| Filet du Diable The Big Boss | | Re: ϟ PRO PATRIA MORI ϟ EVENT FINAL ϟ Groupe IV ce message a été posté Lun 21 Jan 2013 - 22:15 Caïus était aveuglé par la rage. Son champ de vision entier était envahi par le rouge criard de la vengeance. La défaite qu’il avait essuyée au QG, ajoutée à la mort brutale de Selena, le faisait trembler de la tête aux pieds mais cela n’avait rien à voir avec la température d’un mois de décembre particulièrement rude. Il n’avait jamais porté la directrice de Poudlard dans son cœur, c’était l’amie de sa femme et non la sienne, on pouvait même dire qu’elle lui avait sacrément brisé les puffapods pendant la longue absence de Wilhelmina, malgré tout elle avait toujours été une alliée de taille sur laquelle compter et Caïus savait reconnaitre ces qualités. Mais par-dessus tout, il exécrait que l’on touche à ses hommes. Beaucoup le targuaient d’être une brute, ce qui était sûrement vrai, mais il était aussi quelqu’un de loyal et de dévoué pour ses frères d’arme. Les américains ne s’en prenaient pas seulement à eux malheureusement, mais aux fondements même de leur société. Un crime impardonnable qui méritait d’être puni par le pire des châtiments. Il n’y avait qu’un seul sacrilège pire que celui-là : la trahison. Dans le feu de la bataille, Caïus crut pendant une seconde que ses sens l’avaient abusé quand il aperçut Elisabeth Macnair se tenant du mauvais côté de la barrière. Prise en otage ? L’idée s’effaça aussitôt de son esprit en distinguant les paroles de la cousine. Alors comme ça, la Macnair prostituait ses idéaux contre l’amour d’un Phénix ? « REVIENS ICI PÉTASSE, ET FISSA SI TU VEUX PAS PRENDRE MA BAGUETTE DANS LE CUL ! » Ah le doux langage des chasseurs de dragons ! Mais Caïus n’avait pas fini de faire retentir sa menace qu’un trait de lumière frappa la traîtresse de plein fouet avant qu’elle ne s’écroule au sol. « Continues comme ça jusqu’à ce qu’elle bouffe les pissenlits par la racine, Waltz. » Encouragea-t-il alors le journaliste blanc comme un linge qui se tenait près de lui tandis qu’il parait un maléfice le prenant pour cible. Caïus répliqua par un nouvel impardonnable qui fit mouche à son tour. Le gamin qui atterri à ses pieds avait eu moins de chance visiblement. L’ancien leader des Héritiers l’attrapa alors sous les épaules et le remit sur ses pieds à la seule force de ses bras. « Debout petit gars, allez, oublie pas que tu te bats pour ta vie. »
Informations Rp ϟ Les modalités sont toujours les mêmes pour tuer ou blesser un américain. Continue to have fun guys !
ϟ Summer Carrow et Clark Blackburn ont manqué trois tours, vous êtes donc libre de les mettre KO.
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| Faust Waltz Trash à temps plein | | Re: ϟ PRO PATRIA MORI ϟ EVENT FINAL ϟ Groupe IV ce message a été posté Mar 22 Jan 2013 - 13:00 Il était en train de profiter de la vision de Lisa en train de souffrir tout ce qu'elle savait et pouvait quand la voix de Caïus Salamander détourna son attention. Il l'encourageait, carrément, soutenait son geste que n'importe qui aurait pu qualifier d'affreux hors de ce moment (ou tout simplement hors de lui). Caïus était d'accord avec lui.Un rictus malsain s'étira sur les lèvres de Faust. Après tout, comment ne pas être d'accord? Il punissait une traître, il lui faisait goûter l'amertume d'une décision irréfléchie, idiote. Oui, Lisa était une idiote, une belle conne qui allait peut-être mourir de douleur, si personne ne s'en occupait après qu'ils auraient réussi à garder Poudlard entre leurs mains. Une fois qu'ils auraient repoussé ces enfoirés de Phénix et ces tout aussi enfoirés d'Américains. Si ce n'était que de lui, de la fureur qui grondait encore dans son ventre, il l'aurait bien achevée là. Sur le coup. Seulement, il y avait d'autres ennemis, d'autres imbéciles à tuer. Cette fois, ce fut un Américain qui venait d'arriver dans son champ de vision qu'il visa de sa baguette – il reviendrait à Blackburn plus tard, il savait qu'il n'aurait aucun problème à désirer détruire sa gueule encore et encore.
- Dé contre le Ricain:
OUI : Pan dans la gueule, Confringo qui fait voler l'Américain dans un arbre en feu. Bon, d'accord, il s'en sort juste un peu brûlé sur les bords. Soyons raisonnables. NON : Le Ricain pare et riposte. le Confringo est pour ta gueule et ça fait un mal de chien. Le barman eut la satisfaction de dégainer plus rapidement que l'Américain et de voir le sort lui ramasser sa sale gueule, l'envoyant plus loin dans les arbres en feu. Ça allait lui apprendre à s'en prendre à lui, à eux, aux Héritiers ! Faust n'entendait pas sa propre respiration sifflante, la fumée des arbres brûlant brouillant sa vue et envahissant ses bronches déjà bousillées de fumeur, ne voyait pas son propre visage fou, enragé, prêt à en découdre avec tous ceux qui l'approcheraient. Ou ne l'approcheraient pas. Qu'ils viennent, les Américains. |
| Filet du Diable The Big Boss | | Re: ϟ PRO PATRIA MORI ϟ EVENT FINAL ϟ Groupe IV ce message a été posté Mar 22 Jan 2013 - 13:00 Le membre ' Faust Waltz' a effectué l'action suivante : Lancer de dés'Dé' : |
| Bruce Blackburn Bourrinours | | Re: ϟ PRO PATRIA MORI ϟ EVENT FINAL ϟ Groupe IV ce message a été posté Mar 22 Jan 2013 - 13:30 Il n'y avait plus rien d'important maintenant. La douleur était accessoire, le froid, les flammes, il s'en foutait. Ce qui importait, c'était que Lisa était derrière lui, près de lui, que les américains étaient là et qu'ils allaient enfin défoncer les Héritiers et reprendre Poudlard. Ce qui importait, c'était qu'ils étaient sur le point de gagner, et les héritiers étaient sur leurs derniers retranchements. La victoire était au bout de leurs baguettes, et même s'il y aurait encore beaucoup de travail, ce serait déjà un gigantesque pas en avant. Les américains étaient là pour les soutenir, Lewis, le symbole de ce qu'était désormais Poudlard, était tombée, et Salamander semblait à bouts de forces, malgré son habituelle véhémence. Bruce avait repris tout son enthousiasme, toute sa vigueur, et la seule chose qui passait en boucle dans sa tête, c'était qu'il fallait protéger Lisa. Les chiens en face d'eux ne prendraient pas de gants, surtout acculés comme ils étaient, en la voyant se jeter de leur côté pour s'occuper de lui. Les sorts s'échangeaient, et un héritier le fit parer en vitesse un stupefix qui lui arrivait dessus. Il n'aurait pas dû bouger, faire ce pas de côté pour parer. Il avait laissé le champ libre à Waltz pour envoyer son sort. Il le vit faire le mouvement, les yeux fixés sur Lisa, et Bruce tenta de se jeter en travers, mais il n'avait pas eu le temps. La flamme violette se dessina sur la poitrine de Lisa qui s'écroula, l'air stupéfait. Le gallois la rattrapa contre lui, dans un cri terrifié. "Lisa, Lisa s'il te plait… dis-moi que ça va, revigor! REVIGOR"Dé #1
- OUI : Le sort est foireux, il est quasi inutile, il faudra quelque chose de plus efficace
- NON : Lisa est un peu plus en forme
