur. Il pointa sa baguette vers la statue, en vue de l’immobiliser.

Si oui au dé précédent :
OUI & OUI – Le petrificus met feu la statue. Comme s’ils n’avaient pas assez chaud…
OUI & NON – Le petrificus est en fait un aguamenti. Bon… Au moins, la statue aura pris une douche dans ce temps hyper bizarre.
NON & OUI – En fait, il semblerait que le petrificus soit un crache-limace. Sauf que la statue n’a pas d’estomac à la base. Il crache quand même des limaces. Eurk. Bienvenue dans le monde étrange et pas du tout fantastique d’Assapor.
NON & NON – C’est un locomotor qui jaillit. La statue vole quelques instants mais retombe sur ses pieds car elle est bien trop lourde pour Wade.

Mais ce ne fut pas un petrificus totalus qui jaillit de sa baguette. De l’eau. Comme s’il avait lancé un aguamenti. Donc inutile. Cette île était réellement tordue et Wade n’avait qu’une hâte, s’extirper de cette situation, comprendre ce qui s’était passé, s’il pouvait le comprendre, et rentrer chez lui sain et sauf.

Personne ne me résiste wesh:

Petits dés soyez gentils:

Quels sont les effets de son sort ?:

Il m'aime, un peu, beaucoup ...:

En route vers l’hôtel Aman Singh, 25 juin, 19h21

Karim parcourut du regard les cinq jeunes qui lui faisaient face. Un fut attaqué par une des statues et il vit sur son badge qu’ils étaient de la même faction, alors il alla l’aider. L’autre jeune homme et une jeune fille ne lui semblaient pas être une menace. Alors il les ignora. Pour l’instant. Il s’en prit aux deux autres jeunes filles, leur lançant des morceaux de statue. C’était un complot tout ça. Ces deux jeunes filles ne se trouvaient pas sur son chemin pour rien. Oooh non! Elles étaient impliquées dans cet attentat au Sénat, elles voulaient la mort du sultan. Elles devaient être Américaines, elles parlaient anglais après tout. Ahhhh ces enfoirés d’Américains. Ils avaient bombardé son pays, ils avaient tué sa famille. Ahhh ces enfoirés de Moldus… Et dire qu’il croyait avoir la paix, en recevant sa lettre pour l’école de magie du Moyen-Orient…

Karim s’assura d’un coup d’œil que son collègue de faction allait bien et il s’empara de la rouquine. Elle devait forcément savoir où se trouvait le sultan. Elle devait forcément être impliquée dans ce complot visant à baisser sa garde et à kidnapper son principal.

« SULTAN! » rugit-il. « OÙ? »

Il s’était exprimé en arabe, parce que c’était sa langue maternelle et parce que jamais il ne s’abaisserait à parler la langue de Shakespeare. Il secoua la rouquine comme un prunier.

« OÙ? OÙ? OÙ? »

Soudain, la terre trembla plus fortement que tout à l’heure, ce qui le fit relâcher son emprise sur la rouquine et perdre son équilibre.

« RRhumpf! » grommela-t-il en tombant sur son collègue Héritier. Une montagne de muscle comme lui, ça ne devait pas faire du bien.

Par tous les sultans d’Orient! Quelle était cette magie à l’œuvre?!?

***

Et pendant ce temps, les statues survivantes continuaient de faire mumuse… La première statue avait choisi Liam pour cible. La statue finit par plonger et lui attraper les jambes, faisant ainsi trébucher le jeune homme. La deuxième statue continuait de prendre pour cible Delilah. D’un geste de sa main de pierre, elle projeta la jeune femme un peu plus loin.

Informations Rp

ϟ Hein? Du bruit? Mais ouiiii! La terre tremblait, ce n’était pas pour rien! L’île se retrouve fracturée en deux! Comme ça! Heureusement, ça ne touche pas la frontière de la zone de votre groupe. Ouf! Vous êtes bien tombés! Et la flèche rouge indique la zone vers laquelle vous êtes en train de courir/aimeriez pouvoir courir, donc nous sommes en plein quartier égyptien.

ϟ Bon pour Lexy et Delilah qui n’ont pas su s’attirer la confiance de Karim : il faudra que les trois autres aient au moins deux oui pour convaincre Karim que Lexy et Delilah ne veulent pas la peau du sultan. Donc soit une personne fait un double oui, soit deux personnes ont un oui chacun. Ça peut être un simple oui, ou un Oui/Non pour la personne 1 et même chose pour la personne deux.