Il jura, il n'était pas médicomage, ça n'avait jamais été sa spécialité. Des larmes de rage, de frustration, d'inquiétude tombaient sur les joues de sa petite amie, étalée dans la neige. Il fallait l'emmener ailleurs, chez Hudson, il fallait se sortir de là. Le blond eut un grognement frustré et se redressa pour attraper un américain à proximité par la nuque. "Toi le yankee, tu restes là, tu la protèges, et tu empêches quoique ce soit de lui arriver, j'te fais confiance. Je reviens."Il se passa le bras sur les yeux et fixa à nouveau sa cible. Il avait un compte à régler. Et marre de faire les choses à distance. Il retourna vers les arbres en feu, qui s'éteignaient doucement, et passa de l'autre côté, lançant quelques sorts au passage, en parant d'autres. Il était là, à envoyer valdinguer un américain devant lui. Bruce lâcha un nouveau grognement et se jeta sur lui, lançant un poing en direction de son visage. Dé #2
- OUI et OUI : et BIM! Le crac est très agréable à entendre, éspérons que la petite souris donne des mornilles aux grands aussi…
- OUI et NON : Le coup l'a cueilli à la joue, Faust fait trois pas en arrière… il a toujours toutes ses dents mais saigne bien du nez
- NON et OUI : Son spider-sense a du le prévenir à temps, et il a bougé au dernier moment, le coup a tapé sa joue mais moins fort
- NON et NON : La charge de l'ours, ça se voit venir, et Faust accompagne complètement le coup, il recule juste au bout moment
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| Filet du Diable The Big Boss | | Re: ϟ PRO PATRIA MORI ϟ EVENT FINAL ϟ Groupe IV ce message a été posté Mar 22 Jan 2013 - 13:30 Le membre ' Bruce Blackburn' a effectué l'action suivante : Lancer de dés#1 'Dé' : -------------------------------- #2 'Dé' : |
| | | Re: ϟ PRO PATRIA MORI ϟ EVENT FINAL ϟ Groupe IV ce message a été posté Mar 22 Jan 2013 - 20:53 La surprise avait d'abord marqué ses traits un éclair de secondes avant qu'elle ne s'écroule dans la neige fondue en se mettant à hurler tout ce qu'elle pouvait. Jamais elle n'avait eu aussi mal de toute sa vie. Jamais. Pourtant ce n'était pas la première fois que Faust s'attaquait à elle, ce n'était pas comme si son époux dérangé n'avait jamais tenté de la corriger d'un coup de poignet. Mais cette fois... cette fois avait un gout de mort plus prononcé que le reste. Quand sa gorge fut incapable de créer le moindre son, la sang pure se contenta de gesticuler comme une araignée à qui on aurait arraché les pattes unes à unes. Les cris avaient disparus pour laisser place à des râles d'agonie et la petite brune ne réagit même pas quand Bruce la prit dans ses bras tout comme elle n'entendit pas ce qu'il lui disait ou les larmes qui coulaient sur ses propres joues. Il n'était plus là quand la douleur s'estompa à peine, un autre homme etait près d'elle, un inconnu total, la baguette levée. Si tout n'était pas aussi vaseux et douloureux, son premier réflexe aurait té de filer en vitesse mais bouger lui était impossible. Et autant qu'on en finisse, autant qu'ils la crèvent une fois pour toute, que tout disparaisse enfin. Il fallait que les autres pensent à son garcon pour elle, il fallait que Bruce pense à lui et aille le chercher chez ses parents. Est-ce qu'il le savait ? Est-ce qu'il s'en douterait ? "Colin..."Elle ferma les yeux en ayant l'impression de sentir ses entrailles se tordre et ne sentit même pas les larmes qui coulaient bien malgré elle le long de ses joues. Jamais elle n'aurait du venir, jamais elle n'aurait du s'attacher à qui que ce soit et se laisser aller. Cela lui avait pourtant bien réussi pendant trente deux années : ne jamais trop s'impliquer avec d'autres sorciers, avoir le dessus - toujours - et ne pas se montrer faible. Cette fois elle avait enfreint toutes ses propres règles et on le lui rendait bien. La journaliste râla de nouveau et bougea une de ses mains avec lenteur pour la poser sur son ventre. Ô douce ironie de la vie... |
| | | Re: ϟ PRO PATRIA MORI ϟ EVENT FINAL ϟ Groupe IV ce message a été posté Mer 23 Jan 2013 - 7:25 Brooke allait répliquer après avoir échoué dans son sortilège. Elle voulait montrer à Lisa que son gallois pataud n'était qu'un lâche comme les autres. Qu'une fois qu'il aurait subit les affres de sa colère, il partirait la queue entre les jambes, plantant Lisa là. Et cette dernière comprendrait alors où se trouvait sa vraie place, et où étaient ses amis. La Macnair leva sa baguette et ouvrit la bouche, mais elle fut dépassée par l'éclat violet qui alla aussitôt frapper sa chère cousine. Cette dernière alla atterrir dans la neige en hurlant de douleur. Un maléfice de souffrance. Pauvre Lisa... " HEY ! " Brooke se retourna vivement pour identifier le responsable de cette attaque. Faust. La Macnair lui lanca un regard courroucé : certes, Lisa avait franchit la ligne du front. Certes, elle avait pactisé avec l'ennemi. Faust ne pouvait être condamné pour cela. Mais une part de Brooke cherchait des excuses pour ne pas attaquer sa cousine chérie : après tout, Lisa s'était contentée d'aller poupouner son plan cul. Elle n'avait pas levé sa baguette contre eux, elle pouvait encore être considérée comme une alliée. Faible, mais quand même... Elle aurait juste eu besoin qu'on lui ouvre les yeux. Maintenant, il serait sans doute trop tard... Autours d'elle, le combat continuait cependant. Il fallait qu'elle se ressaisisse. Elle jeta un dernier regard fâché à Faust au moment où Bruce lui assena un direct bien senti, ce dont Brooke se réjouit secrètement. La punition pour le barman était acceptable : qu'il gère la brute. Pendant ce temps, Brooke avait trouvé un autre moyen d'attendre Blackburn : s'en prendre à ses alliés. Le premier sur sa liste était Clark qui continuait de se tordre de douleurs internes depuis son Retorta Viscera. Il avait assez souffert. Autant le mettre hors course. " STUPEFIX ! " Clark fut projeté en arrière avant de sombrer dans une bienheureuse inconscience. Avec un peu de chance, il prendrait feu tout seul. Ou il prendrait un sort perdu... Et sinon, il ferait un prisonnier acceptable. De toute facon, Brooke avait d'autres chats à fouetter : un Américain la menacait de sa baguette. Il ne fallait pas perdre de temps, et Brooke réagit instinctivement. " AVADA KEDAVRA ! "Le Yankee finit-il ses jours sur le parvis de l'école ?oui - oui : Brooke réussit son sortilège et fait mouche. Le Yankee s'effondre sous la lumière verte, raide mort comme la pauvre Selena. oui - non : Brooke réussit le sortilège, mais le Yankee réussit à parer le coup. Pas de bol. non - oui : Le Yankee est plus rapide et lance un sortilège que Brooke parvient à repousser. non - non : Le Yankee est plus rapide et lance un Scare Superficem que Brooke ne parvient pas à repousser. |
| Filet du Diable The Big Boss | | Re: ϟ PRO PATRIA MORI ϟ EVENT FINAL ϟ Groupe IV ce message a été posté Mer 23 Jan 2013 - 7:25 Le membre ' Brooke Macnair-Schmidt' a effectué l'action suivante : Lancer de dés'Dé' : |
| Solaan E. Sethlyn Papuche Peluche Bleue | | Re: ϟ PRO PATRIA MORI ϟ EVENT FINAL ϟ Groupe IV ce message a été posté Mer 23 Jan 2013 - 17:17
Le choc avait été violent. Ma tête avait heurté le sol gelé, je devais avoir une belle ouverture au niveau du front. Beaucoup de sang s’écoulait de la blessure, dégoulinant sur toute la face gauche de mon visage. Cela était plus impressionnant que douloureux, à vrai dire seul un martèlement désagréable parcourait mon crâne. J’allais sûrement avoir un gros mal de tête pendant plusieurs jours. Le reste de mon corps était légèrement endolori, je n’avais rien de cassé… C’était l’essentiel. Serrant les dents, je tentais de me redresser mais je n’avais plus assez de force dans les bras pour me relever. Je gémissais un instant, frustré de ne pas pouvoir me remettre sur pied. Je levais alors les yeux pour scruter les alentours. L’affrontement n’avait pas cessé, malgré mes yeux embrumés à cause de mon vol-plané, je pouvais apercevoir quelques-uns de mes camarades lutter pour leur survie. Nous ne faisions pas le poids contre tous ces types qui avaient l’air surentraînés… Même si des renforts étaient apparemment arrivés, je doutais toujours du sort de Poudlard. Que se passerait-il s’ils parvenaient à prendre le château ? C’était difficile de prédire l’issue de la bataille. Je commençais à me demander si ça servait à quelque chose de se battre… Et si fuir était la meilleure solution ? Peut-être était-ce le moment opportun pour déguerpir ? Moi qui depuis des mois avait désespérément essayé de trouver un moyen de prendre la fuite ? Fallait-il prendre ce risque ? Je ne savais plus quoi faire…
Toutes ces questions se dissipèrent lorsque j’aperçus des pieds surgirent dans mon champ de vision. Je me sentis alors décoller du sol pour me retrouver sur mes deux jambes, bien que toutes tremblotantes encore. Le type qui venait de débarquer avec une poignée d’autres personnes, m’aida à me remettre debout. Je lui lançai un regard surpris, teinté de gratitude… Tentant de lui souffler un « merci » qui ne parvint pas à franchir la barrière de mes lèvres, tant j’étais exténué. Malgré ça, j’aurais préféré rester à terre… J’en avais assez de me battre, j’étais au bord de l’épuisement. Mon corps n’avait que trop souffert depuis le début. Ma tête tournait encore, du sang ruisselait toujours le long de mes traits. Malheureusement pour moi, ce type avait raison… J’allais devoir me battre, encore. Des hommes s’avançaient toujours, bien décider à prendre l’école par tous les moyens… Même si cela impliquait de combattre face à des élèves… Je n’avais pas le choix…
« Expelliarmus ! »
Le sortilège de désarmement réussit-il ? Oui – L'américain est désarmé. Certes il n’est pas blessé mais ça laissera à Solaan le temps de souffler. Il ne pouvait pas faire mieux après un tel choc. Non – « Finite mobilis » Solaan est trop faible et l’américain réussit son coup.
J’étais décidément bien trop faiblard. Je venais de foirer mon coup une fois de plus. Heureusement pour moi, le sort lancé fut moins redoutable que le précédent. Néanmoins je pus sentir très vite mes membres inférieurs s’engourdir. De nombreux picotements parcouraient mes jambes, je finis par trébucher. Encore une fois, je m’écroulais dans la neige… Mes jambes refusant de m’obéir.
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| Filet du Diable The Big Boss | | Re: ϟ PRO PATRIA MORI ϟ EVENT FINAL ϟ Groupe IV ce message a été posté Mer 23 Jan 2013 - 17:17 Le membre ' Solaan E. Sethlyn' a effectué l'action suivante : Lancer de dés'Dé' : |
| Filet du Diable The Big Boss | | Re: ϟ PRO PATRIA MORI ϟ EVENT FINAL ϟ Groupe IV ce message a été posté Mer 23 Jan 2013 - 22:02 Le gamin remit sur ses deux pattes, Caïus s’était de nouveau jeté dans la bataille. Son corps était fourbu des combats qu’il avait mené à l’entrepôt, le sang maculant ses vêtements était en partie le sien, mais tout cela n’avait pas la moindre importance. Le jour n’étais pas arrivé où un chasseur de dragons, et encore moins un Salamander, s’inclinerait devant ses ennemis jurés ! Oh que non ! Il ne subirait pas deux défaites d’affilé ce soir, il en était hors de question. Malgré la petite blonde qu’il vit s’écrouler dans la neige après avoir poussé un hurlement de terreur, ses hommes tenaient bon face aux amerlocs. Ces oiseaux de malheur débarqués de nulle part. Ils avaient encore la rage de se battre pour préserver ce en quoi ils croyaient. Poudlard, dont la silhouette hérissée de pointes se dressait fièrement dans leurs dos, était le dernier bastion qu’ils leur restaient, jamais Caïus ne le laisserait tomber aux mains des Phénix.
Obnubilé par les combats crépitant autour de lui, le Salamander ne remarqua pas tout de suite les sept silhouettes qui se découpaient peu à peu derrière lui, arrivant par le chemin que les Héritiers protégeaient farouchement depuis le début de cette horrible soirée. C’est seulement lorsqu’il vit un éclair vert frapper une jeune femme qui s’apprêtait à le prendre pour cible qu’il fit volte-face pour se retrouver nez-à-nez avec un étrange tableau de famille qu’il n’avait plus vu depuis bien longtemps. Clio, Calliope, Arutha, ils sont là tous les trois, la mine échevelée et le visage ravagé par une détresse qu’il ne peut comprendre. Mais au milieu d’eux, c’est Elena qu’il finit par remarquer et sur laquelle il point sa baguette avant de rugir. « TOI ?! » « Épargne-nous ton langage ordurier Caïus ! » Le coupa-t-elle avant qu’il ait le temps d’ajouter quoi que ce soit, d’une voix trop blanche pour lui appartenir vraiment. « Mervyn est… il est tombé. Le Ministère aussi. Si nous ne trouvons pas la force de nous allier pour repousser ces immondes traîtres, ces immondes parasites, alors s’en est finie de nous Caïus ! Tu comprends ?! Fini ! » Quelles nouvelles sornettes lui contait-elle là ? Mervyn, tombé ? Le chasseur de dragons n’avait jamais porté son beau-frère dans son cœur, ce qui était un doux euphémisme, mais il papillonna bêtement des paupières pendant quelques secondes avant que son cerveau n’enregistre véritablement l’information. « Ils me le paieront, TOUS ! AVADA KEDAVRA ! » Lança alors l’ancienne reine des médias vers un de leurs adversaires qui tomba raide mort dans la neige. Voilà qui scellait leur alliance inattendue, non ?
Informations Rp ϟ La fusion des groupes donne une nouvelle composition : Arutha Kark, Brooke Macnair, Bruce Blackburn, Calliope Kark, Cicéron Livingstone, Clio Kark, Diana Blackburn, Elisabeth Macnair, Evan Rosier, Faust Waltz, Loïs Lang, Magnus Kark, Solaan Sethlyn et Zakary Cooper
ϟ Les Ombres provenant du Ministère transplanent devant la porte de Poudlard. Arutha, Calliope, Clio, Diana, Evan et Magnus se séparent de leurs compagnons se dirigeant vers la forêt interdite pour prendre la direction opposée, sur le chemin menant vers Pré-au-Lard. C’est à ce moment qu’ils tomberont sur le groupe.
ϟ Les PNJs ne sont plus que 10 du côté des américains et 2 du côté des Héritiers. Vos PNJ sont Caïus Salamander et Elena Kark.