ϟ Vous devrez discuter de votre marche à suivre si vous voulez survivre dans cet univers instable! Allez-vous trouver refuge quelque part?

ϟ Pour les statues, il vous faut encore deux oui pour les abattre. Si jamais vous ratez, il vous faut un oui pour savoir si vous arrivez à les semer.

La terre tremblait ou c'était lui. Non c'était la terre et il n'y avait pas que la terre et Liam regardait la terre faire des siennes sans réagir. Que pouvaient-ils faire ? Ils étaient trop jeunes, ne savaient pas ce qu'il se passait autour d'eux et étaient bien trop paniqués pour se poser les bonnes questions sauf celle de fuir. Mais, même ça, ses coéquipiers semblaient incapables de le faire. Ce qui comptait c'était terrasser l'ennemi, l'ennemi qui plus que l’environnement autour d'eux, semblait être les statues qui étaient toujours présentes et en marche.

Et l'inconnu. L'inconnu qui avait pris en grippe Lexy avant de la relâcher telle une poupée. Il était beau leur groupe. La terre trembla encore et si le fait de devoir s'occuper de June l'empêcha de s'écrouler, la bile lui monta à la gorge une seconde fois. Merde. Par la barbe de Merlin, ils allaient mourir. Non, non. Ils n'allaient pas y rester. Il ne voulait pas y rester. Il voulait retrouver ses proches, se réconcilier avec Wade, parler avec Jules, faire ce qu'il avait voulu faire depuis des mois sans oser franchir le pas: changer de faction. Ne pas rester aux ordres de l'Ombre de la Rose Noire, aux ordre de la Mulciber. Il voulait ... il voulait plein de choses sauf rester ici et finir ainsi. Wade était non loin de l'étranger alors qu'eux faisaient face à quatre. Ils reculaient aussi vite qu'il le pouvaient mais le plus âgé ne faisait pas confiance à Delilah et encore moins à Lexy et Liam ne se voyait pas les abandonner derrière. C'était tout le monde ou personne. Il avait beau avoir en tête de trahir les Ombres, mais il savait qu'il ne pourrait plus se regarder dans un miroir s'il devait laisser quelqu'un derrière. Ennemi ou pas, pour le moment ils étaient un groupe et ils allaient le rester. Mais il le savait bien, dans la tête des deux qu'il leur faisait face, c'était chacun pour soi, Wade y compris. Il en était certain, accepter l'aide d'une Ombre avait déjà du être beaucoup. Beaucoup trop.

Ils couraient sans réellement savoir où ils se dirigeaient, les statures collées à l'arrière train. Il fallait qu'ils s'organisent mais n'avaient pas le temps de se stopper. Ils pouvaient s'arrêter un moment non ? Puis vint un croisement. Ils n'étaient pas allés bien loins. Ils s'étaient éloignés de quelques mètres seulement. " when you go you'll be the last to know? (Might be time for us to, might be time for us to go) When your time is up, you give it up, then on and on we go." L'air lui revint lorsqu'ils s'arrêtèrent pour souffler. Poudlard avait du bon, Poufsouffle aussi. Sa mère le tuerait si elle venait à entendre ses pensées. C'était une chanson moldue. Moldue oui mais qui donnait plus d'entrain que ces chansons se basant sur la fierté du Lord et de ses bienfaits. Mais comme de toute façon il allait mourir, il s'octroyait le droit de la contredire en pensée. Il devait se concentrer, se focaliser sur quelque chose et chanter ou jouer de la guitare l'avait toujours aidé quand tout partait en vrille, comme maintenant. "Lashlabask"

Un Incarcerem. C'était pas si mal au moins il ne s'était pas amusé à tester ses dons de décorateur. La statue se pris les pieds dans la chaîne et trébucha. Il en restait une ... La première se relèverait surement mais, au moins, ils avaient léger laps de temps pour trouver une issue. Du moins ... s'il y en avait une.