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| | | Re: ϟ PRO PATRIA MORI ϟ EVENT FINAL ϟ Groupe IV ce message a été posté Jeu 24 Jan 2013 - 11:15 Du regard, Zakary fusilla celui, d’un simple geste habile, avait paré son sort. Silencieusement, il jura avec rage et s’ordonna furieusement de se bouger – il serait temps ! S’il était bien plus réputé pour ses prouesses sur les terrains de Quidditch qu’en duel, il n’était pas mauvais pour autant, loin de là. Enfin, ça, c’était le reste du temps. « Pitoyable ». Voilà qui définissait plutôt bien l’efficacité de ses actions depuis tout à l’heure, alors que le moment n’était pas du tout propice à se reposer calmement. Certainement n’était-il pas loin d’ailleurs d’être autant en colère contre lui-même que contre les ennemis qui leur faisait face. D’un côté, Clark s’effondrait, de l’autre, Summer était quant à elle, déjà à terre. Son cœur manqua un battement mais il eut toutefois l’intelligence de n’en rien laisser paraître : la Serdaigle n’était pas (pas encore, du moins) techniquement des leurs, et surtout, en plein milieu du champ de bataille. Dire que le renfort des américains était le bienvenu, c’était un euphémisme : ils donnaient du fil à retordre aux Héritiers, ce qui lui permettait de souffler quelques instants. Au moins, il tiendrait jusqu’à la fin, malgré la douleur que provoquait toute la magie noire qu’il sentait dégouliner en lui et le ronger le long de ses blessures. Au loin apparut soudainement un nouveau petit groupe… Et certainement pas des alliés, car déjà, un éclair vert foudroyait un américain inconnu. Coup d’œil rapide aux alentours. Bruce s’était jeté, baguette levée, sur un des ennemis – le même que tout à l’heure – et même avec toute la hargne et la rage dont il faisait preuve, il n’en restait pas moins une merveilleux cible de choix pour ceux qui arrivaient en face. Peu importe les règlements de compte qui se déroulaient sous ses yeux, se moquant éperdument de savoir qui devait quoi à qui – enfin, bref, peu importe. Il visa dans le tas : « Lashlabask ! » Dé : Lashlabask sur Brooke ?Oui – Le bras qui tient la baguette est salement brûlé. Non – Seule la main qui ne tient pas la baguette est touchée. Zakary, achète-toi une paire de lunettes. Ou une corde, c’est plus efficace. |
| Filet du Diable The Big Boss | | Re: ϟ PRO PATRIA MORI ϟ EVENT FINAL ϟ Groupe IV ce message a été posté Jeu 24 Jan 2013 - 11:15 Le membre ' Zakary Cooper' a effectué l'action suivante : Lancer de dés'Dé' : |
| Bruce Blackburn Bourrinours | | Re: ϟ PRO PATRIA MORI ϟ EVENT FINAL ϟ Groupe IV ce message a été posté Jeu 24 Jan 2013 - 11:21 Le petit éclat blanc brillant qu'il vit s'envoler de la bouche de Waltz, accompagné d'une gerbe de sang qui s'envola de son nez lui fit un peu trop plaisir pour sa santé mentale. La joie malsaine qui l'envahissait à voir le tatoué saigner, souffrir, le disputait à l'affreuse pensée que ce n'était pas assez. Ce ne serait pas assez avant qu'il soit face contre terre dans la neige, que son visage soit impossible à reconnaitre et qu'il faille se référer aux tatouages pour savoir que c'était cette engeance de chacal qui se vidait de son sang dans la lande. Là seulement il serait soulagé. Après ça, il pourrait se concentrer sur Brooke – salope- Macnair, à qui il ferait bouffer un peu de neige, et sans doute du bois, et puis Salamander. Encore un type avec qui il aurait pu se lier d'une franche amitié, si les circonstances avaient été autres. Un peu comme Eddie Kark à la même époque… mais cette putain de guerre pourrissait tout. Et il ne pourrait sans doute jamais être vraiment ami avec quelqu'un qui était convaincu que la puissance magique était proportionnelle aux nombre de mariages consanguins dans la lignée. Bref. Les sorts fusaient de partout, les américains faisaient parfaitement leur boulot, et Bruce les en remerciait mentalement, sans eux, ils auraient sans doute été rayés de la carte en moins de temps qu'il fallait pour dire avada kedavra. Il était sans doute le mieux portant du groupe de départ, et une grande majorité de ceux avec qui il était arrivé était soit morts, soit trop mal en point pour bouger. Ou stupefixés, comme Clark. Il l'avait vu tomber du coin de l'œil, et avait ajouté encore la rage de voir son frère tomber au coup de poing que s'était mangé Waltz. Mais il savait parfaitement qui était responsable de ce sort en particulier, et elle allait manger. Sévèrement. Pour Clark, pour lui-même, pour Lisa avant tout, pour tout ce qu'elle avait fait subir à l'humanité en étant juste elle-même, Brooke – pute à frange – Macnair allait se prendre un sérieux coup de Papa Ours, et absolument pas dans le bon sens du terme (quoiqu'elle aurait sûrement pas dit non…) Il fut coupé dans ses reflexions par l'arrivée d'un nouveau groupe, de l'autre côté. La famille Kark au grand complet, minus le grand manitou, mais additionné de son animal de compagnie préféré. Et puis un autre vieux qu'il ne connaissait pas… et une crinière blonde qu'il aurait sans doute reconnu entre mille. Une nouvelle lance de douleur lui traversa le cœur. Voilà, l'instant précis où sa famille éclatait en morceaux. Ou les quelques précieux lambeaux d'amour qui persistait entre Diana, lui, sa mère, brûlaient comme les feuilles des arbres autour de lui. A cet instant où sa seule pensée était "heureusement que Clark est déjà dans les vappes, elle ne le visera peut-être pas en premier", il sut qu'il avait perdu sa sœur à jamais. Evidemment qu'il savait, tout le monde savait, le seul pseudo secret était son appartenance aux Phénix, mais maintenant il était sûr de ne plus être le bienvenue aux fêtes de famille. Il ne savait pas trop s'il devait s'en réjouir ou non, mais pour l'instant, il n'avait pas le temps de réfléchir. Premièrement, il fallait mettre hors d'état de nuire le psychopathe, il n'avait plus le temps de s'acharner sur lui. Il le garderait pour plus tard… "Incarcerem!"Dé #1
- OUI et OUI : Les chaines s'enroulent fermement tout autour de Faust et il tombe au sol tel un saucisson près à passer au séchoir.
- OUI et NON : Les chaines lui immobilisent le bras qui tient la baguette contre le corps, mais il reste debout
- NON et OUI : Les chaines lui immobilisent les jambes. Jump little bunny, jump!
- NON et NON : Il pare et les chaines s'enroulent autour d'un arbre, qui s'en fout, car c'est un arbre
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| Filet du Diable The Big Boss | | Re: ϟ PRO PATRIA MORI ϟ EVENT FINAL ϟ Groupe IV ce message a été posté Jeu 24 Jan 2013 - 11:21 Le membre ' Bruce Blackburn' a effectué l'action suivante : Lancer de dés'Dé' : |
| Faust Waltz Trash à temps plein | | Re: ϟ PRO PATRIA MORI ϟ EVENT FINAL ϟ Groupe IV ce message a été posté Jeu 24 Jan 2013 - 18:08 Trop concentré dans sa rage, il ne vit pas tout de suite Blackburn arriver. Il le vit seulement au dernier instant et il put à peine s'écarter, pas même parer, se prenant en plein visage le poing qu'il lui envoyait. La douleur, il ne la sentit pas. Pas tout à fait. Il sentit une de ses dents se casser, il y penserait plus, sentit son nez commencer à saigner abondamment, un autre détail. Il recula de trois pas, hébété, le sang inondant son visage pâle, ses vêtements sombres de travail. Il allait le tuer. Ce sentiment brûlait entre eux, il en était palpable, et il allait le tuer à mains nues s'il le fallait. Tuer le bellâtre de Lisa devant ses yeux souffrants, avant qu'elle-même s'éteigne dans la plus atroce des douleurs, serait-ce assez ? Serait-ce une vengeance correcte, à la hauteur de ce qui brûlait dans son cœur, dans ses yeux ? Il ne savait pas – il n'en aurait jamais assez.
Tout se passait si rapidement qu'il ne vit même pas les Ombres rentrer en scène, alliés inattendus désireux de se battre avec ferveur contre ces enfoirés de Phénix. Non, il levait sa baguette, il allait le tuer, quand un sort le frappa et le saucissonna proprement. Il tomba au sol sans douceur, sa tête frappant durement contre le sol mou et détrempé d'avoir absorbé de la neige fondue. Attaché au sol, Faust voyait noir. C'était même à se demander ce qu'il voyait, dans l'instant. Il se débattait comme un diable dans l'eau bénite, tentant de libérer au moins une de ses mains, quelque chose. Quant à ce qu'il pouvait bien vociférer... … valait mieux ne pas s'y attarder. Il tourna la tête. Pour voir la Mulciber. Un arrêt. Il se calma une seconde, deux secondes, pour regarder qui était là. Les Kark. Rosier. Mulciber. Ils étaient là. Pour les aider ? Eux ? Le barman recommença à bouger ses mains, ses jambes, tentant de trouver une faille dans les chaînes enroulées autour de son corps mince. « Finite Incantatem. » Il n'entendit même pas sa voix : perdue dans ses cris, ses hurlements de rage et ses malédictions diverses. Un râle à peine audible.
- Finite Incantatem:
OUI : Les chaînes disparaissent. NON : Certaines chaînes disparaissent, d'autres non. Saucisson moins serré, mais quand même incapable de bouger plus. Les chaînes se desserrèrent, puis le relâchèrent. Il resta néanmoins au sol, un temps, pour regarder le plafond du ciel. Juste une seconde, le temps de reprendre son souffle, puis de se relever. Il était trempé de la tête aux pieds, il était plein de son propre sang, il avait mal, mais c'était comme s'il en sentait rien. Une adrénaline malsaine coulait dans ses veines, le faisait fixer la silhouette de Blackburn avec haine. Qu'importe les autres, désormais, et Poudlard - il voulait qu'il souffre. Qu'il meure. « Endoloris. »
- Dé à deux options:
Si OUI au premier dé, ENDOLORIS. OUI OUI : Le sort frappe Bruce – vous pensiez vraiment que Faust allait viser quelqu'un d'autre? Quoiqu'il en soit, le blond se mange le sort de plein fouet. Ça fait mal horriblement, la haine qui motive le barman est immense, et ça dure de longues secondes. De très longues secondes. OUI NON : Le sort frappe Zak - ça ne fait pas du bien, c'est sûr, vu que c'était destiné à Bruce, mais ce n'est pas aussi fort. NON OUI : Le sort est paré par un Ricain. NON NON : Le sort va boire de la tequila avec ceux de Darrin, qui sont venus du Ministère pour le chercher. Tu te prends d'ailleurs un sort d'un Ricain, Waltz.
Si NON au premier dé, PLANTOTUM LOCOMOTOR. OUI OUI : LE MAÎTRE DES AAAAAARBRES a encore frappé. Un arbre en feu à côté de Bruce est touché et il commence à donner des coups de branches (enflammées) au chasseur de dragons. Tout Gryffondor sait pourtant qu'on ne doit jamais tourner le dos à ses ennemis. OUI NON : LE MAÎTRE DES AAAAAARBRES a encore frappé, mais un peu moins. Viser quand on est ligoté, c'est pas tip top, donc c'est un arbre à côté de Zakachouette qui prend le sort et commence à bouger dans tous les sens. Une branche dans la gueule, ça peut faire mal, surtout une branche en feu. NON OUI : Le sort touche un arbre éloigné, qui commence à se bercer doucement. Euh. Bon, d'accord, si tu veux. NON NON : Pas de bol, incapable de faire son mouvement de baguette correctement, le sort ne fonctionne tout simplement pas. Il vit le sort frapper le Gryffondor. Il sourit, de son rictus désormais cassant, ensanglanté, encore plus sinistre. Il voulait l'entendre hurler, souffrir, il voulait surtout que Lisa l'entende - oh oui, qu'elle entende son cher et tendre Bruce Blackburn hurler. |
| Filet du Diable The Big Boss | | Re: ϟ PRO PATRIA MORI ϟ EVENT FINAL ϟ Groupe IV ce message a été posté Jeu 24 Jan 2013 - 18:08 Le membre ' Faust Waltz' a effectué l'action suivante : Lancer de dés#1 'Dé' : -------------------------------- #2 'Dé' : |
| | | Re: ϟ PRO PATRIA MORI ϟ EVENT FINAL ϟ Groupe IV ce message a été posté Jeu 24 Jan 2013 - 19:55 Brooke avait pesté, mais ça ne changeait rien aux faits : le Yankee avait lancé son sort le premier. Heureusement pour elle, elle avait réussi à parer le coup avant. Le temps pour son adversaire de la seconde de disparaitre dans la fumée. Tout autours d'elle n'était que mouvement : le front n'était plus clairement établi. L'arrivée des américains avait tout chamboulé. Ayant perdu sa cible immédiate, Brooke chercha Lisa à nouveau des yeux. Évidemment, elle n'avait pas bougé, sans doute trop atteinte par le sortilège - vicieux, avouons-le - de Faust. Brooke n'aurait pas pensé que Saint Bruce aurait quitté le chevet de sa cousine pour aller se perdre en vengeance contre le responsable de ses douleurs. Vraiment, ce vilain Gryffondor n'avait aucune élégance. Elle s'était plutôt attendue à ce qu'il traine Lisa hors de danger plutôt que de la planter là, dans la neige, visiblement sous la surveillance d'un abruti notoire, si elle en croyait la silhouette qu'elle distinguait dans la fumée. Elle allait crever de froid avant que le sortilège de Faust ne l'achève, c'était certain. Encore une preuve s'il en fallait que ce rustre de Blackburn ne méritait pas Lisa et le sacrifice qu'elle semblait avoir été prête à faire pour lui. Bien ! Puisque Bruce ne semblait pas désireux de garder Lisa, Brooke se ferait un plaisir de la remettre dans le droit chemin, et ce n'était pas la potiche que le Gryffondor avait posté à ses côtés qui l'en empêcherait ! Ce serait... Cette vive douleur qu'elle ressentit à la main, manquant de lâcher sa baguette et qui la fit chouiner de facon très inélégante avant de chercher des yeux le responsable de cet affront et tomba sur Zak. Elle le foudroya du regard et marqua un temps d'hésitation : allait-elle le punir pour ce qu'il avait fait ou allait-elle mettre son projet à exécution ? Un sortilège passa devant elle et la fit regarder du côté de Caïus brièvement, mais assez pour enregistrer dans un flash les enfants Kark, le fait qu'ils s'en prenaient aux Yankee, et ceux aux côtés de leur leader du moment. A nouveau, les forces en présence changeaient. Elle prit alors sa décision : Lisa pourrait être secourue à tout moment, et notamment quand ces fourbes de Phénix seraient anéantis. Faisant fi de la douleur, elle leva sa baguette et visa Zak avec une grimace mauvaise. " TEMPESTAS ! "Zak pourra-t-il devenir une centrale électrique à lui tout seul avec tout ces sorts électriques qu'il se prend ?oui - oui : concentrée malgré le foutoir ambiant et la douleur, Brooke arrive à faire jaillir trois éclairs qui frappent Zak en pleine poitrine. Ca fait très mal. oui - non : un peu trop de bordel, ce ne sont que deux petits éclairs que Brooke arrive à projeter sur Zak, qui le touchent. Ouille, mais pas d'inquiétude, Zak ! Tu te remets en jambe très vite ! non - oui : faut pas déconner, Brooke... quand on a P en sortilèges, avec sa main qui faisait un mal de chien, on ne fait pas la maligne ! C'est donc un piètre éclair unique qui jaillit de sa baguette, et qui va tout de même toucher Zak. Il le sent, mais comme on sent le vaccin du médecin : vite fait. non - non : venu d'on ne sait où, en fourbe, à l'américaine quoi, un Defenestro touche Brooke qui fait un splendide vol plané de 5 m. Et atterri sur un arbre. Avant de finir dans la neige, bien sonnée. Evidemment, il fallait s'y attendre. Le sortilège n'avait pas eu l'intensité qu'elle avait espérée... Et elle risquait fort en prime de s'être attirée les foudres de son vis à vis. Sans parler de l'humiliation : comment pourrait-on la prendre au sérieux avec un sortilège pareil ? Elle grimaca de douleur et recula d'un pas. |
| Filet du Diable The Big Boss | | Re: ϟ PRO PATRIA MORI ϟ EVENT FINAL ϟ Groupe IV ce message a été posté Jeu 24 Jan 2013 - 19:55 Le membre ' Brooke Macnair-Schmidt' a effectué l'action suivante : Lancer de dés'Dé' : |
| | | Re: ϟ PRO PATRIA MORI ϟ EVENT FINAL ϟ Groupe IV ce message a été posté Ven 25 Jan 2013 - 14:55 HJ : Hésitez pas à sauter directement à la dernière partie (les trois étoiles tout en bas (pas celles au milieu >.<) ). Je sais que c'est long et pas forcément passionnant.... mais j'ai pas pu m'empêcher /sbaff/ Rappelez-moi pourquoi j’ai visé le Phénix en face de moi déjà ? Ah oui : parce que Hansen, Hansen bis, Rosier et mes sœurs s’étaient déjà précipité au secours de mon père. Et que comme un con, j’ai cru qu’ils y arriveraient si je m’occupais des piafs. Tu parles ! Bordel ils étaient six ! Six contre une bande d’américains sans cervelle. Il suffisait qu’un seul d’entre eux parvienne jusqu’à lui et transplane. Qu’est ce qu’ils foutaient ?! Je lâche un juron et me retourne vers les yankees. Comme dit le proverbe, on est jamais aussi bien servit que par soi-même. Je brandis mon arme lorsque Elena prend la parole :
« Il faut s’en aller. »
.... pardon ? Est-ce qu’elle vient bien de dire ce que j’ai cru entendre ? Je dévisage ma belle-mère pour m’assurer que je n’ai pas rêvé, que c’est bien elle qui a suggéré la fuite. Comme des traîtres, comme des lâches. Partir pour le sauver ? MON CUL ! Et pourquoi pas demander aux amerlocs de le confier aux détraqueur pendant qu’on y est ?! C’est juste une putain d’excuse pour justifier sa désertion ! Mais elle peut se la mettre où je pense et mourir avec. J’ai pas d’ordres à recevoir d’elle de toute façon. Cette femme n’est qu’une « PETASSE ! » Rien d’autre que la pouf de mon père. Insultes et menaces de mort se mélangent à celles de mes sœurs. Malheureusement, la garce transplane avant qu’un de nous 3 ai eu le temps de l’abattre. Salope ! On la retrouvera de toute façon !... quand on l'aura sauvé lui.