Un double oui s'il-vous-plait:

Oh les filles oh les filles:

Sexy Lexy, au rapport ! :

Allez, soyez gentils ! :

Un tremblement. Une masse de muscles qui lui tombait dessus. Et un corps de plus en plus faible. L’inconnu se releva lourdement en grommelant, en prenant largement son temps à l’opinion du jeune Gryffondor, ce qui eut le don de le mettre sur les nerfs en plus du stress qui lui faisait perdre patience et optimisme. Il avait beau être musclé grâce à son travail au zoo – oh regrets, regrets ! Il serait à sa tête un jour, il le serait ! – puis en tant que garde-chasse, Wade n’était qu’une vulgaire brindille aux côtés de cet inconnu qui avait violemment secoué la Kark avant le tremblement de terre. Celui-ci lui tendit à nouveau la main, comme il l’avait fait quelques instants plus tôt, et le tira brusquement. Il parla arabe et Wade préféra le comprendre comme des excuses, même si, au final, ce n’était pas de sa faute s’il était tombé sur lui et pas sur la Kark ou une des statues.

Debout, Wade vit que les statues n’avaient pas chômé. Elles poursuivaient la brune, la lointaine parente de Marion et Higgs, qui… Chantonnait ? Pardon, il chantonnait ? Wade, le voyant, fut abasourdi. Il chantonnait. Tant qu’à faire, qu’il s’arrête pour faire ses petits besoins dans un buisson ? C’était totalement ridicule. Il devait se concentrer au lieu de chanter.
Wade ne voyait pas du tout l’utilité de chanter alors que Liam était dans une situation de danger. Néanmoins, il réagit assez rapidement pour emprisonner la statue qui lui courait après… Sauf qu’elle se releva peu après. Merlin tout puissant, quel était ce cauchemar sans fin ? La lointaine parente de Marion la fit exploser et ce fut Karim, Kark et lui qui se prirent les morceaux qui éclatèrent. Le visage de Wade était en sang, sa chemise était également tâchée, déchirée. Pas encore en lambeau mais vingt minutes de plus et elle le serait très probablement.

Il restait encore une statue debout et elle se dirigeait dangereusement vers Liam et l’autre fille, qui tentaient de s’enfuir. Ils avaient beau être des Ombres, il y avait Liam et s’il ne faisait rien pour tenter de le sauver, Wade s’en voudrait à vie. Son intention de ne sauver que sa peau paraissait ne jamais avoir existé lorsqu’il vit que son ancien ami était en danger. Ayant compris que la magie ne fonctionnait pas normalement, Wade décida de lancer le sort le plus banal au monde. « Lumos ! »

OUI & OUI – Un autre bombarda maxima. Attention à la pluie de débris !
OUI & NON – Un Turba Aranei. Des milliers d’araignées montent sur la statue, qui tente de s’en débarrasser mais s’en moque aussi, puisque c’est une statue.
NON & OUI – La couleur du jet montre que c’est un silencio qu’il vient de lancer.
NON & NON – Un rictusempra. Ça aurait été cool si une statue pouvait rire mais là, c’est inutile.

Ce fut un silencio. Ridiculement ridicule. La statue, de ce fait, se tourna vers lui et commença à le poursuivre lui. Ce fut à ce moment-là que Karim leva sa baguette et prononça un sort qu’il n’avait jamais entendu jusqu’alors.

Si autre que OUI & OUI :
OUI – Ils réussissent à semer la statue. Il était temps !
NON – Elle est encore là.

Peut-être que le sort n’avait pas l’effet escompté mais la statue ne put bouger de l’endroit où elle se trouvait et Wade reconnut alors le sort de la Glu perpétuelle. La statue tentait de se balancer d’avant en arrière pour se dégager mais chacun savait que c’était inutile. Ils en profitèrent alors pour prendre la poudre d’escampette et se diriger vers le palais que la petite brune avait indiqué après qu’elle ait détruit la statue. Il fallait s’y réfugier, le plus rapidement possible.
Un signe de reconnaissance à Karim puis un autre pour lui dire de le suivre : Karim l’avait beaucoup aidé jusque maintenant, il était temps de lui renvoyer le balais.

Spoiler:

Elle avait vu juste, l’inconnu baraqué les avait dans le collimateur, elle et Delilah. Ce crapaud n’avait pas trouvé plus brillant que d’essayer de les assommer à coup de morceaux de statue ! Lexy avait esquivé le premier jet, mais dans son état, il lui fut impossible d’être agile, et son genou en paya le prix. Elle porta sa main sur la zone touchée en grimaçant et hurlant un grand « Aïe » parfaitement ridicule dans ce contexte chaotique. Elle lui lança un regard noir.