Je lance un sectusempra sur une affreuse rouquine. L'américaine évite le maléfice avec une facilité outrageante et réplique aussitôt. Le sort me frôle la tempe, brûle une mèche de cheveux mais c'est à peine si je le remarque. Les yeux rivés sur l'ennemi, je continue de tirer encore, encore, encore et encore. Ni la fatigue ni ma jambe blessée n'auront raison de moi. Pas tant que ces étrangers seront vivants. Pas tant qu'il sera étendu là.
Une voix familière vient me distraire. Je l'entends siffler dans mes oreilles sans en comprendre un seul mot. Je ne cherche pas à comprendre de toute façon ; juste à tuer. Je rentame un mouvement de poignet menaçant lorsqu'une silhouette fait mine de s'interposer. Je me retourne brusquement, un avada au bord des lèvres : Corvus.
« DEGAGE ! » je beugle en le repoussant violemment. Si je pouvais, je prendrai le temps de le tuer à petit feu, en savourant chacun de ses cris. Heureusement pour lui la vie de mon géniteur est prioritaire.
« Je l'abandonne pas ! » je crache en lançant un autre sort sur les yankees. « Je l'abandonne pas. Avada Kedavra ! ... Je l'abandonne pas. Je l'ab.... donne pas... j'... » Pourquoi est-ce que je continue de répéter ces mots à mi-voix, comme une litanie maudite ? Qui est-ce que j'essaie de convaincre ? Lui ?.... ou moi ? Une main invisible attrape mon coeur et le compresse un peu plus entre ses griffes. Je ralentis, j'hésite, je titube "Je t'abandonne pas." J'ai besoin de cette certitude et de la force qu'elle me procure. J'ai besoin de croire que j'irai jusqu'au bout, que je ne suis pas un lâche mais son digne fils. Je relève mon arme et balance un Ectoparasita. Je roule pour éviter un éclair de lumière verte et.... le noir.
✯✯✯ Quand je rouvre les yeux, je suis allongé sur de la terre humide. Il fait sombre - beaucoup trop sombre - et les étoiles brillent au-dessus de ma tête. Cet endroit.... « Non.... non. NON ! » La panique se répand dans mes veines comme un poison. Je me redresse sur un coude et tourne la tête dans tous les sens. Impossible de se tromper : je suis bien à Poudlard. Le même rugissement bestial que tout à l'heure franchit mes lèvres. Un mouvement à ma droite interpelle mon regard : Corvus. C'est son œuvre ! « PUTAIN DE TRAITRE ! FILS DE BOURBE ! » Peu importe que ça n'ai aucun sens, que les Phénix nous entendent ou que je trébuche trois fois en essayant de me relever. J'insiste et je parviens finalement à me remettre debout. « JE VAIS TE TUER ! » Mon poing heurte son visage mais le coup est à double tranchant : emporté par le poids de mon corps, je retombe la tête la première dans la boue. C'est douloureux... mais pas autant que ça :
« Tu sais, ceux qui ont abattu ton père.... »
Je manque de m'étrangler. Comment ose-t-il ? Comment peut-il ..... devant moi ! Proférer ce mensonge infâme ! Ma baguette ! Je vais le saigner, le vider de ses entrailles, déchirer sa peau, broyer son visage et mettre son cadavre en pièces. Je vais le tuer pour de bon - ce que j’aurai dû faire tout à l’heure. Où est cette foutue baguette ?! Je tâtonne dans la semi-obscurité, écarte un bout de bois tordu puis réussit à mettre la main dessus. A genoux par terre, je vise sa tête lorsqu'un cri déchirant m'arrache à ces plans morbides.
Mes sœurs sont quelques mètres plus loin, dans un état assez similaire au mien. Je réalise que je les ai lamentablement oubliées. Honteux, je récupère le bout de bois, m'en fait une canne et me précipite vers elles aussi vite que je peux. La peur panique de les trouver inconscientes efface subitement ma rage. Heureusement je les découvre vivantes.... vivantes mais dans un état lamentable ! A côté, on a l'impression que je sors de la douche. Merlin ! Où est-ce que j'étais pendant que ces salauds les torturaient ? L'abdomen ouvert de Clio me donne la nausée. Ignorant ses cris, je pose une main sur sa joue, son épaule. Un simple expelliarmus pourrait la briser en milles morceaux. Et ça... je ne peux pas. Je ne supporterai pas. Mon regard suppliant croise celui de Calliope : "Restez en vie." Pendant un instant, je pense à leur ordonner de rentrer se mettre à l'abri. Mais rentrer où ? Au QG ? Au manoir ? Chez les Rosier ? Il n'y a plus aucun endroit sûr. Plus aucune personne suffisamment digne de confiance pour les protéger. Je vais donc devoir faire un choix : retourner au ministère ou rester avec elles. Tenter de sauver le père qui a menacé de me remplacer par un bâtard ou défendre la vie des soeurs qui ont avoué me haïr il y a moins d'une heure. " Elles ne le pensaient pas. " Ca avait l'air tellement sincère pourtant. " Elles ont besoin de toi. " Les autres Ombres vont les protéger. " Personne de fiable. Pas même Elena. " Peut être qu'elles peuvent se débrouiller ? Mon père a besoin de moi. Mon père est cerné par les américains. Mon père.....
« On reste ensemble. »
Une flopée d'insultes me viennent à l'esprit. Lâche ! Traître ! Fils indigne ! " C'est bien toi qui te vantais de ne pas l'abandonner ? " Je fais taire l'ignoble voix qui sème le doute. Comment est-ce que je pourrai leur tourner le dos ? L'idée de les perdre aussi me déchire l'âme. La main toujours posée sur l'épaule de Clio, je reprends de la même voix tremblante.
« On ira le chercher après.... On ira. », je répète comme pour nous convaincre. « Ce soir on se sépare plus.»