 « Qu’est-ce qui te prend ! »

Elle n’eut pas le temps d’aller plus loin qu’il s’était saisi d’elle pour la secouer comme jamais on l’avait fait. Les frêles bras de la jeune fille essayaient de se débattre mais restaient impuissants face à la masse musculaire que le gros nigaud représentait. C’était comme se battre face à son père et son frère combinés. Sa tête flanchait d’avant en arrière sans qu’elle ne puisse la retenir, c’était douloureux, ses mains étaient des étaux et ses plaies hurlaient sous la pression.

Lui aussi criait, dans une langue gutturale, incompréhensible. Elle cru reconnaitre la voix de June aussi. Elle ne sentit pas tout de suite la terre se scinder, elle était déjà secouée avec force. On finit par la lâcher, mais elle heurta le sol de nouveau, ayant perdu tout sens d’orientation et d’équilibre. Le sol était toujours aussi dur, et chaud. Sa bague s’était enfoncée dans son annulaire, comme soudée par la chaleur soudaine qu’ils avaient affrontée. Son état était déplorable, comme celui de ses camarades. Une oreille au sol, elle sentit la terre vibrer de l’intérieur. Elle ferma les yeux, prête à ce qu’un mur lui tombe dessus. C’était apocalyptique. Elle n’en reviendrait pas. C’était pourtant une simple mission pacifique, ils étaient venus nombreux, ses parents n’avaient eut aucune inquiétude à avoir. Si seulement Victor et son père pouvaient être là … Ils étaient forts en sortilèges contrairement à elle. Elle n’était qu’une poupée inutile, juste bonne à marier. Ce serait si facile de juste rester là, plus de problème, plus de sentiments contradictoires, plus de mariage ou de guerre. C’était tentant. Sevastian serait certainement comblé ! Plus besoin d’être gentil avec bébé Kark. Elle ouvrit les yeux pour regarder la bague qui ornait la main devant elle. Serait-il vraiment ravi ? L’inprévisible espoir d’y répondre « non » traversa ses pensées.
Elle entendit deux explosions, puis des bruits de pierres tombant au sol. Les statues venaient d’y passer. Il fallait se lever, les autres courraient déjà. Hors de question de rester derrière, la fierté reprenait le dessus. Elle se leva aussi vite qu’elle le pu, maladroite mais tenant encore sur ses jambes. Tous courraient, sauf Delilah, qui était venue la chercher.
Le regard reconnaissant de la Kark était inédit, empreint de tendresse.

« Allons-y.»

Lexy ne pouvait pas en vouloir à June, un rendu pour un dû. La serpentard avait aussi été laissée derière durant leur évasion. Elle savait maintenant dans quelle position les évadés s'étaient trouver, à courir pour leur vie. C'était à espérer qu'elle s'en rende compte.

Elle qui était prête à tout laisser tomber s’était mise à courir aussi vite que ses brindilles de jambes écorchées le lui permettaient aux côtés de son amie. Son corps souffrait de la chaleur et trop peu d’adrénaline coulait dans ses veines. Un abri, ils en avaient trouvé un. Elles haletaient tout ce qu’elle pouvait, mais le retard était toujours là. Promis, elle se mettrait à l’endurance si elle se sortait de ce guêpier. Promis, elle deviendrait sportive. Promis, promis. Hors de question de demander à ce qu’ils les attendent. L’adrénaline finit par s’enclencher, la fierté était un merveilleux moteur. Elles diminuèrent quelque peu leur retard, respirant bruyamment. Le palais n'était plus très loin et tous ne pouvaient courir à la vitesse habituelle. Blessés, fatigués, meurtris, les corps avaient une limite.

Arrassés, tous atteignèrent les portes de leur abri de fortune.