La mort de l'un d'entre nous est inévitable si on se divise encore et j'espère que malgré les mots doux balancés tout à l'heure, on tient encore assez les uns aux autres pour rester soudés. Je suis prêt à ajouter un " s'il vous plaît " lorsqu'elles approuvent finalement. Bien. Il ne reste plus qu'à survivre.... ensemble.
✯✯✯ Nous marchons tous les trois côte à côte. J'ai besoin de les sentir près de moi, d'entendre le bruit de leur pas et de leur respiration. Le champ de bataille ici est un vrai foutoir..... doublement dangereux donc. A peine arrivés, on doit se baisser pour éviter un rayon bleu. Je repère le lanceur, ressors ma baguette et envoie un ectoparasita. - Spoiler:
Ectoparasita : Oui-Oui : Le sortilège touche un américain, du sang lui dégouline de partout, c'est joli comme tout ! Oui-Non : Le sortilège touche une américaine qui saigne un peu. Mais ça s'arrête tout seul au bout d'un instant. L'ennemie est juste affaiblie. Non-Oui : L'adversaire a le temps de lancer un protego. Pas de bol ! Non-Non : Le maléfice touche un pnj riri. Hein ? C'est pas eux les ennemis ? o_O
L'adversaire ne se contente pas de parer : elle réplique avec un lancé de filet. Un truc électrique bien vicieux en plus. Je fais un bond pour l'éviter, me casse la gueule, me relève à l'aide du bâton puis me rapproche de mes soeurs. Ne pas les perdre de vue. Ne plus se quitter d'une semelle. - Spoiler:
Rete Fulgurator : Oui : Aru évite de justesse. Non : Aru se prend le sort en pleine face.
Si Non au dé du dessus, puissance du sort : Oui : L'amerloc qui a lancé ce sort est un pauvre naze : c'est pas très serré et les ondes d'électricité sont assez faibles. Non : Le filet est bien serré et y a des beaux éclairs autour. Ca fait un peu beaucoup mal.
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| Filet du Diable The Big Boss | | Re: ϟ PRO PATRIA MORI ϟ EVENT FINAL ϟ Groupe IV ce message a été posté Ven 25 Jan 2013 - 14:55 Le membre ' Arutha L. Kark' a effectué l'action suivante : Lancer de dés#1 'Dé' : -------------------------------- #2 'Dé' : -------------------------------- #3 'Dé' : |
| | | Re: ϟ PRO PATRIA MORI ϟ EVENT FINAL ϟ Groupe IV ce message a été posté Ven 25 Jan 2013 - 22:03 Evan sentit une vive douleur dans ses côtes. Il haleta quelques secondes, les yeux fermés, chancelant. Il lui fallut quelques minutes pour reprendre ses esprits. Loiseau. Cet enfant de putain et de maquereau de Loiseau. Tenant ses côtes dans une main, incapable de s'occuper de l'endroit de son dos qui avait été touché, il reprit difficilement son souffle avant de lancer un regard noir à l'intéressé. Quel dommage de ne pas être télépathe, il savait exactement ce qu'il aurait aimé lui dire. Qu'il allait le retrouver et lui tuer de ses propres mains. Qu'il avait une dernière bonne action à faire, un dernier conseil à lui donner : mettre fin à ses jours lui-même pour souffrir moins lorsqu'il lui mettrait la main dessus. Son attention se reporta sur Mervyn tandis qu'un goût de sang s'était instauré dans sa bouche, il tuerait Loiseau, mais il y avait des choses plus importantes qu'une vengeance personnelle. Et tout le sang estampillé « Kark » qui se déversait sur le sol ... C'était une bonne raison d'oublier son envie meurtrière. Qu'aurait-il fait maintenant ? Il était trop amoché, incapable de lancer un sort. Sa présence pouvait-elle au moins aider à sauver Mervyn ? Il tourna la tête et souffla un « non » à la proposition de la nouvelle épouse Kark. Ils ne pouvaient pas faire ça. Ce serait criminel de s'en aller. Mervyn n'avait rien fait, Mervyn devait être sauvé. Savaient-ils ce qu'on allait lui faire, hein ? Evan était au coeur de la Justice magique, il savait ce qu'on faisait aux opposants politiques et quelque chose lui soufflait que ce serait à peine mieux avec ces américains. On soignerait sans doute Mervyn. Pour qu'il parle, pour le forcer à parler si besoin ... Ils n'auraient pas plus de principe que leur gouvernement n'en avait eu pour les affaires « sensibles ». Et il fallait abandonner Mervyn à cela ? « Non... » souffla-t-il encore. Il n'avait qu'un seul ami. Quelqu'un qui l'avait accepté en connaissant son secret, qui s'était permis de diriger une partie de sa vie mais était resté bienveillant. Comment pourrait-il à nouveau se regarder dans une glace s'il lui plantait un couteau dans le dos ? Si au moins Mervyn avait été conscient ... Evan lui aurait obéi aveuglément, qu'il lui dise de partir ou de rester ici jusqu'à son dernier souffle. Et cette douleur aux côtes qui s'apaisait lentement, si lentement ... Ses yeux restèrent rivés sur la silhouette d'Arutha, proférant des malédictions et lançant des sorts. Il ne voulait pas donner cette image-là. Se battre jusqu'à son dernier souffle, ici, serait stupide. Il regarda Mulciber, incertain. Pouvait-on vraiment faire confiance à une des poules de Mervyn ? Depuis leur entrée à Poudlard, Evan avait su remarquer deux choses sur les conquêtes de son meilleur ami. D'abord, il les choisissait d'après une splendide équation impliquant leur tour de poitrine, de taille et leur quotient intellectuel de manière à n'être pas mis dans l'embarras par elles. D'autre part, elles lui avaient toutes voué un amour inconditionnel. Mulciber serait sans doute capable d'y passer pour Mervyn, et son possible suicide passionnel en faisait un bon leader, assurément. Un leader provisoire, car il n'était pas question de quitter Mervyn, de l'abandonner à son triste sort. Ils reviendraient le chercher, et Evan espérait bien connaître deux bonheurs ce jour-là : revoir son meilleur ami et arracher la tête de Loiseau. Il porta son attention sur Calliope, la petite princesse couverte de sang. C'était comme une vision familière, combien de fois son Anna Bella avait-elle cherché des signes de vie sur un corps ? Il se souvenait avec un certain malaise des crises de démonisme qui avaient le plus mal tourné, des explications qu'il avait fallu fournir à Dolpheus, le médicomage de famille soumis au secret. Il posa une main sur l'épaule de Calliope, remerciant Merlin qu'elle ne cherche pas à fuir comme un de ses enfants l'aurait fait en pareille situation. Pas encore. Elle finira comme les autres. Il n'y a que Mervyn et Anna Bella qui croyaient en toi. Te regardera-t-elle de la même façon quand elle saura que tu l'as abandonné ? Il n'est pas trop tard pour ne te fier qu'à moi, Evan. proposa le démon. Ce serait simple. Nous sommes déjà d'accord sur les modalités, n'est-ce pas ? Je ne tue pas les membres de ta famille et je profite de ton corps pour acquérir de l'influence. Ce serait simple. Je te demande juste de renoncer. Trois fois rien. Tu es lâche. Je le sais. Tu te fiais à Mervyn, tu t'appuyais sur lui. N'avoir que ta femme pour s'occuper de la loque que tu es, crois-tu que ce sera suffisant? Il resta pétrifié quelques instants devant le visage de sa belle-fille. « On va ... On va revenir le chercher. » Merlin, qu'il aurait aimé dire ces mots à Mervyn ... Employer le ton-Mervyn, cette façon de parler d'une voix posée pour rassurer son petit-monde. Il aurait placé les syllabes de la même façon dont son ami les utilisait pour le rassurer après une crise de démonisme, quand il n'avait encore que cette présence sur laquelle compter. Ca va aller, ne t'en fais pas. « On reviendra. Je te le promets, Calliope. On ne le laissera pas ici. Il se redressa difficilement et se pencha vers la jeune femme pour l'aider à se relever. Il