Hôtel Aman Singh, 26 juin, 2h du matin

Il était moins une quand le petit groupe trouva refuge à l’hôtel Aman Singh pour un repos bien mérité. Alors que les jeunes profitaient d’un repos bien mérité, Karim s’éclipsa et revint quelques heures plus tard, complètement soulagé d’avoir mis la main sur le petit sultan terrifié et couvert de poussière sous les décombres du Sénat. Le garde du corps s’était fait une jolie entaille sous l’œil qui lui donnait un air encore plus féroce que d’habitude. Avec la ville entière qui était instable et les débris qui jonchaient le sol, ce n’était pas le temps de faire la fine bouche quand à l’endroit où ils allaient trouver refuge pour la nuit et Karim se rendit là où il avait laissé les jeunes, le sultan sur son dos.

Le lobby de l’hôtel Aman Singh était plongé dans la pénombre lorsqu’il y entra. Karim déposa avec douceur le petit sultan dans un des fauteuils des petits salons du lobby. Ce ne fut que lorsqu’il se fut assuré à cinq reprises que le lobby était sûr qu’il s’autorisa à fermer un œil et à prendre un peu de repos…

***

Quelques heures plus tard, Karim se réveilla en sursaut car il y avait un bruit monstre à l’étage. Le sultan dormait à point fermé et le garde du corps fut tenté de faire appel à la magie pour allumer les chandelles qui lévitaient. Mais il se ravisa juste avant de tirer sa baguette de sa poche, se rappelant un peu trop bien quels dégâts la magie avait fait quelques heures plus tard. Ouf… il venait sans doute d’éviter la catastrophe. Dans le couloir voisin, des bruits de pas se firent entendre. Karim se redressa, prêt à user de ses poings si la vie du sultan était de nouveau en danger. Or, le seul danger qu’il y eut fut une chandelle qui l’attaque par derrière. Karim se retourna… et se prit une deuxième chandelle en plein visage. Il s’arma alors d’un cousin alors que les chandelles continuaient à le bombarder. Il en envoya plusieurs se fracasser contre les murs. Il recouvra enfin le sultan sous les coussins afin de le protéger et émergea dans le couloir pour voir qui venait d’arriver. Et il reconnut le groupe de jeunes de tout à l’heure. Il se renfrogna.

« Humpf…, » grommela-t-il en guise de salutations.

Derrière, le sultan s’éveilla comme si de rien n’était, s’exprimant en arabe à l’intention de son garde du corps.

« Karim…? C’est quoi tout ce boucan à l’étage? Et puis j’ai faim! »

Karim poussa un soupir, cracha au sol et se résigna à s’exprimer en anglais, même si cette langue lui puait au nez. Il traduisa approximativement la phrase du sultan en ces termes.

« Grr… Humpf… Bruit? » demanda-t-il en pointant le plafond. Puis il pointa de la tête vaguement l’endroit où se trouvait le restaurant du lobby de l’hôtel. « Hmm… Bouffe… Faim? »

Dehors, il s’était mis à pleuvoir, le clapotis de l’eau à peine perceptible derrière le boucan qui sévissait à l’étage. Probablement des attaques d’objets qui se retournaient contre leurs propriétaires…

Informations Rp

ϟ Nous sommes maintenant plusieurs heures après l’attaque des statues folles et c’est la nouiiit! Vous avez trouvé refuge à l’hôtel Aman Singh, l’hôtel où logeaient les Héritiers. Les premières heures de la nuit se passent étonnamment calmement. Mais vous n’êtes pas au bout de vos peines, car réveillés par les bruits, vous vous retrouvez dans le lobby. Toute ressemblance réelle ou partielle avec le Four Seasons private residence de Toronto ne saurait être que fortuite.

ϟ Les chandelles s’animeront quand vous passerez devant. Il vous faut un Oui pour passer indemnes l’allée de chandelles en furie et un deuxième oui pour aider quelqu’un à passer l’allée de chandelles en furie. Et vous avez faim. Donc, direction, la bouffe!

ϟ Je tiens à préciser que vous ne devez pas jouer Karim. Même si c’est un PNJ, c’est un personnage à part entière et c’est la base même du RP de ne pas jouer le personnage des autres. De plus, le PNJ n’est pas là comme solution de rechange si jamais votre sort rate.

ϟ Autour d’une collation frugale, vous allez discuter stratégie de survie, car vous ne savez pas pendant encore combien de temps vous allez rester à Assapor. Exceptionnellement donc, vous aurez le droit de poster plusieurs fois, mais ça reste une seule action offensive/un seul sort de soin par tour! L’eau est par contre polluée par les radiations, mais vous l’ignorez!