fallait partir. Abandonner Mervyn ... Il chassa cette idée de son esprit. Ils ne l'abandonnaient pas. Ils allaient revenir, c'était une question de jour. De semaines, de mois peut-être, mais pas d'années. Ils le retrouveraient rapidement. Il fallait le sauver, ne pas le laisser entre les mains des traîtres et des américains. Ils allaient revenir. Son regard se porta sur la flaque du sang de son meilleur ami et sur le visage de celui-ci. Il voulait garder en mémoire la raison qui le pousserait à lutter parmi les Ombres. Il n'avait jamais été là-bas que pour deux raisons, et l'angoisse que faisaient naître en lui les moldus était bien moindre par rapport à l'envie de suivre Mervyn. Quand Mervyn était là, les choses n'étaient pas sensées mal se passer. Il regarda Calliope et lui prit le bras, grimaçant quand la blessure sur ses côtes se fit sentir. « On transplane, Calliope. »Le transplanage fut plus difficile qu'à l'accoutumée, et l'arrivée laissa un arrière-goût désagréable à Evan. Comment la culpabilité pouvait-elle le submerger plus vite ? Il aurait aimé tout laisser tomber quelques heures, calmer ses nerfs affolés, accepter la situation. Un break, un temps mort, de grâce ... Ils avaient abandonné Mervyn. C'était fait. Il ne se sentait plus capable de transplaner en sens arrière. Il aurait du le faire, il aurait du se montrer à la hauteur de leur amitié. Que voudraient ses belles paroles, ses « j'allais revenir » lorsque Mervyn le lui reprocherait ? La certitude qu'il devrait lui rendre des comptes se faisait de plus en plus présente, et son malaise s'augmentait en reconnaissant les lieux qu'il avait fréquenté dans sa jeunesse. Autrefois, Pré-au-lard avait été associé à de bons souvenirs, les visites là-bas étaient le signe que personne à Poudlard n'avait découvert qu'il était presque dément tandis que le manoir Rosier était associé à l'alcoolisme de sa mère et la disparition d'un père qui n'aurait pas voulu s'occuper de lui. Comment expliquer qu'il rêvait de retrouver ces murs glacés et s'y laisser mourir ? Il écouta les quelques mots que Mulciber échangea avec Caïus. Insipides. Ces deux-là étaient insipides. Et pour le bien-être supposé de Mervyn, il faudrait leur obéir ? Les ombres lui donnaient envie de vomir. Séparé de son épouse et de son meilleur ami, les deux seules êtres qui avaient toujours réussi à raviver le peu de conviction politique qu'il avait, Evan rêvait de grandes étendues désertiques loin de toute forme de vie. Pré-au-lard n'était pas si loin, mais Merlin, qu'il avait mal ... La culpabilité s’amoncelait sur ses blessures à vif. Et toujours pas de temps mort, de possibilité de stopper le tremblement de ses mains. Azaddel allait revenir et le lui faire payer. Il leva sa baguette et lança un sort sans conviction vers quelqu'un qu'il n'avait identifié ni comme un Ombre, ni comme un Héritier. Pour ce qu'il connaissait de leurs « alliés » .... - Spoiler:
Spinae Rosae (une cuvée Rosier) : Une salve d'épines sortent de l'extrémité de la baguette et foncent très rapidement sur la cible. A l'impact, des lacérations et autres blessures provoquant des saignements ou douleurs sur le corps apparaissent ; selon le lanceur, plus il est vieux et expérimenté, plus les épines peuvent être mortelles. Oui oui : Une salve d'épines touche un ennemi et le blesser au visage et au haut du corps. Il va avoir bien du mal à lancer un sort tranquillement. Oui non : La salve d'épines atteint bien un de leurs opposants mais il ne s'en sort pas si mal. Non oui : Portée trop courte, Mister Rosier. Ce serait une mauvaise idée de gambader pieds nus de peur de marcher sur une des épines, mais il n'y a pas de blessé. Non non : Les épines touchent un allié. Pas de panique, elles n'ont pas été lancées avec assez de vigueur, mais ce n'est jamais rassuré de voir des petits dards empoisonnés vous foncer dessus ...
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| Filet du Diable The Big Boss | | Re: ϟ PRO PATRIA MORI ϟ EVENT FINAL ϟ Groupe IV ce message a été posté Ven 25 Jan 2013 - 22:03 Le membre ' Evan J. Rosier' a effectué l'action suivante : Lancer de dés'Dé' : |
| Solaan E. Sethlyn Papuche Peluche Bleue | | Re: ϟ PRO PATRIA MORI ϟ EVENT FINAL ϟ Groupe IV ce message a été posté Sam 26 Jan 2013 - 14:59 Je pouvais sentir mes jambes se dérober sous le poids de mon corps. Mes membres inférieurs ne répondaient, je me retrouvais une fois de plus affalé dans la neige. Tentant de me relever une nouvelle fois, je réussis à poser un de mes pieds à terre. Malheureusement, je finis une nouvelle fois au sol. Il fallait attendre, patienter qu’elles soient moins engourdies. Cela impliquait que je reste là où j’étais, vulnérable et incapable de fuir si jamais un de nos ennemis s’approchait.
Pestant silencieusement, j’examinais les environs, aux aguets. J’étais prêt à riposter, à me défendre contre toute attaque. Que je devais avoir l’air stupide, le cul dans cette foutue neige qui commençait à me faire frissonner, incapable de me mettre debout. Des voix attirèrent alors mon attention, non loin de là. Je pus apercevoir plusieurs silhouettes s’avancer vers l’homme qui m’avait aidé à me relever plus tôt. Les retrouvailles entre une femme du petit groupe et Salamander semblèrent houleuses. Je ne percevais pas la totalité de leurs paroles, mais leurs gestes et expressions suffirent pour que je le comprenne. Ils s’échangèrent quelques mots durant un instant avant que le combat ne reprenne. Plissant alors les yeux pour discerner l’identité des nouveaux arrivants, je pus reconnaître très vite une grande partie de la famille Kark. Apparemment, ils venaient se joindre aux Héritiers pour repousser l’attaque des Phénix. J’avais du mal à croire ce que je voyais, Ombres et Héritiers devant faire face ensemble. Cela m’interpella immédiatement, la situation devait être suffisamment alarmante pour qu’ils viennent à agir ainsi. Mais je n’avais pas le temps de m’attarder sur la question, néanmoins, je me réjouissais de leur venue. L’affront semblait tout à coup bien plus équilibré. Il fallait continuer de se battre, mettant mes idées de fuite de côté, je me reconcentrais alors sur les rangs des Phénix.
Mes jambes étaient toujours faibles, cependant j’eus l’impression que les picotements et l’engourdissement semblaient s’être dissipés. Soufflant bruyamment je me relevais alors qu’un type du camp d’en face se dirigeait vers moi.
Les jambes de Solaan tiennent-elles le coup ? Arrive-t-il à jeter son sort ? Oui – Solaan reste debout, il arrive à jeter son sort « Carbo Diphteria » Non – Les jambes de Solaan sont trop frêles, déséquilibré il ne peut jeter son sort. Cible facile, l’américain réussit à le toucher « Chair déchirée »
Le sort fouetta violement mon épaule gauche, m’arrachant un hurlement sourd. L’entaille était profonde, elle tiraillait le haut de mon bras. Pas une seule goutte de sang ne s’y échappait mais la douleur était atroce, jamais je n’avais ressenti un mal aussi intense. Haletant, à la limite de l’évanouissement, je m’effondrais…
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| Filet du Diable The Big Boss | | Re: ϟ PRO PATRIA MORI ϟ EVENT FINAL ϟ Groupe IV ce message a été posté Sam 26 Jan 2013 - 14:59 Le membre ' Solaan E. Sethlyn' a effectué l'action suivante : Lancer de dés'Dé' : |
| | | Re: ϟ PRO PATRIA MORI ϟ EVENT FINAL ϟ Groupe IV ce message a été posté
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